SCENE : Le Cheesecake Factory.
Penny : Salut, fais-moi une faveur et prends la table sept.
Bernadette : Tu veux dire celle avec mes 53 kilos de muscles de fiancé qui est sujet aux aphtes et la conjonctivite ?
Penny : Non, je préfère la voir comme celle avec mon ex-copain et sa magnifique, talentueuse et sophistiquée petite amie, qui me fait sentir comme une Okie sans dents.
Bernadette : Tu veux que je renverse une soupe chaude sur elle ?
Penny : Tu n’es pas ce genre de personne.
Bernadette : Je sais. Mais si elle commande quelque chose d’allégée, je vais lui donner quelque chose de bien gras.
Leonard : Euh, c’est mon eau.
Sheldon : Quoi ?
Leonard : Mon eau. T’e en train de la boire.
Sheldon : Seigneur ! Tu en as bu ?
Leonard : Oui. C’est mon eau.
Sheldon : Eh bien, c’est fini. Je suis mort.
Leonard : C’est parti.
Sheldon : Je suis désolé, dois-je vraiment faire le cheminement pour vous ? Le retentissement dans ce verre représente chaque pathogène qui appelle ta bouche, douce maison. Sans mentionner les visiteurs qui arrivent de la langue de ta petite amie subtropicale.
Raj : Hey ! C’est ma sœur et de mon pays dont tu parles. Leonard peut en avoir souillé une, mais je ne te laisserai pas dire du mal des autres.
Bernadette : Vous êtes prêts à commander les gars ?
Sheldon : Oui, je voudrais un traitement de sept jours de pénicilline, du sirop d’ipéca pour vomir, et un bonbon à la menthe.
Bernadette : Je ne comprends pas.
Howard : Il a bu dans le verre de Leonard.
Sheldon : « Il a bu dans le verre de Leonard ». Les mots qui seront inscrits sur ma pierre tombale.
Leonard : En fait, c’est ma serviette.
Sheldon : Oh, c’est un cauchemar !
Howard : Où est-ce que tu vas ?
Sheldon : Au bar, pour stériliser ma bouche avec de l’alcool. Dégagez le passage ! L’homme mort arrive !
Générique.
SCENE : Quelques minutes plus tard.
Bernadette : Ok. Voilà. Deux limonades, un thé glacé et un soda pour Priya.
Priya : Il est light ?
Bernadette : C’est ce que tu as commandé.
Priya : Merci. Hé, est-ce que toi et Howard avez déjà planifié votre mariage ?
Bernadette : Ouais. Nous pensons le faire sur une falaise qui surplombe l’océan.
Howard : Rien d’autre que les pensées de chute et de noyade ne calme les pensées d’avant mariage.
Leonard : Qu’est-ce que ta mère a dit quand tu lui as dit que tu allais te marier ?
Bernadette : Il ne lui a pas encore dit. Il attend le bon moment.
Howard : Je pensais lui dire dans son éloge funèbre.
Priya : Howard, tu dois le dire à ta mère.
Howard : Hey, as-tu dit à tes parents que tu sors avec ce court verre de lait écrémé ici présent ?
Priya : Euh … C’est différent. Tout d’abord, nous ne sommes pas fiancés, et deuxièmement, les parents indiens sont très protecteurs avec leurs enfants.
Howard : C’est vrai. Tandis que les mères juives prennent une approche informelle envers leurs fils.
Sheldon : Je me suis gargouillé avec de la téquila et il se peut que j’en ai avalé un peu.
Leonard : Tu vas bien ?
Sheldon : Très bien. Merci de poser la question. Je t’aime tellement.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Démon de feu.
Raj : Oh, démon du feu. Sheldon fait monter la température …
Howard : Maître des trolls.
Raj : Mate-moi un peu ça ! Howard tire de dessous le pont. Bien joué !
Leonard : Les Naïades, les filles de Zeus.
Raj : Oh oui, elles ont tous les attributs dans tous les bons endroits.
Sheldon : Pourrais-tu s’il te plaît jouer le jeu sans commenter chaque carte ?
Raj : Désolé. Arbre marchant.
Sheldon : La dernière.
