SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Leonard : Qui veut la dernière boulette ?
Penny : Oh, moi !
Sheldon : Penny, une seconde. On vient de manger thaï. Dans cette culture, le dernier morceau est appelé le morceau greng jie, il est réservé au membre du groupe le plus important et apprécié.
Penny : Merci à vous tous pour ce grand honneur.
Sheldon : J’ai vu les photos de ta mère, continue de manger.
Howard : Ok, chérie, si on veut voir le film, on devrait y aller. Ça doit être dur à entendre, mais quand je dis chérie, je veux dire ma fiancée. Ouais, et bien maintenant, ça veut dire elle.
Bernadette : C’est ok, s’il veut venir.
Howard : Ok, mais la prochaine fois, on engage une nounou.
Penny : Parfait, je dois travailler. Je descends avec vous.
Sheldon : Attendez. Lequel est le plus proche du nouveau magasin de train dans Monrovia, le cinéma ou le Cheesecake Factory ?
Howard : Aucun d’entre eux n’est proche.
Sheldon : Dans ce cas, j’imagine que ça ne dérangera pas celui qui m’y conduira. Jouons à un amusant jeu de questions pour voir qui m’y emmènera. Ok, ce mot de 4 lettres décrit soit la grandeur d’une imprimante ou une obsession de manger de la saleté ?
Penny : Okay, je ne l’emmène pas.
Sheldon : Penny, n’abandonne pas, tu peux trouver.
Leonard : Tu ne vas pas avec Sheldon ?
Amy : Non, je n’ai aucun intérêt pour les trains miniatures, ni pour les boutiques qui en vendent, ni pour leurs clients fanatiques.
Leonard : Oh. Bien, j’ai du travail, donc …
Amy : Je ne pense pas que cela puisse me déranger. Continue.
Leonard : Okay. Ne serais-tu pas plus à l’aise chez toi ?
Amy : Pas vraiment, non.
Leonard : Très bien alors. Je suppose que je vais juste commencer.
Amy : Leonard, s’il te plait. Je n’ai pas besoin de commentaires détaillés.
Générique.
SCENE : Quelques minutes plus tard.
Leonard : Amy ?
Amy : Yo.
Leonard : Ça va ?
Amy : Oh, bien sûr.
Leonard : Je pensais que tu lisais.
Amy : Je lisais. Maintenant je pense à ce que j’ai lu. Tout va bien, Leonard ? Tu sembles vraiment mal à l’aise.
Leonard : Je vais bien.
Amy : Devrais-je m’en aller ? On m’a dit que parfois j’abusais de l’hospitalité des autres.
Leonard : Quoi … qui t’as dit ça ?
Amy : Et bien, dernièrement mon gynécologue.
Leonard : Et bien, tu peux rester aussi longtemps que tu le souhaites.
Amy : Je suis contente de t’entendre dire ça. Parce que je passe un moment merveilleux. J’ai dit la même chose à mon gynécologue.
SCENE : La voiture de Raj.
Bernadette : Qu’est-ce que tu vas prendre au magasin de train, Sheldon ?
Sheldon : Oh, je ne vais rien acheter. Ils donnent une conférence. Jauge ferroviaire H-O. la moitié de la taille de la jauge O, mais deux fois plus d’amusement. Sujet très controversé.
Howard : De quel côté es-tu ?
Sheldon : Je te le ferai savoir après ce soir. Contrairement à certaines personnes, j’y vais avec l’esprit ouvert. De qui je me moque ? Bien sûr, on sait tous que c’est la jauge O ou pas de jauge.
Howard : Peux-tu croire que des hommes adultes se rassemblent et jouent avec des petits trains ?
Bernadette : Tu peux dire, venant d’un homme avec un placard rempli de tours de magie chez sa mère.
Howard : Premièrement, ce ne sont pas des tours de magie, ce sont des illusions. Deuxièmement, quand on sera mariés, ils iront tous dans le grenier pour que tu puisses avoir ce placard pour tes vêtements.
Bernadette : Pourquoi je garderais des vêtements dans la maison de ta mère ?
Howard : Vois ça différemment. Une fois que nous emménagerons, ce sera notre maison.
Bernadette : Est-ce qu’elle déménage ?
Howard : Pourquoi déménagerait-elle ? C’est sa maison.
Bernadette : Pas si vite. Tu penses sérieusement que je vais vivre avec ta mère ?
Sheldon : Howard, je pense que je peux t’aider. Oui, Bernadette, c’est exactement ce qu’il pense.
Howard : Pourquoi pas ? C’est une super maison, avec beaucoup de pièces, et si nous avons des enfants, maman sera là pour aider. Tu sais quand elle raconte l’histoire des Trois petits cochons, elle a vraiment des cheveux sur son menton.
Bernadette : Je ne vais pas vivre avec ta mère. Ni maintenant, ni jamais.
