SCENE : La cage d’escalier.
Sheldon : Pourquoi m’a-t-il abandonné, oh Dieu dont je doute l’existence.
Policier : Tenez. Respirez dans ce sac.
Leonard : Qu’est-ce qui se passe ?
Sheldon : Ils ont tout volé Leonard. Absolument tout.
Policier : Vous êtes le colocataire ?
Leonard : Oui, Leonard Hofstadter. Que s’est-il passé ?
Policier : Votre ami a appelé le 911 pour signaler un vol.
Leonard : Oh mon Dieu, qu’est-ce qu’ils ont pris ?
Sheldon : Qu’est-ce qu’ils n’ont pas pris ! Mes armes enchantées, mon armure de gladiateur vicieux, ma baguette des pouvoirs purs, et tout mon or.
Leonard : Tu as appelé la police parce que quelqu’un a hacké ton compte de World of Warcraft ?
Sheldon : Que pouvais-je faire d’autre ? Le puissant Sheldor, elfe de sang niveau 85, qui parcourait les royaumes de l’est, a été dépecé comme une carcasse sous le soleil du désert. Et le FBI m’a raccroché au nez.
Policier : Dans le sac.
Sheldon : Ils m’ont pris mon autruche de combat.
Leonard : Oh non, pas Glenn.
Sheldon : Oui, Glenn, le seul oiseau que j’ai jamais aimé.
Policier : Bonne chance les gars.
Leonard : Merci officier.
Sheldon : Attendez un peu, vous n’allez rien faire ?
Policier : Mr Cooper, il n’y a …
Sheldon : Dr Cooper.
Policier: Sérieux?
Leonard: Pas le genre qui a accès aux drogues.
Policier : D’accord, Dr Cooper, je suis navré pour votre perte, mais le département de police de Pasadena n’a pas de juridiction à … Pandora.
Sheldon : Ça c’est dans Avatar. World of Warcraft a lieu à Azaroth. Bonté divine, et on vous laisse porter une arme ? Pouvez-vous au moins m’envoyer vers un ex-policier ripou?
Policier : Quoi ?
Sheldon : Vous savez, un de ceux qui ont été jeté de la police parce qu’ils refusaient de se plier aux règles et qui maintenant propose ses services pour imposer sa dure justice ?
Policier : Non.
Leonard : Merci officier.
Sheldon : Tout est parti. Absolument tout.
Leonard : Je suis vraiment désolé Sheldon.
Sheldon : Mais dans quel genre de monde vivons-nous. Où un homme prendrait l’autruche de combat d’un autre homme ?
Leonard : Je ne sais pas.
Sheldon : Cet acte de violence doit être contre-attaqué avec une férocité cruelle et rapide. Il est temps de semer la terreur et de laisser sortir les chiens de guerre.
Leonard : Allez. Je m’en occupe. Bonjour Mme Wolowitz, est-ce qu’Howard est là ? D’accord, merci. Ce chien de guerre devra te rappeler après son bain.
Sheldon : Voit si Raj a terminé son cours de pilâtes.
Générique.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : 3000 heures. 3000 heures à cliquer sur cette souris, à collecter des armes et de l’or. 3000 heures. On dirait presqu’une belle perte de temps.
Howard : Celui qui a fait ça savait ce qu’il faisait. Il est entré et sorti de ton compte en moins de 50 minutes, a transféré toutes tes affaires et n’a pas laissé d’empreinte digitale.
Sheldon : Oh, il n’y a pas assez de thé à la camomille au monde pour calmer la rage dans mon cœur.
Raj : Attendez, je parle à un orque sous un pont à Thunder Bluff qui dit que si on le paie, il nous aidera à retrouver tes affaires.
Sheldon : Peut-on lui faire confiance ?
Raj : Je pense bien. Il est apparemment membre de la famille royale nigérienne.
Howard : Oh, quelqu’un met aux enchères une bride en joyaux pour autruche.
Sheldon : Non, celle de Glenn était en cuire. C’était une autruche modeste. Il est ! Il est ! Je n’ai pas perdu espoir.
Penny : Salut.
Leonard : Salut Penny. On est en pleine crise pour le moment.
Penny : Je sais, Bernadette m’en a parlé. Je suis désolé Sheldon, je sais que ce jeu est important pour toi.