Raj : Je fais une promenade et je fais un sportif des bois.
Howard : Okay, l’Aigle a atterri.
Leonard: Qu’est-ce qui se passé?
Howard : Bernadette et ma mère ont un repas où elles feront connaissance au Deli dans la vieille ville.
Raj : Oh, ça semble bien.
Howard : C’est ce que j’espère. Bien sûr, si on suit les indications que l’histoire nous fournit ma mère va avaler Bernadette et cracher ses os comme un hibou.
Leonard : As-tu déjà rencontré les parents de Bernadette ?
Howard : Tu veux dire Adolf et Eva ? Pas encore. Chaque chose en son temps.
Raj : Sheldon, c’est ma bouteille.
Sheldon : Oh, Seigneur !
Leonard : Ce n’est pas ta bouteille.
Raj : Je sais.
Sheldon : Où est le rince-bouche ?
Raj : Où, en effet.
SCENE : La maison d’Howard.
Howard : Maman, je suis à la maison. Où es-tu ?
Mme Wolowitz : Je suis dans les toilettes !
Howard : Alors, comment ça s’est passé ?
Mme Wolowitz : Trop tôt pour le dire ! Je n’ai pas encore fini !
Howard : Non, je veux dire le déjeuner, aujourd’hui, avec Bernadette !
Mme Wolowitz : Oh ! J’ai eu un sandwich pastrami. Elle a commandé des lasagnes. Comme si c’était ce que commande une personne dans un restaurant juif.
Howard : A part la nourriture, vous vous êtes bien entendu ? Vous avez parlé ?
Mme Wolowitz : Oh, bien sûr ! Sais-tu qu’elle va à l’école pour devenir une microbiologiste ?
Howard : Non, elle n’en a jamais parlé.
Mme Wolowitz : Je parie qu’elle l’a déjà mentionné et que tu n’as pas écouté !
Howard : Ouais, c’est sans doute ça. Alors, tu en penses quoi ? Tu l’as apprécié ? Elle est super, hein ?
Mme Wolowitz : Elle est une adorable fille ! Elle est trognon.
Howard : C’est bon à entendre, parce que j’ai une nouvelle.
Mme Wolowitz : J’espère que c’est une bonne nouvelle, parce que là où je suis, je suis déçue.
Howard : Bernadette et moi allons nous marié. Maman ? Tu es trop occupée ? Maman ? Oh mon Dieu. Maman ? Recule, je vais enfoncer la porte ! Fils de pute ! Maman, au secours !
SCENE : La buanderie.
Penny : Salut.
Sheldon : Bonjour.
Penny : Je ne t’ai pas vu depuis un moment. Comment ça va ?
Sheldon : Oh, bien, à part l’attente de la période exponentielle de développement d’organismes virulent passant par mes microvillosités pour aller dans mon système circulatoire. J’ai dit quelque chose d’amusant ?
Penny : Je ne sais pas, peut-être, je n’ai aucune idée de ce que tu as dit.
Sheldon : Donc, ta joie est simplement une décharge d’énergie nerveuse sans contenu sémantique.
Penny : Ma joie. Classique.
Sheldon : Tu vas t’arrêter à une gare où je pourrais rejoindre ton train de pensée ?
Penny : Ce n’est pas difficile, Sheldon. C’est juste que, depuis que Leonard sort avec la sœur de Raj, j’ai dû garder mes distances. Je n’ai plus l’occasion d’entendre toutes tes babilleries.
Sheldon : Babilleries ? Je ne babille pas.
Penny : Que fais-tu au travail ces jours-ci ?
Sheldon : Oh, je travaille sur les espaces temps avec la théorie des cordes, spécifiquement dans le champ quantique de la théorie dans l’espace « d-dimension » de Sitter.
Penny : Bon, allez, tu dois admettre que c’est du babillage.
Sheldon : Intéressant, tu sais d’où l’expression babiller vient ?
Penny : Oh, mon Dieu, tu es sur le point de babiller à propos du babillement.
Leonard : Howard et sa mère sont à l’hôpital. Allez, il faut y aller.
Penny : Oh, mon Dieu ! Qu’est-il arrivé ?