Howard : Wow, quelqu’un a clairement des problèmes de maman.
Bernadette : Raj, ramène-moi à la maison.
Howard : Ne l’écoute pas. Va au cinéma.
Bernadette : Ramène-moi à la maison maintenant.
Howard : Cinéma !
Sheldon : Ok, tout le monde se calme. Il y a une solution simple ici. Raj, emmène-moi au magasin de train, et après je me fiche de ce que vous faites.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Amy : Comment était ta douche ?
Leonard : C’était bien, bien. Juste par curiosité, à quelle heure vas-tu te coucher habituellement ?
Amy : Oh, je suis debout toute la nuit. Je suis comme un opossum. Ado, tu n’étais pas aimé au lycée, n’est-ce pas ?
Leonard : Pas vraiment. Est-ce que c’est mon album de promotion ?
Amy : « Cher Leonard, tu es très bon en science. Peut-être qu’un jour tu découvriras un remède pour être un pauvre type ».
Leonard : Et bien, ce n’était pas un éclair peint à la bombe sur ma mallette. Je peux te la dire.
Amy : Si cela te fait te sentir un peu mieux, la seule personne qui a signé mon album de promo était ma mère.
Leonard : Oh.
Amy : « Chère Amy, le respect de soi et un hymen c’est mieux que des amis et de l’amusement. Affectueusement , maman ».
Sheldon : Bien, tu peux ajouter la gare de Jerry à la liste des magasins de trains où Sheldon Cooper ne mettra plus jamais les pieds.
Leonard : Soirée difficile, Casey Jones ?
Sheldon : Tu ne sais pas le quart de ça. C’était annoncé comme des concessions animées sur la valeur des tailles de train miniature. Mais c’étais en réalité un traquenard pour intimider les péquenauds sans volonté et faibles d’esprit à acheter des ensembles de démarreurs H-O.
Leonard : Qu’y a-t’il dans le sac ?
Sheldon : Je ne veux pas en parler. Mais ce n’est pas une épine, je te dirais ça.
Amy : Et bien, j’ai eu une nuit délicieuse, Leonard. Nous devrions refaire ça de temps en temps.
Leonard : Ah, bien sûr. C’était sympa.
Amy : Contente de l’entendre. J’ai besoin de quelqu’un pour m’accompagner au mariage du Dr. Moranelli et du Dr. Gustufson ce vendredi. Ils sont un peu comme les Brad et Angelina du département de primatologie.
Leonard : Tu ne préférerais pas emmener Sheldon ?
Amy : Si, mais le dernier mariage où on a été, fut un désastre. Il s’est comporté comme un enfant tout du long.
Sheldon : Ce n’est pas ma faute. Tu disais qu’il y aurait d’autres scientifiques de mon âge.
Amy : Ça n’a pas d’importance. T’es exclu, il en fait parti. Pas de rencard pour le bal de promo, deux rendez-vous pour un mariage. Hmm, comme les temps changent.
Sheldon : Haha, tu dois aller à un mariage.
SCENE : La maison d’Howard.
Howard : J’y vais !
Mme Wolowitz : Pourrais-tu y aller ?
Howard : Je viens juste de dire que j’y allais !
Mme Wolowitz : Bien, je vais y aller.
Howard : J’y vais ! Salut.
Bernadette : Salut. Je ne veux pas me battre. J’étais juste surprise quand tu t’es jeté sur moi avec tout le truc de vivre-avec-ta-mère.
Howard : Oui, bien, je suis désolé de ne pas t’en avoir parlé avant.
Mme Wolowitz : Je ne sais pas à qui tu parles mais c’est dedans ou dehors ! On n’a pas besoin d’insectes !
Howard : Les insectes viennent seulement ici parce que tu es leur reine ! Ecoute, que penses-tu de ça. Avant que nous prenions n’importe quelle décision à propos d’où nous allons vivre, on a une période d’essai. Reste ici pour le week-end, pour voir comment c’est.
Bernadette : Et ta mère sera d’accord avec ça ?
Howard : Bien sûr qu’elle le sera. Mam, est-ce que ça te dérange si Bernadette reste ici pour le week-end ?
Mme Wolowitz : Hé, si elle est prête à donner le lait gratuitement, qui suis-je pour dire non !
Howard : Tu vois ? Ça ne la dérange pas.
Mme Wolowitz : Franchement, après toutes les nuits passées avec ton copain étranger, une fille est un grand soulagement !
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Durant toutes ces années, j’avais tort. Plus le train est petit, plus l’amusement est concentré.
Penny : Tu es une scientifique du cerveau. Peux-tu m’expliquer pourquoi un homme intelligent aime jouer avec des petits trains ?
Amy : Pas sans lui ouvrir la tête. Que penses-tu de maquiller mes yeux comme Cléopâtre ?
