SCENE : Le Cheesecake Factory.
Penny : Salut, vous êtes prêts à commander ?
Tous : Oui.
Penny : Ok, Priya ?
Priya : Euh, je vais prendre la tarte du berger. Tu veux la partager avec moi ?
Penny : Oh, non, non, non, il ne veut pas.
Priya : Pourquoi pas ?
Penny : Et bien, il y a du lait, dans les pommes de terre, du lait dans la sauce, du gratin au parmesan. Ton petit-copain lacto-intolérant va se transformer en ballon plein de gaz de la Macy’s Day Parade.
Sheldon : Aucune chance. Les ballons de la parade sont remplis avec de l’hélium, tandis que Leonard produit une abondante quantité de méthane.
Leonard : Donc non pour la tarte. Peut-on passer à autre chose ?
Penny : Oui, un conseil, s’il dit qu’il peut manger du yaourt glacé, ne le crois pas.
Leonard : Poisson ! Je vais prendre le poisson !
Howard : Tu vas aimer ça. La copine et ton ex qui fraternisent sur les vapeurs de ton cul puant.
Leonard : Tuez-moi.
Sheldon : Ça serait inutile. Le corps humain est capable de libérer des gaz pendant des heures après la mort.
Bernadette : Les gars, désolée du retard. J’ai des nouvelles fantastiques.
Sheldon : Bernadette, avant que tu changes de sujet, est-ce quelqu’un a un dernier commentaire à faire sur l’appareil digestif défectueux de Leonard ?
Leonard : Donc, quelles sont tes nouvelles, Bernadette ?
Bernadette : Le Comité a accepté ma thèse de doctorat. Je vais avoir mon doctorat !
Penny : Wow !
Howard : Oh, félicitations.
Penny : Wow, ça veut dire que tu es docteur, tu es docteur, tu es docteur, tu es docteur, et Howard tu connais beaucoup de docteurs.
Howard : Félicitations, chérie.
Bernadette : Merci.
Leonard : Donc, Howard dis-nous ce que ça te fait de savoir que lorsque tous les deux vous serez mariés, vous serez appelés Monsieur et Docteur Wolowitz ?
Sheldon : A moins qu’il ne prenne le nom de Bernadette, et étant donné qu’elle a un statut plus élevé ça pourrait lui ouvrir des portes.
Howard : S’il vous plait, il ne s’agit pas de moi. Je suis fier de toi.
Bernadette : Eh bien, tu vas vraiment être fier du résultat. Un important groupe pharmaceutique m’a fait une offre. Ils vont me payer beaucoup d’argent.
Howard : Quoi ?
Leonard : Bernadette, c’est super. Howard, est-ce que tu gagnes un tas de fric ?
Howard : Bien plus que toi tu penses en avoir.
Leonard : Hé, si je roule la vitre baissé, ça me donne un teint de pêche. Si toi, tu le fais, tu ne seras pas davantage docteur.
Penny : Ouais, une petite info sur la question de baisser la vitre. Ça aide, mais tout n’est pas couleur pêche.
Générique.
SCENE : L’appartement de Raj.
Priya : Mon Dieu, je me sens ridicule dans cette robe.
Leonard : Vous êtes magnifique, Lieutenant Uhura. Maintenant préparez-vous pour … l’inspection.
Priya : Chut, mon frère va nous entendre.
Leonard : Détends-toi, il a mis ses écouteurs. Et on est dans un vaisseau spatial à 16 kilomètres de la terre.
Raj : Vraiment ? 16 kilomètres ? Vous êtes en orbite atmosphérique ? Crétin.
Priya : Je ne peux pas croire que je porte le costume d’Halloween de mon frère.
Leonard : Je ne peux pas croire que tu penses qu’il ne le met que pour Halloween. Ouvrez les portes de la soute, navette en approche.
Raj : Ok, je dois y aller.
SCENE : La maison d’Howard.
Howard : Hé, ça va ?
Mme Wolowitz : C’est ma future belle fille, le docteur ?
Howard : Non, m’man, c’est Raj.
Mme Wolowitz : Il est aussi docteur, non ?
Howard : Oui !
Mme Wolowitz : Comme Leonard et le maigrichon bizarre !