Sheldon : Ce jeu ? Excuse-moi Penny, mais Doodle Jump est un jeu. Angry Birds est un jeu. World of Warcraft est un massif et multi-joueurs jeu de … D’accord, techniquement c’est un jeu.
Raj : Mauvaise nouvelle, le prince nigérien est peut-être un escroc.
Penny : Peu importe, je t’ai apporté un cheesecake pour te remonter le moral.
Sheldon : De la pâtisserie rassie est une maigre consolation pour un homme qu’on a privé de son autruche.
Penny : Dis seulement merci.
Sheldon : Je ne viens pas de le faire ?
Penny : Très bien, à plus tard. Bonjour ! J’ai juste déposé un cheesecake pour Sheldon. On lui a volé un tas de merdes imaginaires qui est utile dans un monde fantaisiste.
Priya : Je ne sais pas ce que ça veut dire.
Penny : Et bien, malheureusement, moi je le sais.
SCENE : L’appartement de Penny.
Penny : Vous saviez que le week-end dernier, Priya a emmené Leonard faire du roller à la mer ? Vous y croyez ?
Bernadette : J’ai l’impression de devoir dire « Quelle salope ! » mais je n’ai pas assez d’information.
Penny : Tout d’abords, c’est moi qui ai passé deux ans à essayer de le faire aller à la mer. Et il avait si peur de marcher sur des déchets médicaux, j’ai du le porter vers l’eau.
Bernadette : Je suis une fois allée à la mer avec Howard. Il a failli s’enflammer comme un vampire !
Penny : Et qu’est-ce que je reçois pour avoir fait de Leonard un petit-ami convenable ? Je dois faire attention autour de sa nouvelle copine.
Amy : Je pense que c’est à toi.
Bernadette : Oh. Quelle salope !
Penny : Tu veux un peu d’alcool à café dans ta glace ?
Amy : Ah, voici la pression de groupe pour l’alcool et la drogue, ma mère m’a prévenue contre. Je commençais à croire que ça n’allait jamais arriver. Oui, s’il te plaît.
Penny : Les filles, vous auriez du voir Leonard, quand je venais de le rencontrer. Il n’y avait pas de contact visuel. Il regardait ou en haut au plafond, ou en bas ses chaussures.
Amy : Je suis saoule.
Penny : Durant les deux premiers mois, à chaque fois que j’enlevais mon soutien-gorge, il rigolait et disait « Oh Dieu, mes deux saints préférés ».
Bernadette : Si ça t’aide à te sentir mieux, je ne parlerai plus jamais à Priya.
Penny : Non, ne fais pas ça. Rien ne justifie qu’on soit méchantes avec elle.
Amy : C’est peut-être l’alcool qui parle, mais je crois qu’il y a quelque chose. Connaissez-vous l’étude récente sur les chimpanzés de Tanzanie de Nashide Hasaka de l’université de Kyoto ?
Penny : Non, mais je peux nommer tous les Kardashians.
Amy : Les primates, tels que nous, avons un instinct naturel d’ostraciser des membres peu appréciés du groupe. L’envie de Bernadette d’éviter, menacer ou jeter ses déchets à Priya est engrainé dans son ADN.
Bernadette : Je n’ai aucune envie de jeter mes déchets.
Amy : Crois-moi, c’est-là, c’est en chacun de nous. Donne-moi encore de l’alcool et je vous montre.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Howard : Très bien, nous y sommes. C’est la taverne où se passent toutes les ventes du marché noir.
Raj : Je ne pense pas que mon personnage devrait être dans un tel endroit. Tout le monde la déshabille des yeux.
Howard : Peut-être que si tu arrêtais de lâcher ton épée et de te pencher pour la ramasser.
Leonard : on doit chercher qui exactement ?
Howard : Un troll roux qui se fait appeler Glomly. D’après le forum, si tu veux vendre des biens volés et que c’est après les heures d’école, c’est le meilleur.
Priya : Leonard, a va encore durer longtemps ? Je pensais qu’on allait passer un peu de temps ensemble ?
Leonard : On va le faire. En attendant, tu es la bienvenue pour créer rapidement un personnage et de nous rejoindre.
Priya : Sérieusement ?
Leonard : Et bien, tu dois mettre un numéro de carte de crédit, mais c’est chouette !
Priya : Peut-être que je devrais rentrer chez moi.
Howard : Notre troll vient de rentrer, je le tiens.
Leonard : On l’a Priya, on a presque fini.