Penny : Sérieusement ? Pour un mariage ?
Amy : Tu as peut-être raison. Mes pommettes et mon bassin ont déjà un côté Marie couche-toi là, pour eux.
Leonard : Prêt.
Penny : Oh. Tellement beau. Comme James Bond.
Sheldon : Il est mieux que James Bond, parce qu’il est plus petit.
Amy : J’ai ça pour toi, pour que tu me le donnes.
Penny : Oh, chérie, les invités ne portent pas de bouquets à un mariage. C’est plus un truc de bal de promo.
Amy : Je ne suis jamais allée à mon bal de promo. Ma mère a payé mon cousin pour m’y emmener mais il a utilisé l’argent pour acheter de la drogue.
Penny : Met le bouquet sur elle.
Leonard : Amy, c’est pour toi.
Amy : Quand tu auras fini de me peloter, ça va sur mon poignet.
Sheldon : Tout le monde à bord. Woo-woo. C’est officiel. Je suis un H-O trainiac.
SCENE : La chambre d’Howard.
Howard : Alors, le diner était bien.
Bernadette : Oui, oui, je suppose. Est-ce que ta mère te coupe toujours ta viande ?
Howard : Seulement quand c’est épais. Ne sois pas jalouse chérie. Un jour, tu me la couperas pour moi.
Mme Wolowitz : Bernadette ! J’ai trouvé une tête en plus pour la brosse à dent électrique, si tu veux l’utiliser.
Bernadette : Ça va, Mme Wolowitz.
Mme Wolowitz : Tu es sûre ? Je viens juste d’enlever la moitié d’un morceau de gigot de ma dent.
Howard : Hé, maman, qu’est-ce que tu dirais d’un peu d’intimité.
Mme Wolowitz : Oh, je sais ce que ça signifie. Hubba-hubba !
Bernadette : Mon Dieu.
Howard : Relax, tout va très bien se passer.
Bernadette : Okay.
Mme Wolowitz : Faites-moi savoir lorsque vous avez fini de flirter ! Maman veux un massage des pieds.
SCENE : Le mariage.
Amy : Tu veux danser ?
Leonard : Non, merci. Je ne suis pas très bon danseur.
Amy : Tu ne va pas gagner un trophée comme conversationniste non plus.
Leonard : Désolé. Les mariés ont l’air heureux.
Amy : Pourquoi ne le seraient-ils pas ? Ils ont une chaude nuit socialement approuvée pour copuler devant eux. Dans certaines cultures, on peut rester en dehors de leur chambre et trinquer quand ils atteignent l’orgasme.
Leonard : On dirait que la nuit est terminée, et j’ai du travail dans la matinée, donc …
Amy : Leonard, tu n’as peut-être pas remarqué, mais je me délecte à être ici. Et tu ne prendras pas ta fin de la soirée.
Leonard : Oh, désolé. Ce mariage me rappelle ma pseudo-petite amie à 15 000 km d’ici.
Amy : J’ai un pseudo-petit ami qui joue aux petits trains en ce moment même et tu ne m’entends pas jaqueter à son sujet. Leonard, un conseil, l’auto-obsession morose, ça n’est attirant que chez les hommes qui jouent de la guitare et qui sont considérablement plus grand que toi.
Leonard : Je ne suis pas morose. Je suis drôle.
Amy : Tu as des preuves de ce que tu avances ?
Leonard : Hé, je suis tout aussi drôle que toi.
Amy : Vraiment ? Serais-tu capable de dessiner une moustache sur ton doigt juste pour briser la glace pendant une conversation. Moi, je le suis.
Leonard : Ok, d’accord, que suggères-tu ?
Amy : On a eu un super repas, le groupe est déchaîné, et tu es assis à côté d’une belle femme qui porte du maquillage de prostituée. Pourquoi n’irions nous pas sur la piste de danse pour voir si je peux suer à travers cette superbe robe.
Leonard : Une fois encore, je ne suis pas un très bon danseur.
Amy : T’inquiètes pas. Je vais te montrer.
SCENE : La chambre d’Howard.
Bernadette : Howard ?
Howard : Prête à aller au lit ?
Bernadette : Non, j’aimerais me brosser les dents, mais ta mère est dans la salle de bain depuis une heure.
Howard : Oh, ouais, elle a des problèmes pour faire son affaire des fois. Attends. Maman, abandonne ! Ce soir c’est pas ton soir !
Mme Wolowitz : T’en sais rien ! Je viens juste de m’asseoir !
Howard : Allez, fait une pause ! Bernadette a besoin de se laver les dents.
Mme Wolowitz : Elle peut entrer et se brosser les dents ! Ça ne me dérange pas !
Howard : Problème résolu.
Bernadette : Non, il ne l’est pas. Je ne rentrerais pas là-dedans.