Howard : Sheldon, oui ! Tout le monde est docteur sauf moi !
Mme Wolowitz : Et à qui la faute ?
Howard : Quoi de neuf ?
Raj : Leonard met des souvenirs dégoutants dans mon matelas à mémoire de forme. Je peux rester ici ce soir ?
Howard : Bien sûr, mais je sors avec Bernadette. Tu seras seul avec ma mère.
Raj : Je pense que ça ira.
Howard : M’man, Rajesh peut rester dormir?
Mme Wolowitz: Bien sûr, lui et moi on pourra jouer au docteur.
Raj : Elle plaisante, hein ?
Howard : Je ne sais pas, elle est un peu fougueuse depuis qu’ils lui donnent des hormones de substitution.
Mme Wolowitz : Je t’attends, Docteur Beau Gosse !
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Je dois le dire, Amy, j’étais très impressionné de voir que Bernadette ai obtenu son doctorat.
Amy : En effet, c’est admirable. Même si c’est … de la microbiologie.
Sheldon : Ton doctorat est en neurobiologie. Je ne vois aucune différence.
Amy : Je vais simplifier pour toi. J’étudie le cerveau, l’organe à l’origine de la 5ème symphonie de Beethoven. Bernadette étudie les levures, l’organisme à l’origine de la bière Miche lob Light. Il y a quelque chose qui cloche avec ton cou ?
Sheldon : Il est un peu raide. Quelle structure extrêmement fragile pour supporter une charge aussi précieuse. Comme un œuf de Fabergé en équilibre sur la pointe d’une baguette magique.
Amy : As-tu envisagé un massage ?
Sheldon : J’aimerais répondre à cette question d’une façon sarcastique. Oui, j’aime l’idée qu’un étranger recouvre mon corps avec de l’huile et me frotte avec.
Amy : Je suggère que tu masses tes muscles avec tes propres mains.
Sheldon : Mais cela demanderait pour moi trop de contacts inutiles.
Amy : Fais-moi confiance. Avec ta main droite, localise l’endroit où l’omoplate rejoint l’acromial.
Sheldon : D’accord.
Amy : Appuie maintenant ton majeur le long de l’arête de l’omoplate, en effectuant une légère rotation.
Sheldon : Une rotation.
Amy : Tu remarqueras une excroissance comme une petite boule se déplaçant le long de l’os.
Sheldon : Tu parles du point myofascial ?
Amy : Evidemment. A présent appuie dessus comme les shampouinages en classe de 5e et qu’on connait si bien.
Sheldon : Oh, Seigneur, oui, oui. Oh oui ! Amy, je n’ai jamais été touché comme ça avant. Oh, mes mains sont magiques !
Amy : Ne te flatte pas trop. Tes mains sont des outils guidés par ma connaissance du système nerveux. J’aurais pu tout aussi facilement te paralyser.
Sheldon : Il y a quelqu’un à ma porte.
Amy : Ça ne m’intéresse pas. Au revoir.
Raj : Je peux dormir ici cette nuit ?
Sheldon : Pourquoi ?
Raj : Leonard a des rapports sexuels genre alien de Star Trek avec ma sœur.
Sheldon : Je peux imaginer comment cela peut être inquiétant, entre. Je vais chercher des draps et des couvertures pour le canapé.
Raj : Oh, ne t’inquiète pas. Je vais dormir dans la chambre de Leonard.
Sheldon : Non, je ne peux pas autoriser ça.
Raj : Et bien, il est dans mon lit. Pourquoi je ne serais pas dans le sien ?
Sheldon : Le code d’Hammourabi stipule « œil pour œil », pas « lit pour lit ».
Raj : Allez, mec, je suis crevé, et Tyra Banks a dit que l’outil le plus important dans ta trousse de maquillage est une bonne nuit de sommeil.
Sheldon : Très bien. C’est ma manière de décliner tout problème découlant de ton utilisation de la chambre de Leonard. Signe ici, en indiquant que j’ai essayé de t’en empêcher en ayant une expression faciale sévère.
Raj : Bonne nuit Sheldon.
Sheldon : Attends, pas encore. Nous avons encore à voir les procédures de sécurité. Actuellement, l’appartement dispose de 3 issues de secours situées ici, ici et ici. En cas de panne électrique, de la lumière lumineuse te guidera vers la sortie la plus proche.