Howard : Alors les gars, comment vous voulez procéder ?
Sheldon : Tu frappes fort. Tu lui dis que s’il ne commence pas à parler, nous allons déposer nue plainte à son fournisseur d’accès Internet.
Raj : Mais Sheldon, s’il reçoit Internet par sa compagnie du cable ? Il pourrait perdre HBO et tous ses merveilleux programmes originaux.
Sheldon : Je m’en fiche. Je suis en train de péter nu cable, mec !
Leonard : Pourquoi ne pas être plus rusé, essayer le coup du gentil gobelin et méchant gobelin.
Priya : Oh mon Dieu.
Howard : Non, je crois qu’on devrait être plus subtiles.
Raj : D’accord, je sais où vous voulez en venir. Très bien, je vais coucher avec lui.
Leonard : C’est pas là où on voulait en venir.
Raj : Bien, parce que j’aurais détesté ça.
Priya : Leonard, tu es occupé, on parlera demain.
Leonard : Attends, tu es fâchée ?
Priya : Non, non, je pense que c’est sexy de sortir avec un garçon coincé dans un corps d’adulte.
Leonard : Bien, je te raconterai le reste.
Sheldon : Les gens pensent que c’est moi qui ne comprends pas le sarcasme.
SCENE : Le palier.
Amy : Bien, bien, bien … Regardez qui est là.
Penny : Sois gentille.
Priya : Bonsoir.
Penny : On sort boire un verre.
Amy : Parce que je fais ça maintenant.
Bernadette : Tu as de la chance de ne pas être nu singe de Tanzanie.
Priya : Quoi ?
Penny : Ne l’écoute pas, elle a mangé beaucoup de crème glacée. Tu veux venir avec nous ?
Priya : Merci, mais j’ai du travail à faire.
Amy : Quatre femmes descendent les escaliers, combien atteignent l’entrée ?
SCENE : Le restaurant universitaire.
Leonard : Ta sœur t’as dit quelque chose quand tu es rentré hier soir ?
Raj : Oh non, ne me mets pas au milieu de tout ça. Je ne vais pas être ton messager.
Leonard : S’il te plaît, aide-moi. J’ai dû soucis à me faire ?
Raj : T’as pas à t’inquiéter.
Leonard : Tant mieux.
Raj : je suis sûr que beaucoup de femmes heureuses avec leur partenaire passent leur nuit à skyper avec leur ex-copain Sanjay.
Howard : Bonne nouvelle, messieurs, j’ai trouvé notre hacker.
Leonard : Quoi ? Vraiment ?
Howard : Oui, personne ne peut m’échapper. Pas Charlie, pas Carmen San Diego, même pas Natalie Portman sans le haut.
Sheldon : Je n’ai jamais dit ces mots auparavant mais bon travail, Howard !
Howard : Merci. Notre coupable est un certain Mr Todd Zarnecki, 2711 Ocean View Road, Carlsbad, Californie.
Sheldon : Le nom et l’adresse empestent le mal.
Raj : Qu’est-ce qu’on sait d’autre à son sujet ?
Howard : Pas mal de choses, en fait.
Leonard : Je parie que c’est un loser qui vit avec ses parents.
Howard : Oui, il vit avec ses parents. Voilà une image de Google Earth de leur maison.
Sheldon : Excellent ! C’est dans un cul-de-sac. On peut le coincer.
Leonard : Attends, tu penses y aller ?
Sheldon : Carlsbad n’est qu’à quelques heures d’ici.
Leonard : Bien. Tu arrives chez lui, frappe à la porte, et demande qu’il te rendre tes affaires. Et s’il dit non ?
Sheldon : Je ne sais pas si tu as suivi les informations, Leonard. Mais nous avons fait de merveilleuses avancées dans le domaine de la torture.
Leonard : On ne torture personne.
Sheldon : Bien, nous respecterons la convention de Genève. Mais posez-vous cette question, dans le cours de nos vies, combien d’argent de poche nous a été volé ? Combien de cerf-volants ? Combien de classeurs Scooby-Doo Trapper Keeper ?
Raj : J’en avais un comme ça.
Sheldon : Bien sûr que tu en avais un. C’était un moyen chouette et pratique d’organiser ses travaux d’école. Mais les brutes nous ont tout pris. Plus maintenant. Ce soir, nous reprenons notre dignité, nos droits et notre fierté. Vous en dites quoi ? Qui est avec moi ?
