SCENE : Des toilettes.
Amy : Je dois dire Penny, c’est très amusant.
Penny : Comment que ça te fasses plaisir.
Amy : Avant que je te rencontre toi et Bernadette, mes voyages à la salle de bain avait été entièrement consacrés à l’élimination. Maintenant, ils ont un aspect social.
Bernadette : Amy, tu as déjà dû aller dans la salle de bain avec d’autres femmes avant.
Amy : Bien sûr. Mais elles étaient des étrangères et semblaient effarouchées quand je m’engage dans une conversation amicale au travers la cloison des toilettes.
Bernadette : Certaines femmes n’aiment pas se socialiser la culotte baissée.
Amy : Tout va bien là-dedans, bestah ?
Penny : Je vais bien …
Amy : La raison pour laquelle, je demande ça, c’est que de nombreuses personnes éprouvent une timidité de la vessie et donc une impossibilité d’uri…
Penny : Ouais, j’ai dit que j’allais bien. Arrêtez de parler.
Amy : Elle est toujours désagréable quand elle urine ?
Bernadette : On y est presque.
Penny : Et merde, j’irai plus tard.
Amy : Et je serais à tes côtés.
SCENE : Un magasin de chaussures.
Bernadette : Vous ai-je dit que Priya m’a invitée moi et Howard pour dîner avec elle et Leonard ?
Penny : Oh, c’est gentil.
Amy : Non, ce n’est pas le cas. Il s’agit d’une manœuvre stratégique. La nouvelle petite amie de Leonard teste la fidélité de Bernadette envers vous et celle du groupe. Cette salope est rusée.
Bernadette : Tu crois ?
Amy : Bien sûr. Comment un guépard attaque un troupeau de gnous ? En attaquant le membre le plus faible du troupeau.
Bernadette : Donc ce qui fait de moi le membre le plus faible ?
Amy : Tu t’es vu avec ton tout petit corps ? Tu ne durerais pas une minute dans une réserve africaine.
Penny : D’accord, Amy, tu deviens stupide. Je ne suis pas préoccupé de savoir avec qui sort qui. Et je n’ai pas du tout de problème avec la nouvelle copine de Leonard, qui se maquille beaucoup trop. Oh, celles-ci sont mignonnes. Bien sûr, si je les achetais, je devrais louer mon utérus à un couple gay …
Bernadette : C’est pas grave, je lui dirai qu’on ne pourra pas venir.
Amy : Oh, non, tu dois y aller.
Bernadette : Je ne comprends pas. Je croyais être le petit animal sauvage insignifiant.
Amy : Tu l’es … avec es cheveux qui sentent la fraise. Et nous allons utiliser cet avantage en notre faveur.
Penny : Hein ? De quoi tu parles ?
Amy : En acceptant l’invitation, Bernadette devient un agent double à l’intérieur du camp ennemi. Elle pourra étudier les tactiques de Priya, identifier ses points faibles et répandre de fausses informations, tel que, Leonard n’est pas étranger aux combats de phallus.
Bernadette : Je ne sais pas, je ne suis pas une très bonne menteuse. Ils faisaient tout pour t’en empêcher à l’école catholique.
Amy : Ne t’inquiète pas, je t’apprendrai. J’ai fait 2 ans de louveteaux avant qu’ils se rendent compte que j’étais une fille.
Penny : Ok, je ne vous connais pas, je suis juste une innocente femme se demandant si le magasin de chaussures prend ma carte Texaco.
Amy : Qu’est-ce que tu penses de placer un système d’enregistrement auprès de ta poitrine généreuse ?
Bernadette : Je ne veux rien sur ma poitrine généreuse.
Amy : Allez, petite fraise, fais-le pour l’équipe.
Générique.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Leonard : Ok, à plus tard.
Sheldon : Bonne nouvelle. J’ai enfin trouvé une solution finale pour mon jeu d’échec pour 3 personnes.
Leonard : C’est une bonne nouvelle. Bye.
Sheldon : Euh, tu sais comment j’ai résolu le problème d’équilibrage de la zone de combat ? 5 mots, la transitoire quadrilatère à la tessellation triangulaire.
Leonard : C’est brillant.
Sheldon : C’est ce que je fais. Attends, j’ai encore mieux. J’ai également inventé 2 nouvelles pièces d’échecs, le serpent … et la vieille dame.