Leonard : Je ne sais pas, je viens de recevoir un SMS. Allez, dépêchez-vous.
Penny : Ok.
Leonard : Sheldon, allons-y !
Sheldon : A l’hôpital ? Plein de gens malades ? Oh, je ne crois pas.
Penny : C’est ton ami et sa mère, on y va.
Sheldon : Je ne peux pas.
Penny : Oh, ne me dit pas que t’as peur des germes.
Sheldon : Pas tous. Juste ceux qui peuvent me tuer. C’est pareil, je n’ai pas peur de tout les couteaux à viande, juste ceux qui peuvent s’enfoncer dans mon thorax.
Leonard : Très bien, je dirais à Howard que tu ne viens pas parce que tu es plus concerné par ton bien-être qu’as lui.
Sheldon : Je suppose qu’il le sait déjà.
Penny : Ok, tu sais quoi ! Tu es incroyable. Tu achètes tous ces t-shirt de super héros, mais quand il est temps pour toi d’entrer en action et de faire la chose juste, tu te caches dans la laverie.
Sheldon : Très bien, je viens. Pour les archives, ma tante Ruth est morte dans un hôpital. Elle était allée rendre visite à mon oncle Roger, a attrapé quelque chose et a mordu la poussière la semaine d’après. Maintenant, les deux se partagent une boite de café sur la cheminée de ma mère.
SCENE : La salle d’attente de l’hôpital.
Howard : Donc, j’ai défoncé la porte de la salle de bain, ramassé ma pauvre mère inconsciente, l’ai porté dans la voiture et j’ai conduit comme un fou aux urgences.
Bernadette : Tu es un vrai héros, Howard.
Howard : Non, j’ai fais ce que n’importe quel fils aurait fait.
Penny : Attends une seconde. Tu as ramassé ta mère ? Ses propres jambes peuvent à peine la soulever.
Howard : J’étais rempli d’adrénaline. C’est comme ça que les femmes enlèvent les bébés de sous les voitures.
Penny : Oui, c’est ce que je dis, c’est plus simple de soulever une voiture.
Howard : Que veux-tu que je te dise ? Après avoir trouvé la courage de lui remettre son pantalon, on ne pouvait pas me stopper.
Leonard : Alors, elle va bien ?
Howard : Ils font des examens. Je ne sais pas. C’était peut-être une crise cardiaque ou un épisode ressemblant à une crise cardiaque.
Penny : C’est quoi la différence ?
Sheldon : Un épisode ressemblent à une crise cardiaque est un événement qui est comme une crise cardiaque.
Penny : Merci d’avoir éclairci les choses.
Sheldon : Néanmoins, les problèmes coronaires sont tout à fait traitables. Ce qui a le plus de chances de tuer la mère d’Howard sont les microbes purulents dans tous les recoins de cet hôpital résistants aux antibiotiques.
Penny : Tu n’aides pas là.
Sheldon : Je ne suis pas d’accord.
Leonard : Va t’asseoir là-bas.
Sheldon : Je vais plutôt m’asseoir là-bas, ça semble plus propre.
Leonard : Il y a une histoire de maladie cardiaque dans ta famille ?
Howard : Ma famille est une histoire de maladie cardiaque. Il y a une peinture rupestre en France d’un de mes ancêtres faisant ça.
Bernadette : Donc, c’est probablement génétique.
Howard : Et bien, peut-être. Maman vient juste de recevoir des nouvelles qui pourrait l’avoir un peu contrarié.
Bernadette : Quoi ?
Howard : Ce n’est pas important.
Bernadette : Allez, Howard, je vais devenir ta femme. Tu peux tout partager avec moi.
Howard : Tu penses ça. Mais non.
Bernadette : Tu lui as dit que nous allions nous marier et elle a eu une attaque cardiaque ?
Howard : Tu ne dois pas le prendre personnellement.
Penny : Comment pourrait-elle le prendre autrement ?
Howard : Ce que tu dois garder à l’esprit c’est que depuis que mon père est parti, j’ai été le monde entier de ma mère. Je veux dire, elle se sent menacée par n’importe quelle femme qui peut me donner ce qu’elle ne peut pas me donner.