Raj : J’ai un cours d’hip-hop aérobic à 5 heures. On peut y aller après ?
Sheldon : Bien sûr.
Howard : Ce soir, c’est le Sabbath et ma mère et moi avons pour tradition d’allumer les bougies et regarder la Roue de la Fortune, alors … Si nous partons à 8 heures, nous pourrons toujours récupérer nos droits à 10, 10h30 au plus tard.
Sheldon : D’accord. Leonard ?
Leonard : Oh, je ne sais pas si je peux laisser tomber Priya deux nuits de suite.
Raj : Oh, allez mec. Les potes avant les … ma sœur.
Leonard : Et puis merde. J’en suis.
Raj : Moi aussi.
Howard : Et moi.
Sheldon : Un moment. Je suis déterminé à attraper un cybercriminel, pas un simple rhume.
SCENE : La maison d’Howard.
Sheldon : Je suis désolé, je pensais que ce délai était pour que tu puisses regarder la Roue de la Fortune avec ta mère.
Howard : C’est le cas. Elle décolore sa moustache. Regardez ça. Hey, m’man ! « Avant et après ! ». Quatre mots, 17 lettres, deux N, un V !
Mme Wolowitz : « Fanny pack of wolves ! »
Leonard: C’est incroyable.
Howard: Oui, elle est un peu une surdouée de la Roue.
Leonard : Oh oh, c’est Priya.
Raj: C’est pas cool de mettre de la sitar comme sa sonnerie.
Leonard : Le volume. Bonsoir chérie. Oui, je suis désolé. Je vais travailler tard. Oui, tu me manques aussi. D’accord, je t’appelle une fois rentré chez moi. D’accord, au revoir.
Raj : Comme c’est gentil, tu as menti à ma sœur.
Howard : C’est la chose la plus gentille qu’il fait à ta sœur.
Raj : Oh, devine qui c’est.
Leonard : Ne lui dis rien.
Raj : Salut Priya ! Quoi de neuf ? Comment pourrais-je savoir si Leonard est au travail ou non ? Ne sois pas suspicieuse. Ecoute, si tu veux que ta relation avec Leonard fonctionne, tu devras commencer à croire toutes les folles et ridicules excuses que le diable blanc a le culot de te donner. D’accord. Oui, au revoir. Tu m’en dois une.
Howard : Nouveau puzzle, m’man ! Même nom ! Un N, deux D, trois O !
Mme Wolowitz : Whoopi et Rube Goldberg !
Sheldon: C’est très troublant.
Howard: Je sais. C’est son superpouvoir. Ça et gigoter la graisse de son bras.
SCENE : La voiture de Leonard.
Leonard : Je n’arrive pas à croire qu’on va à San Diego pour affronter ce mec.
Howard : Oui, on est un peu des durs, pas vrai ?
Leonard : A fond.
Raj : Et si on reste cette nuit pour visiter Legoland demain matin ?
Sheldon : Sea World est meilleur. Ils ont Shamu, qui est, littéralement, des tonnes de plaisir. Mais restons pour le moment concentrés sur Todd Zarnecki.
Raj : Oui, on arrive pour toi Todd Zarnecki. Et pour information, Legoland est plus interactif.
Sheldon : Je suis presque désolé pour le pauvre idiot, assis dans son ranch de banlieue à deux étages, inconscient qu’une horde de vengeurs fonce sur l’autoroute de San Diego à 122 kilomètres par heure. Doucement, pied de plomb. Tu essaies de nous tuer ?
Raj : J’ai pris la liberté de graver un mix de musiques pour quêtes héroïques.
Sheldon : Ça dit « Beyonce, Bootylicious Dance Mix ».
Raj : C’est un CD réenregistrable. Mets-le.
Howard : Beyonce ? Vraiment ?
Raj : Elle a des courbes et elle assume. J’aime ça.
Leonard : Oh ouais, je le sens.
Sheldon : Nous sommes la fureur ailée ! Ce qui n’est toujours pas une excuse pour dépasser les limitations de vitesse.
Leonard : La prochaine fois que nous allons botter le cul de quelqu’un, nous prendrons le train.
Sheldon : Je préfère toujours le train.
SCENE : LA maison de Todd Zarnecki.
Leonard : Sheldon, allons-y.
Sheldon : J’arrive.
Howard : Pourquoi as-tu amené ça ?