Howard : Oh, allez, chérie. Elle est juste assise là-dedans en train de lire un magazine. Tu ne verras rien. Je le fait tout le temps.
Mme Wolowitz : Ah ! La bombe a été larguée !
Howard : Et on a un impact nucléaire. Attends-moi, je vais allumer une bougie. Et après, on fera l’amour avec passion.
SCENE : La cage d’escalier.
Amy : Et voilà, le dernier étage …
Leonard : Je comprends pas ce qui s’est passé. J’ai mis mon pied gauche, retiré mon pied gauche, j’ai mis mon pied gauche et là quelque chose a craqué.
Amy : Le hokey pokey est un jeu pour jeunes enfants.
Leonard : On a passé un bon moment. Merci de m’avoir rappelé que ça fait du bien de s’amuser de temps en temps.
Amy : De rien.
Leonard : Et aussi d’avoir brisé la tête du cygne de glace pour que je puisse le prendre sous le bras.
Amy : J’excelle dans les raisonnements spatiaux, et j’ai l’intuition que la pente gracieuse de son coup bercerait gentiment tes organes génitaux.
Leonard : Bon, ok. Encore une fois merci.
Amy : Et encore une fois, de rien.
Leonard : Tu veux entrer boire un thé ?
Amy : Non merci, je vais rentrer chez moi.
Leonard : Ok, alors, bonne nuit.
Amy : Bonne nuit.
Penny : Amy, salut. Comment était le mariage ?
Amy : Super. Jusqu’à qu’accidentellement Leonard tombe amoureux de moi.
Penny : Entre, allons discuter. Tu veux un verre de vin ?
Amy : Le vin est un des facteurs qui a créé ce problème. Ça et ce maudit pelvis.
Penny : Ok, excuse-moi, que c’est-il passé exactement ?
Amy : L’inévitable ! Il était seul et vulnérable, sa copine lui manquait, alors que moi j’étais adorable, d’un grand soutien et, soyons francs, dans cette robe, la parfaite combinaison entre Madonna et une prostitué.
Penny : Oh mon Dieu ! Est-ce qu’il t’a dragué ?
Amy : Non, mais ce n’est qu’une question de temps. Comment ne l’ai-je pas vu venir ? Maintenant, je vais devoir briser son petit cœur triste.
Penny : Oui, je suis sûre qu’il ira bien.
Amy : Oh, Penny, autant que je sache, nous avons toutes les deux été souillé par le même homme, Leonard n’a simplement pas fait rugir mon moteur.
Penny : Et donc, que vas-tu faire ? Veux-tu que je parle à Leonard pour le faire redescendre doucement ?
Amy : Non, je vais lui laisser la soirée. Puis dans la matinée, je vais lui envoyer un email pour qu’il sache que ce corps ne sera jamais son pays des merveilles. Je veux dire, franchement, tu as un meilleur coup que lui.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Leonard. Regarde ça. J’ai acheté une locomotive jauge-N. la moitié de la taille du H-O. regarde, ça rentre dans ma bouche.
Leonard : On dirait que t’as passé une super nuit.
Sheldon : Oh, oui. Et toi ?
Leonard : Pas mal. Je me suis beaucoup plus amusé avec Amy que je ne l’aurais pensé.
Sheldon : Qu’est-ce que tu veux dire ?
Leonard : Et bien, il s’avère qu’elle sait vraiment comment aider un homme à se lâcher et à passer un bon moment. Bien que, à vrai dire mon aine me fasse un peu souffrir. Pourquoi t’as fait ça ?
Sheldon : Pour t’envoyer un message, elle n’est pas faite pour toi.
Leonard : Quoi ?
Sheldon : Pas pour toi !
SCENE : La chambre d’Howard.
Bernadette : Bonjour, bel homme.
Howard : Bonjour, maman.
Bernadette : C’est moi.
Howard : Oui, c’est toi, et tu es tellement belle le matin.
Bernadette : Ta mère et moi avons préparé ton petit déjeuner.
Howard : Oh waouh, donc vous vous entendez bien ?
Bernadette : Oui, je crois. Nous sommes des personnes très différentes, Howard, et alors, la communication est un peu compliquée.
Mme Wolowitz : Est-ce qu’il aime les pancakes ?
Bernadette : Il ne les a pas encore goûtés !
Howard : Y a-t-il du beurre ?
Bernadette : C’est du sirop saveur beurre.
Mme Wolowitz : Alors, quel est le terme ?
Bernadette : Il veut du beurre !
Mme Wolowitz : C’est du sirop saveur beurre !
Bernadette : Je lui ai dit ça !
Howard : Je n’ai pas besoin de beurre.
Bernadette : Si tu veux du beurre, je vais te chercher le beurre.
Howard : Et bien, j’imagine que je vais les couper tout seul.
Fin de l’épisode.