Leonard : Ok, maintenant je dois demander. Que font-elles ?
Sheldon : Quand le serpent glisse sur la case d’une pièce opposée, cette pièce est considérée comme empoisonnée et mourra après 2 mouvements.
Leonard : D’accord.
Sheldon : Sauf, s’il atteint la vieille dame avant, auquel cas elle sucerait le poison, la changeant en grande impératrice. Une pièce combinant le pouvoir du chevalier, de la reine et du serpent.
Leonard : Elégant.
Sheldon : parce que c’est simple.
Leonard : Ok, j’ai hâte de jouer avec toi.
Sheldon : Et …
Leonard : Et quoi ?
Sheldon : Et une troisième personne. C’est un jeu ‘échec se jouant à trois. Je dois dire que depuis que tu as commencé à avoir des relations sexuelles régulières, ton esprit a perdu de sa vivacité. Tu devrais y penser.
Leonard : Excuse-moi, mais Einstein a eu une vie sexuelle bien remplie.
Sheldon : Oui, et n’a jamais unifié gravité et autres forces. S’il n’avait pas été aussi avare de sexe, on aurait tous des machines à voyager dans le temps.
Leonard : Compris. Bye.
Sheldon : Tu sais que j’ai raison.
Leonard : Je crois que ça empire …
Amy : Oh, mon métatarsien me fait des misères.
Leonard : Ça va ?
Amy : Oui, oui. Je suis juste en train de marcher avec de nouvelles chaussures.
Leonard : Très mignon.
Amy : Merci. Tu savais que les femmes portent des talons pour rendre leurs fesses et poitrine plus proéminentes ?
Leonard : Je n’y avais jamais vraiment pensé.
Amy : Regarde.
Leonard : Euh, ouais. Très proéminent.
Amy : Allez, Leonard, ne ment pas, tu as une copine.
Leonard : Désolé.
Amy : Donc tu vas dîner avec Priya, Howard et Bernadette ?
Leonard : Oui. Comment tu le sais ?
Amy : J’ai entendu ça au centre commercial, quand je faisais du shopping avec mes amies. Parce que tu sais, c’est un peu ma vie maintenant. Passe une bonne nuit ! Et essaie de ne pas me gêner en m’en allant.
SCENE : L’appartement de Raj.
Priya : Et toi !
Leonard : Salut ! Hé, Raj, tu nous rejoins pour dîner ?
Raj : Le mec seul avec deux couples heureux ? Je préférerais avoir un examen de la prostate fait par un lépreux à 9 doigts.
Priya : Oh, pourrais-tu arrêter de t’apitoyer sur ton sort ?
Raj : Je dois m’apitoyer sur mon sort. Je suis le seul qui compte. Tout comme je suis le seul qui va avoir des relations sexuelles avec moi.
Leonard : Vraiment ? Devant ta sœur ?
Priya : On a partagé la même chambre enfant, il n’y a rien de nouveau pour moi !
Raj : Excuse-moi. Je vais aller erré dans la rue, tout seul. Invisible, non voulu et mal aimé. Une ombre pathétique dans une ville sans cœur. J’ai oublié mon coupe-vent. Il fait froid.
SCENE : L’appartement de Penny.
Amy : Je ne comprends pas, est-ce une façon de faire avec ses chaussures ?
Penny : Non, dès que ces chiots ont touché le sol ce sont les miennes, et je dois les habiller pour se lever et descendre Hollywood Boulevard pour pouvoir les rembourser. Jolies, jolies, jolies.
Amy : Bonne nouvelle, le gnou est dans le curry.
Penny : Le quoi ?
Amy : Bernadette est avec Priya et Leonard. Message reçu. Commence l’opération « Priya ne voudra pas de toi ».
Penny : Sérieusement ? Tu n’as pas eu assez de ces bêtises de groupe au collège ?
Amy : J’aurais aimé. Mais pour faire partie d’un groupe il faut des amis. J’en avais pas.
Penny : Aucun ?
Amy : J’avais l’habitude de déjeuner dans la salle des femmes de ménage et de manger avec le concierge. C’était sympa avant que sa femme commence à m’appeler puta. J’ai dû arrêter. Attends. C’est la bête sauvage. Priya vient de faire un commentaire sur ta carrière d’actrice.
Penny : Putain, qu’est-ce qu’elle a dit ?
Amy : Elle pense que c’est bien que tu poursuives ton rêve, quel qu’il soit.