Bernadette : Tu veux dire des relations sexuelles ?
Howard : Et bien, quand tu le dis comme ça, ça sonne affreux.
Priya : Il s’est passé quoi ?
Bernadette : La mère d’Howard a eu une crise cardiaque parce que je couche avec lui et qu’elle ne peut pas.
Howard : Bernie, attends !
Raj : Je te donne 1000 $ si tu me ramènes à la maison.
Priya : C’est sympa d’être venu pour Howard.
Penny : C’est mon ami. C’est ce qu’on fait.
Priya : Désolée, j’ai raté quelque chose ?
Penny : C’est tellement bizarre. Howard Wolowitz est mon ami. Une fois, il a essayé de mettre sa langue dans ma bouche et je lui ai cassé le nez.
Priya : C’est plus facile à croire, et il est ton ami.
Penny : Oui, parle-moi de ça.
Priya : Tu sais, mon frère avait un groupe d’amis comme ça en Inde. Ils portaient des collants et des lunettes de protection et s’appelaient Les Powers Rangers de New Delhi.
Penny : Tu veux dire quand il était petit.
Priya : Pas aussi petit que tu l’imagines.
Penny : Tu sais, ce truc est affreux. Tu veux voir si on peut trouver la cafétéria et prendre un vrai café ?
Priya : Bien sûr. On va à la cafétéria pour prendre du café. Vous voulez quelque chose ?
Leonard : Non, ça va. C’est sympa qu’elles s’entendent bien.
Raj : Ta petite amie et ton ex-petite amie traînent ensemble ? Ouais, ça peut être que bien pour toi.
Leonard : De quoi tu parles ?
Raj : L’une d’elle a cassé avec toi. Veux-tu vraiment qu’elle dise à l’autre pourquoi ?
Leonard : Je m’en fous. Je n’ai rien à cacher.
Raj : Bien, bien. Alors, il n’y a pas de quoi s’inquiéter.
Leonard : Non, je n’ai pas de quoi m’inquiéter. Tu es un méchant petit homme.
Raj : Tu pensais que ce serait à cause de mes parents qui ne m’aimaient pas, mais en réalité, ils m’ont beaucoup aimé.
Howard : Bernie, ce n’est pas toi. C’est juste comme elle est.
Bernadette : Comment est-ce qu’on peut être ensemble si la pensée de nous deux étant marié pourrait tuer ta mère ?
Howard : C’est le cercle de la vie, chérie. Un jour, notre fils épousera quelqu’un et ça nous tuera.
Sheldon : Howard, je dois aller aux toilettes et personne ne veux me ramener à la maison.
Howard : C’est quoi le problème avec les toilettes d’ici ?
Sheldon : Pneumocoque, streptocoque, staphylocoque et autres coques.
Howard : Sheldon, ma mère est sur son lit de mort et ma fiancée est en deuil car elle l’a mise là. Je ne te ramène pas.
Sheldon : Pourrais-tu au moins m’accompagner aux toilettes, comme ça tu pourras m’ouvrir la porte et me tirer la chasse ?
Howard : Non !
Sheldon : Cela pourrait être le bon moment pour lui indiquer, Howard. Cette amitié exige que l’on donne et prenne. Tenez la porte.
Médecin : M. Wolowitz ?
Howard : Est-ce qu’elle va bien ?
Médecin : Ce n’était pas une crise cardiaque. Elle est éveillée, elle se repose confortablement. Nous faisons toujours des tests.
Howard : Pourrais-je la voir ?
Médecin : En fait, elle a dit, je cite, qu’elle aimerait voir la jeune fille catholique en premier.
Bernadette : Moi ? Pourquoi moi ?
Howard : Les juifs se sont posés la question durant des siècles. Il n’y a aucune bonne réponse.
Bernadette : Ok, et bien, souhaite-moi bonne chance.
Howard : Ne t’inquiète pas, tout va bien se passer. Cachons juste cette croix. Si elle l’a touche, elle brûle.
Médecin : Tu as ramené une catholique à ta mère ?
Howard : Oui.