Sheldon : Aucune arme ne provoque autant de terreur dans le cœur d’un homme qu’un bat’leth Klingon.
Leonard : D’accord, mettons les choses au claire. Nous allons seulement demander à ce gars de transférer toutes tes affaires de nouveau sur ton compte, et puis nous repartons. Personne ne bat’let personne.
Sheldon : Alors ma lame ne goutera pas de sang ce soir ?
Leonard : Non.
Sheldon : Je me sens bête maintenant de la tenir.
Leonard : Allez.
Sheldon : Je peux au moins défoncer la porte ?
Leonard : Tu peux toujours essayer, mais tu as mis 15 minutes l’autre jour pour ouvrir une boite FedEx.
Homme : Qui est-ce ?
Sheldon : Ta mort !
Raj : Ne dis pas ta mort. Qui ouvre la porte pour sa mort ?
Sheldon : C’est vrai. Panier de chiots.
Homme : Quoi ?
Leonard : Euh … Sheldon ?
Sheldon : Etes-vous Todd Zarnecki ?
Todd : Oui. Qui êtes-vous ?
Sheldon : Je suis Sheldor d’Azaroth. Je veux mes affaires de retour.
Todd : Je ne pense pas, non. Montre-moi ça.
Sheldon : Attention, c’est un objet de collection.
Todd : Je sais. J’en ai toujours voulu un.
Sheldon : Et bien, il est encore plus fourbe que ce que nous pensions.
SCENE : La voiture de Leonard.
Sheldon : Tu sais, il s’est fait avoir. Sans le certificat d’authenticité cette bat’leth ne vaut rien.
Howard : oui, il a marché tout droit dans notre piège.
Raj : Legoland ressemble maintenant à un rêve vide.
Leonard : Oh.
Raj : Qu’est-ce qui se passe ?
Leonard : Quelque chose ne va pas. Je n’accélère plus. Quelqu’un s’y connait en moteurs à combustion interne ?
Sheldon : Bien sûr.
Raj : Très basique.
Howard : Technologie du 19e siècle.
Leonard : Quelqu’un sait comment réparer un moteur à combustion interne ?
Sheldon : Non.
Howard : Aucune idée.
Leonard : On ferait bien d’appeler quelqu’un pour venir nous chercher.
Sheldon : Ça aurait été génial, s’il avait un train.
SCENE : La voiture de Penny.
Sheldon : Merci, Penny.
Penny : pas de problème. Alors, Leonard, je pense que c’est intéressant que tu n’aies pas appelé ta copine pour venir vous chercher.
Leonard : Euh, je lui ai peut-être dit que je travaillais ce soir.
Penny : Donc tu lui as mentie. Aussi intéressant.
Leonard : Oui, elle ne comprend pas vraiment tout ce truc de jeu de rôle d’aventure de Warcraft.
Penny : Oui, peu importe si elle comprend, du moment qu’elle est jolie.
Howard : Celle-là est drôle, Leonard. Pourquoi tu n’as pas réussi à la garder ?
Penny : Vous avez au moins récupéré les affaires fausses de Sheldon ?
Sheldon : Non. Nous avons échoué dans notre quête.
Penny : Comment ça se fait ?
Sheldon : Todd Zarnecki était méchant.
Penny : D’accord, attendez.
Leonard : Qu’est-ce que tu fais ?
Penny : Je vais vous montrer comment on finit une quête au Nebraska. Oh, Beyonce. C’est pas du Beyonce.
SCENE : La maison de Todd Zarnecki.
Todd : Quoi maintenant ?
Penny : Rends à mon ami ses affaires.
Todd : Je ne sais pas de quoi tu parles.
Penny : Bien, bonne nouvelle. Aujourd’hui est le jour où une fille va finalement toucher ton petit endroit spécial. Maintenant rends-lui ses affaires.
Todd : D’accord.
Sheldon : On l’a fait ! J’ai dit on.
SCENE : Le hall d’entrée de l’immeuble.
Priya : Oh, tenez la porte. Oh salut.
Penny : Salut. Tu vas voir Leonard ?
Priya : Oui. Comment tu vas ?
Penny : Bien. Toi ?
Priya : Très bien. Merci.
Penny : Contente de t’avoir vue.
Priya : Oui, toi aussi.
Penny : Amy a raison. J’ai envie de lui jeter ma merde.
Fin de l’épisode.