Penny : Quelle salope !
Amy : Comment tu vas le supporter ?
Penny : Hum, ok. Dis à Bernadette de dire à Priya que je vais à Prague pour aller tourner un film avec Angelina Joli.
Amy : Compris. Ça sera en 3D ?
Penny : Quoi ? Je ne sais pas. Ça change rien.
Amy : Je vais dire en 3D. Ça la laissera croire que les studios ont foi en toi.
SCENE : L’appartement de Raj.
Leonard : Tu plaisantes, en 3D ?
Bernadette : C’est ce que j’ai entendu.
Howard : Alors les studios ont vraiment foi en elle.
Leonard : Je ne comprends pas pourquoi elle ne me la pas dit.
Priya : As-tu passé du temps avec ton ex petite amie ?
Leonard : Non …
Priya : Alors pourquoi es-tu surpris qu’elle ne te l’ait pas dit ?
Leonard : Hé bien, ce n’est pas aussi surprenant que, tu sais … euh … l’autre chose.
Priya : Quelle autre chose ?
Leonard : Bah … si tu … euh …. Je ne … oh … Quel est le mot que je cherche ?
Howard : Je ne vais pas t’aider. C’est trop drôle !
Bernadette : Elle a aussi pris rendez-vous avec un astronaute.
Priya : Waouh, c’est très impressionnant.
Bernadette : Oui, mais Leonard est impressionnant aussi.
Leonard : Merci. Embrouillé. Le mot que je cherchais était embrouillé.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Du chevalier à la vieille dame … Six et un tiers. Brillant choix. Merci. Voulez-vous m’excuser ?
Raj : J’ai besoin d’un câlin.
Sheldon : Désolé, j’ai de la compagnie.
SCENE : Devant l’appartement.
Raj : Allez Sheldon ! Ouvre la porte !
Sheldon : Je ne veux pas te faire de câlin.
Raj : Je ne veux pas que ça soit toi non plus ! Je me sens juste bleu.
Sheldon : Bleu, comme la dépression.
Raj : Bah, pas aussi dépressif que seul.
Sheldon : Je ne sais pas quelle couleur représente la solitude.
Raj : Quoi ?
Sheldon : Le rouge, c’est la colère, le jaune, c’est la peur, le vert, c’est la jalousie et le bleu, la dépression. Peut-être que nous pouvons attribuer une couleur pour la solitude.
Raj : Rien ne va avec le orange. C’est probablement pour la solitude.
Sheldon : Ok, entre. Tu sembles si positivement orange et solitaire. Non, je … je ne crois pas que ça colle, du tout.
Raj : Qu’est-ce que tu fais ?
Sheldon : Je travaille sur mon jeu d’échec pour trois joueurs.
Raj : Oh, cool. Je peux jouer ?
Sheldon : C’est un jeu d’échec pour trois personnes. Es-tu venu avec un ami ?
Raj : Non.
Sheldon : Alors comme exercice mental, je t’invite à savoir, pourquoi nous ne pouvons jouer au jeu d’échec à trois personnes. Peux-tu croire ce mec ? Le protocole social, de toute façon, requière que je t’apporte une boisson chaude dans ce moment de besoin.
Raj : Non merci, c’est bon.
Sheldon : Ce n’est pas optionnel. On a plus de thé. J’espère que tu aimes le bouillon.
Raj : Je … J’imagine que tu dois probablement te demander ce qui me déprime.
Sheldon : A vrai dire, je me demandais si je pouvais ajouter une troisième nouvelle pièce d’échec. Que penses-tu que les gens vont penser du Prince Joey ? Le roi stupide mais le cousin bien intentionné ?
Raj : Je vais bientôt avoir 30 ans et je n’ai personne dans ma vie pour m’aimer. Je ne peux même pas parler à une femme sans avoir bu d’alcool.
Sheldon : Le truc marrant à propos du Prince Joey est qu’à chaque fois qu’il bouge, il y a une chance sur cinq qu’il se suicide.
Raj : Sheldon, écoute-moi. J’ai une grande décision à prendre. Et j’ai peur.
Sheldon : Jaune. Vas-y.
Raj : Un de mes amis de l’école de pharmacologie m’a donné de nouvelles pilules qu’ils sont en train de tester. Il dit que c’est révolutionnaire pour les troubles de l’anxiété sociale.