Médecin : Pourquoi je ne te fais pas une ordonnance pour du Xanax.
SCENE : Le couloir de l’hôpital.
Sheldon : Enfin. Oh, quel enfer est-ce ?
Médecin : Attendez, vous ne pouvez pas partir, vous avez été exposé.
Sheldon : Non, c’est faux. Tout va bien.
Penny : Tu veux parler des mères folles ? La mère de Leonard ne lui as jamais donné la moindre approbation en grandissant.
Priya : Oh, le pauvre.
Penny : Ça le rend désespérer de faire plaisir aux femmes. C’est pour ça que les préliminaires durent autant.
Priya : C’est vrai, n’est-ce pas ?
Penny : C’est comme s’il essayait de gagner un prix. Un conseil, ne pas s’assoupir. Tu n’en verras jamais la fin.
Sheldon : Aide-moi ! Reviens ! Penny !
SCENE : La salle d’attente de l’hôpital.
Leonard : Il y a un certain nombre de choses que j’ai fais avec Penny qui sont un peu folle, mais …
Raj : Comme quoi ?
Leonard : De temps à autre, avant d’aller au lit, je faisais un petit show pour elle.
Raj : Comment ça un show ?
Leonard : Et bien, tu sais, la façon dont j’enlevais mes habits.
Raj : Sur de la musique ?
Leonard : J’aurais eu l’air bête s’il n’y avait pas de musique.
Raj : Donc tu faisais un striptease ?
Leonard : Je ne dansais pas autour d’une barre.
Raj : Bien, bien.
Leonard : Il y a une fois ou j’ai mis des paillettes sur mon corps.
Raj : Je ne pense pas que tu doives t’inquiéter de Penny disant ça à ma sœur.
Leonard : Non, elle ne le ferait pas.
Raj : Ton gros problème, c’est moi lui disant.
Leonard : Tu es vraiment un méchant petit homme.
Priya : Oh mon Dieu, c’est tellement vrai.
Penny : Oui, je sais !
Leonard : Hey, qu’est-ce qui vous a pris tant de temps ?
Priya : Oh, on a juste parlé.
Leonard : C’est sympa. A propos de quoi ?
Penny : On a juste comparé des notes sur tes performances au lit.
Leonard : C’est drôle.
Penny : Oui.
Raj : Et si elle ne plaisantait pas ?
Leonard : C’est pas grave. Je suis le roi des préliminaires.
Howard : Hé, comment ça c’est passé ?
Bernadette : Tu es un putz. Tu sais ce que ça veut dire ?
Howard : Ouais. Et toi ?
Bernadette : Ta mère me l’a dit. Elle pense que son intoxication alimentaire vient du traiteur et elle voulait juste s’assurer que j’allais bien.
Howard : Et c’est le cas ?
Bernadette : Non, c’est parce que je suis fiancée à un putz. Tu m’as laissé croire que j’étais la raison pour laquelle, elle a fait une crise cardiaque.
Howard : Et bien, en se basant sur les faits disponible …
Bernadette : Tais-toi ! Elle a dit que je suis une fille merveilleuse et que tu as de la chance de m’avoir.
Howard : Où vas-tu ?
Bernadette : Aux toilettes ! Ça te va !
Howard : Est-ce que c’est moi, où est-ce qu’elle est sexy quand elle est en colère ?
SCENE : Une chambre d’hôpital.
Sheldon : Elfe des montagnes.
Raj : Il enlève l’elfe en bref.
Leonard : Chiens de l’enfer.
Raj : Chiens de l’enfer, qui a laissé sortir les chiens sataniques ?
Howard : Serpent Colossal.
Raj : J’ai un serpent colossal juste ici.
Sheldon : Vraiment ?
Raj : Désolé, j’essaie juste de remonter le moral de mon ami. Pourriture de zombie. La nouvelle photo de profil sur Facebook de Sheldon.
Sheldon : Zandor, le sorcier du nord. Ha ! Je gagne.
Howard : Si tu ne prends pas en compte le fait de rester deux semaines en quarantaine parce que tu as été exposé à une maladie mortelle. Tout à fait d’accord.
Fin de l’épisode.