SCENE : le restaurant universitaire. (Précédemment dans TBBT).
Raj : Devinez qui j’ai trouvé à l’aéroport. Ma sœur Priya.
Priya : C’est sympa de te revoir, Leonard.
Leonard : Ouais, c’est bien de te revoir aussi. Voilà.
Priya : Merci.
Raj : Tu as couché avec ma sœur ?
Leonard : Ouais.
Raj : C’est une terrible trahison de ma confiance !
Leonard : Ça t’aiderait si je te dis que je lui ai offert mon cœur et qu’elle l’a piétiné ?
Raj : Elle l’a piétiné fort ?
Leonard : Très fort.
Raj : D’accord, ça me va.
SCENE : La chambre de Bernadette.
Howard : Qu’est-ce qui est si drôle ?
Bernadette : Rien. Je pensais juste à tous ces bruits que font les gens pendant l’amour.
Howard : Je l’emporte un peu des fois, n’est-ce-pas ?
Bernadette : C’est mignon. Tu ressembles à un petit singe bourré.
Howard : Et je dis ça comme un compliment.
Bernadette : Et c’est comme ça que je le prends.
Howard : Ah. C’est parfait. Je voudrais que cet instant ne finisse jamais.
Bernadette : Moi aussi.
Howard : Bon, je dois y aller.
Bernadette : Déjà ? Pourquoi tu ne restes pas cette nuit ?
Howard : J’aimerais bien, mais tu sais, ma mère a besoin de moi le matin.
Bernadette : Je pense qu’elle peut mettre sa perruque toute seule.
Howard : Ce n’est pas seulement la perruque. Je dois la coiffer, lui redessiner ses sourcils. C’est une véritable corvée.
Bernadette : C’est juste que, quand tu pars juste après qu’on ait fait l’amour, je me sens … rabaissée.
Howard : Oh, chérie, je suis désolé. Qu’est ce que je peux faire ?
Bernadette : Rester.
Howard : Ok. Genre quoi, 5-10 minutes en plus ?
Bernadette : Rentre chez toi.
Howard : Si tu le dis.
Bernadette : Howard … est-ce que tu as déjà pensé qu’on pourrait vivre ensemble ?
Howard : Euh, je ne sais pas. Toi, moi, maman vivant sous le même toit ?
Bernadette : Non, je veux dire juste toi et moi. Tu peux venir habiter ici ou on peut se trouver un endroit.
Howard : J’ai une meilleure solution.
Bernadette : Quoi ?
Howard : On attend que le cœur de ma mère explose à cause de tout ce sel qu’elle mange. Après on l’enterre, on retourne son matelas et on déménage dans la grande chambre.
Bernadette : Génial.
Howard : Regarde-nous, en train de planifier notre futur ensemble !
SCENE : La maison d’Howard.
Mme Wolowitz : Qui est là ? Etes-vous un criminel sexuel ?
Howard : Les criminels sexuels n’ont pas les clés, maman !
Mme Wolowitz : Tu étais où si tard ?
Howard : Je suis sorti avec Bernadette !
Mme Wolowitz : Je sais ce que ça veut dire. Je regarde Le Magazine de la Santé. J’espère qu’au nom de Dieu, tu as utilisé un préservatif ?
Howard : Je ne veux pas avoir cette conversation avec toi, Maman.
Mme Wolowitz : Que Dieu t’interdise d’attraper une de ces nouvelles maladies sexuelles, tape à l’œil.
Bernadette : Personne n’a de maladie.
Mme Wolowitz : Je l’espère ! On utilise les mêmes toilettes. C’est ce que tu veux ? Donner l’herpès à ta mère ?
Howard : C’est bon. Je n’ai pas à supporter ça ! Bonne chance avec tes sourcils, demain matin.
Mme Wolowitz : Qui est là ? Etes-vous un criminel sexuel ?
Howard : Je pars toujours. J’ai oublié mes médicaments antihistaminiques.
Générique.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Leonard : Hey. Qu’est ce qui t’arrive ?
Howard : J’ai besoin d’un endroit où dormir.
Leonard : Euh, d’accord. Pourquoi ?
Howard : Grosse dispute avec ma mère.
Leonard : Vous vous disputez toujours pour savoir quel « Les Experts » est le mieux ?
Howard : Non, on est tombé d’accord sur le fait qu’ils ont tous leurs mérites. C’était à propos de Bernadette cette fois.
Sheldon : Qu’est ce qui se passe ?
Leonard : Howard va dormir ici ce soir. Il s’est disputé avec sa mère.
Sheldon : Tu lui as offert une boisson chaude ?
Leonard : Non.
Sheldon : Leonard, le protocole social déclare que quand un ami est contrarié, tu lui offres une boisson chaude, comme du thé.
Howard : Ça me dirait bien du thé.
Sheldon : Tu l’as entendu, Leonard. Et pendant que tu y es, je suis contrarié car on a un invité imprévu, prépare-moi un cacao. Je voudrais savoir, étant donné que Leonard est ton ami secondaire et que Koothrappali est ton ami primaire, pourquoi tu n’as pas cherché refuge sous son toit ?
Howard : Il n’y a pas de place. Sa sœur est chez lui.