Raj : Tu plaisantes.
Sheldon : Je ne plaisante jamais avec la sécurité.
SCENE : La chambre de Leonard.
Leonard : Qu’est-ce que tu fais là ?
Raj : Je dormais.
Raj : Et bien, j’aurais préféré dormir dans mon lit, mais il était utilisé pour apporter la honte sur toute ma famille. Et à la mémoire de Gene Roddenberry.
Leonard : Oh, t’as entendu ça ?
Raj : « Scotty, j’ai besoin de plus de puissance ».
Leonard : Désolé. Est-ce que Sheldon sait que tu dors ici ?
Raj : Tu plaisantes ? Il m’a fait signer une décharge, et participer à un exercice incendie, et fait un cours sur les premiers secours. Dieu merci, il avait un mannequin.
Leonard : Oh, oui. Mona Bouche-à-bouche. Tu sais qu’elle est sortie avec Howard ?
Raj : Oh mon Dieu, cette Mona ? Pourquoi toi et ma sœur ne pouvez-vous pas passer vos nuits ici ?
Leonard : On a essayé. Elle ne s’entend pas avec Sheldon.
Raj : Sheldon ne s’entend pas avec Sheldon. Pourtant, je ne vois aucune raison de t’écouter armer tes torpilles à photons toutes les nuits.
Leonard : Ok, et bien, que dis-tu de ça, jusqu’à ce que Priya ait son propre appart, tu restes ici et je resterai dans ton appartement.
Raj : Je peux ramener des filles ?
Leonard : Toi ? Bien sûr, ramènes en autant que tu veux.
Raj : Ok, d’accord.
Leonard : Mais pas contre leur volonté.
SCENE : Le restaurant universitaire.
Leonard : Tu penses vraiment que tu devrais manger ce gâteau ?
Howard : Pourquoi ?
Leonard : Comme tu vas être un mari trophée pour une femme riche, tu ferais mieux de surveiller ton tour de taille.
Raj : Il a raison. Une minute sur les lèvres, à vie sur les hanches.
Howard : Ouais, ah ah. Premièrement, je ne suis pas menacé par le succès de ma fiancée. Je suis fier d’elle. Et deuxièmement, j’ai ma propre carrière.
Leonard : Jusqu’à ce que vous ayez des enfants.
Sheldon : Bonne nouvelle, Raj. J’ai reçu les analyses de sang du labo. Tu peux rester un moment.
Raj : Quand as-tu pris mon sang ?
Sheldon : C’est sans importance. Ton taux de sucre est un peu élevé. J’ai vu ça avec ton médecin traitant. Cependant, j’ai des papiers ici que tu dois regarder.
Raj : Qu’est-ce que c’est que ça ?
Sheldon : La routine, des formalités. Un accord de colocation modifié pour un invité temporaire. Et un testament et une procuration non daté.
Raj : Qui dit que tu peux prendre des décisions de fin de vie pour moi.
Sheldon : Etant ton ami, espérons que nous n’en arriverons pas là. S’il te plait, signe.
Raj : Tu as signé ça ?
Leonard : Il y a une clause de réciprocité. Tu peux le débrancher aussi.
Raj : Et bien, ça semble juste.
Sheldon : Félicitations et bienvenue temporairement à bord. Voici ta carte d’identification, ta clé et ton pin’s, que Leonard est trop cool pour porter. Pour ton information, une partie de tes responsabilités en tant que colocataire sera de me conduire au travail et du travail au magasin de comics, chez le coiffeur et au parc pendant une heure tous les dimanches pour prendre l’air.
Leonard : Emmène une balle ou un frisbee, tu sais quelque chose pour qu’il court après.
Sheldon : Tu es chargé aussi de ramener à la maison tous les dînes à emporter. Ce soir c’est nourriture Thaï. Tu trouveras la commande standard à l’annexe B ou téléchargeable depuis mon serveur FTP. Si tu as des questions, voici la page FAQ et si tu préfères le contact humain, j’ai un site de tchat appelé « causerie d’appart » les mardis soirs.
Leonard : Pas de retour en arrière.
SCENE : L’appartement de Sheldon et Leonard.