Sheldon : Fascinant. Qu’y-a-t-il dedans ?
Raj : Je ne sais pas trop. Des sortes de bétabloquants attachés à une molécule extraite de l’urine des vaches.
Sheldon : J’aime les vaches.
Raj : Là n’est pas la question.
Sheldon : C’est ton point de vu. Continue.
Raj : Je suis un scientifique. Mon habilitée à penser est mon habitude. J’ai peur, si je prends ça, de perdre … cette chose spéciale, unique, qui me permet d’avoir du succès dans ma branche.
Sheldon : Rajesh, j’ai eu le privilège de travailler à tes côtés depuis de nombreuses années. Ma recommandation est que tu gobbes ça comme des Tic-tacs.
SCENE : L’appartement de Raj.
Howard : Ok, j’essaie encore de comprendre, comment Penny a-t-elle rencontré un astronaute ?
Bernadette : Je ne sais pas. A la façon dont les gens rencontrent des astronautes habituellement, j’imagine.
Howard : La plupart des astronautes vivent au Texas.
Bernadette : Apparemment, celui-là non.
Howard : Ok.
Bernadette: Leonard habite ici. Priya vient de l‘Inde. Les gens se rencontrent, Howard, merde !
Howard : Bien.
Bernadette : Tu as rencontré de nombreux astronautes, et je ne t’ai jamais fais chier avec ça, et j’espère donc que tu étendes cela à moi.
Howard : Je ne t’ai pas emmerdé, j’étais juste curieux.
Leonard : Je pige toujours pas qu’elle ai eu une opportunité sur un grand film. Pas que je m’inquiète pour mon ex, parce que ce n’est pas le cas.
Bernadette : Peut-être que c’est là qu’elle a rencontré l’astronaute, ok ?
Priya : Je suis désolée mais … pour quelle raison un astronaute travaillerait sur un film ?
Bernadette : Il est consultant.
Leonard : Je croyais que le film concernait Vienne au 18e siècle.
Bernadette : Il ne peut pas avoir un hobby ? Excusez-moi, je dois aller pisser. Où c’est impossible ?
Howard : C’est sympa d’avoir un autre couple avec qui traîner, non ?
SCENE : L’appartement de Penny.
Penny : Allez, mes chères, vous devez repartir. Je ne peux pas me les offrir. Non, ne nous renvoie pas, on t’aime. Je vous aime aussi, mais vous coûtez plus cher que mon loyer. Mais penny, tu es si belle en nous. Merde, les chaussures ont raison.
Amy : Bon Dieu, Penny, ta fantaisie est sans limite. Qu’est-ce que tu as pour moi bête sauvage ?
Bernadette : Je crois qu’ils commencent à se méfier. L’histoire commence à ne plus fonctionner.
Amy : Calme-toi. Tout va bien se passer. On va peut-être devoir la tuer. Bernadette, je te mets en haut-parleur. Où es-tu maintenant ?
Bernadette : Dans la salle de bain.
Amy : Oh, encore un classique des commérages en salle de bains. Quel est le problème ?
Bernadette : Ils me posent juste toutes sortes de questions auxquelles je ne peux répondre.
Amy : Change de sujet.
Bernadette : Je pense pouvoir les détourner sur Leonard allant en Inde pour rencontrer les parents de Priya.
Penny : Quoi ?
Bernadette : Ils ont dit quelque-chose à propos de cet été.
Penny : Quoi ? Ils se sont engagés ?
Bernadette : Je ne sais pas, j’étais trop occupée à couvrir mes arrières à cause de l’histoire d’astronaute d’Amy.
Amy : Quelle histoire d’astronaute ?
Bernadette : Tu m’as envoyé un SMS à propos d’un rendez-vous avec un astronaute.
Amy : J’ai écris « architecte », c’est amusant, l’autocorrection a dû le changer.
Bernadette : Ouais, c’est hystérique.
Penny : D’accord, oublie l’astronaute.
Amy : Architecte. Où as-tu rencontré un astronaute ?
Penny : Bon, tu dois juste comprendre ce qui se passe avec le voyage en Inde.
Bernadette : Je ne veux plus faire ça !
Penny : Ne nous lâche pas !
Howard : Bernie, tout va bien ?
Bernadette : C’était un architecte !
SCENE : Un coffee shop.
Raj : Merci de venir avec moi Sheldon. Tu es un bon ami.
Sheldon : Je suis fier que tu le penses. C’est pourquoi, j’essaie toujours de t’imiter.
Raj : Ok, voyons si cette drogue fonctionne.
Femme : Puis-je vous aidez ?
Raj : Pardonnez-moi pour la fixation, mais je vous trouve très jolie.
Femme : Merci. J’adore votre accent, d’où venez-vous ?
Raj : Inde.
Femme : Oh cool. J’ai toujours voulu allez là-bas.
Raj : C’est un pays magnifique. Vous aimeriez beaucoup. Puis-je me joindre à vous ?
Femme : Euh, ok, pourquoi pas.
Raj : Mon nom est Dr Rajesh Koothrappali, et voici mon ami le Dr Sheldon Cooper.
Femme : Salut.
Sheldon : Il n’y a pas besoin d’interagir avec moi. Je suis là pour observer.
Femme : Qu’observe-t-il ?
Raj : Nous sommes scientifiques. In observe tout. Tiens, vas t’acheter un petit pain au lait.
Sheldon : Ok.
Raj : Et quel est ton nom ?
Femme : Angela.
Raj : Oh, dérivé du mot ange, très approprié.
Angela : Tu es mignon.
Sheldon : J’aimerai acheter un pain au lait.
Serveuse : Oh désolée, nous n’en avons plus. Nous avons des muffins.
Sheldon : Ils paraissent délicieux, mais cet argent est destiné à des petits pains.
Angela : Que faites-vous ?
Raj : Je me mets juste à l’aise. Alors, depuis combien de temps vis-tu à Los Angeles ?
Angela :J’ai …
Sheldon : Il n’y avait plus de petits pains.
Raj : Sheldon, je parle à quelqu’un là. Tu deviens impoli. Je parie que tu es une actrice. Si ce n’est pas le cas, tu devrais l’être. Tu as une tête très expressive.
Angela : Oh mon Dieu.
Raj : Attends, où vas-tu ? Ça allait si bien entre nous. Elle n’aura jamais eu l’occasion de voir mon pénis. Ta-da !
SCENE : L’appartement de Raj.
Priya : Qui veut un peu plus de café ?
Howard : Oui, merci. Bien sûr.
Bernadette : Laisse-moi t’aider.
Howard : C’est cool de voir des jeunes filles bien s’entendre.
Leonard : « Jeunes filles » ? Qui es-tu, Fred Flinstone ?
Bernadette : Ce voyage en Inde a l’air fun.
Priya : Oui, je pense qu’il va l’être.
Bernadette : As-tu peur que tes parents n’approuvent pas ta relation avec Leonard ?
Priya : Un peu. Ils sont très conservateurs.
Bernadette : Je ne m’inquièterai pas pour ça à ta place. Ce n’est pas comme si vous alliez vous fiancer, n’est-ce pas ?
Priya : Oh mon Dieu, non. On n’en est pas là.
Bernadette : Pas de fiançailles. Très intéressant. Je dois aller aux toilettes.
Priya : Tu y es allé souvent ce soir, tout va bien ?
Bernadette : Oui. Tu écris un livre ?
Priya : Pourquoi es-tu contrariée ?
Bernadette : Je ne suis pas contrariée. C’est peut-être toi qui l’es.
Priya : Qu’est-ce qui t’arrive ? Bernadette ?
Bernadette : Je ne peux plus faire ça ! Je suis une fille bien ! Je suis allée dans une école catholique !
Howard : Ok, il se fait tard. C’était terrible. T’as gagné. Bernie ?
Leonard : Je pense que le mot que tu cherches est embrouillé.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Ma catapulte … jette … mon … évêque sur la reine des gorilles 2.
Howard : Joli. Ok, tour, à pad transporteur. Et il sort à … l’évêque de la reine de Leonard cinq et un tiers. Echec Leonard.
Leonard : Attends. Quand est-ce que mon pion est autorisé à utiliser la voiturette de golf ?
Sheldon : Quand c’est fini de charger. Ou tu atterris sur la machine temporelle. Bien sûr.
Leonard : Oh oh … Apiculteur vers roi 12. Je capture ton Pape et lâche l’essaim d’abeilles. Echec et mat Sheldon.
Sheldon : Je savais que j’aurais dû donner un jet pack à mon Pape.
Raj : Hé, j’ai trouvé des gagnants !
Fin de l’épisode.