Raj : Sheldon, dîner !
Sheldon : Qu’est-ce que c’est ?
Raj : Ça, c’est la différence entre manger et dîner.
Sheldon : Remarquable. Je réalise seulement combien Leonard a patiné toutes ces années.
Raj : Ce n’est pas grand chose. Pense à moi comme une Martha Stewart bronzé.
Penny : Hé, Sheldon, tu as encore changé ton mot de passe Wifi ?
Sheldon : Oui, c’est « Penny, aie ta propre Wifi ». Sans espaces.
Penny : Merci. Wow ! Qu’est-ce que c’est que cette fantaisie ?
Sheldon : Mon nouveau colocataire se plie en quatre pour s’attirer mes bonnes grâces. Euh, agréable attention, au fait.
Penny : Qu’entends-tu par nouveau colocataire ? Qu’est-il arrivé à Leonard ?
Sheldon : La même chose qui est arrivée à l’homo erectus. Il a été remplacé par une espèce supérieure.
Raj : Je suis le nouvel homo en ville. J’ai pas voulu dire ça.
Penny : Très bien, laisse-moi encore essayer. Où est Leonard ?
Raj : Il vit chez moi, de sorte que je vis ici maintenant.
Sheldon : Tu vis ici provisoirement. Mais je dois dire que ça se présente bien.
Penny : Leonard et Priya habitent ensemble ? C’est énorme.
Sheldon : Non. Le pliage de serviette en forme de cygne … c’est énorme.
Raj : C’est une bonne chose.
SCENE : L’appartement de Bernadette.
Howard : Alors quelle genre de recherches vas-tu faire pour cette société pharmaceutique ?
Bernadette : Oh, il y a plusieurs opportunités. Mais je me suis portée volontaire pour un projet sur l’éjaculation précoce. Pas l’un de nous deux avait une maladie cardiaque. J’avais presque oublié. Je t’ai acheté un petit cadeau.
Howard : Oh, Bernie. Il ne fallait pas.
Bernadette : J’en avais envie. Allez, ouvre.
Howard : Tu m’as acheté une Rolex ? Combien ça a couté ?
Bernadette : Laisse-moi m’occuper de l’argent. Je veux juste que mon bébé ait de jolies choses.
SCENE : L’appartement de Sheldon et Leonard.
Raj : Plus de vin ?
Penny : Oh, non, non, non. J’ai déjà trop bu.
Sheldon : Voici nu fait intéressant à propos de l’alcool.
Penny : Sers-moi.
Sheldon : L’homme n’est pas la seule espèce que les fruits fermentés rendent ivre. Peux-tu deviner qu’elle est l’autre ? Indice, parfois, ils gardent l’alcool dans leur trompe.
Penny : Des singes.
Sheldon : Depuis quand les singes ont une trompes ?
Penny : Quand il n’a pas de valise.
Sheldon : Mmm, d’accord. Il semblerait que l’alcool joue à cache-cache avec ton intelligence. Bonne nuit. Tu accepteras de noter qu’il est déjà plus de 22 h. D’après notre contrat, tu voudras bien t’abstenir de rire de façon rauque, de cogner des verres, et de fêter quelque chose à coup de fusil.
Penny : Ok, explique-moi un truc. Tu as vu Leonard supporter ce gars, année après année. Qu’est-ce qui se passe dans ton cerveau pour que tu penses, « Oh, Krishna, je dois l’avoir » ?
Raj : Et bien, c’est beaucoup mieux que d’avoir à porter un casque dans mon propre appart.
Penny : Quoi ? Oh mon Dieu, ouais, ouais. Leonard est un peu bruyant au lit.
Raj : Tous les soirs.
Penny : Vraiment ? Même en période d’allergies, quand il doit alterner entre les baisers et respirer ?
Raj : C’est ma sœur. On peut arrêter de parler de ça.
Penny : Oui. Désolée, désolée. Je peux te dire un secret ?
Raj : Oui.
Penny : J’ai merdé. Leonard est un gars bien. Je n’aurais jamais dû rompre avec lui.
Raj : Et bien, pour paraphraser Shakespeare, « il vaut mieux avoir aimé et perdu que de rester à la maison tous les soirs à télécharger des pornos de plus en plus honteux ».
Penny : Oh … pauvre bébé.
Raj : Qu’est-ce qui ne va pas chez moi, Penny ?
Penny : Rien, rien. Tu sais si on n’était pas amis, et que tu n’avais pas évoqué cette histoire pornographique, je t’aurais sauté dessus à la vitesse de la lumière, proportionnelle à la matière pour produire de l’énergie.
Raj : Hé, tu as totalement raison ! E=mc².
Penny : J’écoute. Je n’ai aucune idée de ce que cela veut dire, mais j’écoute. A l’amitié.
Raj : A l’amitié.
Sheldon : Pourriez-vous arrêter ce bruit infernal, bande de saoulards. Et la réponse était un éléphant !
SCENE : L’appartement de Raj.
Priya : Leonard, chéri, on s’embrasse, on ne mange pas de la soupe.
Leonard : Désolé.
Priya : Ce sont mes parents en visioconférence. Va te cacher dans la chambre.
Leonard : Oh, allez ! Pourquoi on ne leur dit pas qu’on sort ensemble.
Priya : On en a déjà parlé. Ce n’est pas le moment.
Leonard : Ce sera quand le moment ?
Priya : J’ai 5 frères et sœurs. L’un deux va irrémédiablement merder, et alors je leur parlerai de nous. Maintenant, pars.
Leonard : Bien …
Priya : Bonjour maman, bonjour papa.
M. Koothrappali : On a entendu qu’il y avait une tornade à Kansas City. C’est prêt de chez toi ?
Priya : Non.
Mme Koothrappali : Où est ton frère ?
Priya : Sorti avec des amis.
M. Koothrappali : Je n’aime pas ça, une jeune fille seule dans un appartement.
Mme Koothrappali : Je dormirai tellement mieux quand tu reviendras à la maison le mois prochain.
Leonard : Tu repars en Inde ?
M. Koothrappali : Qui est-ce ?
Mme Koothrappali : Oh mon Dieu ! Il y a quelqu’un dans ton appartement. Appelle la police en Amérique !
Leonard : Quand est-ce que tu allais me le dire ?
Priya : Oh, bonjour Leonard. Quelle agréable surprise. Maman, papa, vous vous rappelez de l’ami de Rajesh, Leonard.
M. Koothrappali : Je croyais que Rajesh était sorti avec ses amis.
Priya : Il a plusieurs amis.
- Koothrappali : Rajesh a plusieurs amis ?
Mme Koothrappali : Pourquoi tu nous mens ?
Leonard : Elle ment pour pas que vous sachiez que nous sortons ensemble.
Priya : Leonard !
Leonard : Quelle différence ça fait ? Si tu repars en Inde, nous allons forcément nous séparer.
Priya : Tu sais quoi ? Je ne veux pas en parler maintenant.
Leonard : Donc …Il fait chaud en Inde ?
M. Koothrappali : Bien sûr. Toujours. C’est l’inde. Maintenant, que vas-tu dire pur ta défense ?
Leonard : Euh … C’est une belle tapisserie.
SCENE : La chambre de Leonard.
Penny : Oh, mon Dieu. Oh, mon Dieu ! Ok, écoute. Ce n’est jamais arrivé. C’est compris ? Vraiment ? T’arrives toujours pas à me parler ?
SCENE : L’appartement de Sheldon et Leonard.
Sheldon : Que fais-tu ici ?
Leonard : Quoi ?
Sheldon : J’ai dit, que fais-tu ici ?
Leonard : J’habite ici.
Sheldon : J’ai des papiers qui disent le contraire.
Leonard : Priya retourne en Inde.
Sheldon : Sans importance. Rajesh et moi avons quelque chose de bien et tu ne vas pas le détruire. Que fais-tu là ?
Howard : Je n’ai pas dormi de la nuit. Je me suis disputé avec Bernadette.
Sheldon : Pourquoi ?
Howard : Elle m’a offert une magnifique montre.
Sheldon : Leonard, tu comprends ça ?
Leonard : Oui.
Sheldon : Parle-lui.
Penny : Chiotte !
Leonard : Que se passe-t-il ?
Penny : Oh … Ce n’est pas ce que vous pensez.
Sheldon : A quoi on pense ?
Fin de l’épisode.