Leonard : Attends. Attends. Quoi ?
Sheldon : Cacao, Leonard. Concentre-toi. Je comprends pas tout là.
Leonard : Priya est en ville ?
Howard : Oui. Un truc pour le travail. Bref, ma mère semble penser que Bernadette …
Leonard : Attends. Quand est-ce que Priya est arrivée ?
Howard : Je sais pas. Il y a 2-3 jours. Le truc c’est que Bernadette n’aime pas que je m’occupe de ma mère, et ma mère ne fait pas confiance à Bernadette …
Leonard : Oui, c’est vraiment triste. Salut.
Sheldon : Ne t’inquiète pas, en tant qu’ami tertiaire, je suis prêt à te réconforter.
Howard : Ce n’est pas vraiment nécessaire.
Sheldon : Non, non. Je finis de faire du thé pendant que tu m’expliques ce qui te pose problème.
Howard : Merci.
Sheldon : C’est à quoi sert un ami tertiaire.
SCENE : L’appartement de Raj.
Raj : Qui c’est ?
Leonard : C’est Leonard.
Raj : Tu ne peux pas entrer.
Leonard : Je veux juste lui parler.
Raj : Je l’interdit.
Priya : Ouvre la porte, Rajesh.
Raj : Tu m’as entendu. Je l’ai interdite.
Priya : Interdite ?
Raj : Interdit.
Priya : Bouge de là. Qu’est-ce que tu fais là ?
Leonard : Qu’est-ce que toi, tu fais là ?
Priya : J’ai des affaires à Los Angeles.
Leonard : Pourquoi tu n’as pas appelé ?
Raj : Clairement, elle t’envoyait un message d’aller te faire voir.
Priya : Je suis désolée, j’ai pensé t’appeler mais je n’étais pas vraiment sûre que te voir étais une bonne idée.
Leonard : Je sais. La dernière fois, je suis allé un peu vite. On peut parler seul à seul ?
Raj : Non !
Priya : Bien sûr.
Raj : C’est complètement inapproprié pour une femme célibataire de discuter avec un homme en privé. Si tu veux vraiment discuter fais-le sur le canapé. D’accord, tu peux parler dans la chambre, mais je veux que cette porte reste ouverte ! D’accord, cette fois tu peux la fermer. Mais souviens-toi que je serais juste là pour contrôler la situation. Et merde. Leonard, quand tu auras ce message, appelle-moi. Priya, c’est ton frère. Quand tu auras ce message, dis à Leonard de consulter son répondeur.
SCENE : Le Cheesecake Factory.
Sheldon : Tu veux dormir encore chez nous ce soir ? Parce que tu es le bienvenu.
Howard : C’est très gentil de ta part mais j’ai d’autres projets.
Sheldon : Ok, mais souviens toi, si tu as besoin d’un ami légèrement supérieur, je suis là.
Priya : Salut, Howard. Salut, Sheldon.
Sheldon : Salut.
Howard : Coucou.
Raj : Pourquoi vous vous tenez la main ? Je vous interdis de vous tenir la main.
Priya : Rajesh, tu sais Leonard et moi avons passé la nuit ensemble.
Raj : Oui, mais vous avez juste dormi, parce que je vous interdis de coucher ensemble.
Leonard : Le mot c’est je vous avais interdis.
Raj : T’es sûr ? Ça sonne mal je trouve.
Priya : Ecoute, Rajesh, Leonard et moi avons décide de nous revoir, et tu n’as pas à me dire avec qui je peux ou ne peux pas sortir.
Sheldon : En fait, il peut. Le code Hindou est très clair. Si le père d’une femme n’est pas là, alors la tache de contrôler ses désirs de base revient à l’homme de sa famille le plus proche d’elle, dans notre cas, Raj. Le code dit aussi que si elle désobéit, elle renaîtra « dans le ventre d’un chacal et sera tourmentée par la maladie ». Si cela est vrai, ça semble être un pari risqué vu que le prix est Leonard.
Raj : Et voilà Priya. On est Indiens. On croît en ces trucs.
Priya : Je crois que le code dit aussi que si tu manges du bœuf, tu dois vivre avec des vaches pendant trois mois et boire leur urine.
Raj : Certains d’entre eux ont un sens, mais certains sont débiles. Tout ce que je dis c’est que tu ne peux pas sortir avec Leonard.
Penny : Qui ne peut pas sortir avec Leonard ?
Raj : Ma sœur.
Leonard : Penny, voici la sœur de Raj, Priya.
Priya : Enchantée de te rencontrer.
Penny : Oh, oui, moi aussi.
Sheldon : Priya, si tu ressens quelques tensions ou maladresses, cela vient du fait que Leonard et Penny … si je peux utiliser les mots d’Howard, dansaient sans pantalons.
Penny : Sheldon !
Leonard : Vraiment !
Howard : Salut, Bernadette, je peux te parler une seconde.
Bernadette : Bien sûr.
Raj : Penny, tu as fini désenchanté avec Leonard en tant qu’amant. Pourrais-tu dire à ma sœur pourquoi ?
Howard : Ecoute, ma mère va à Palm Springs rendre visite à sa sœur. Ce sont deux nuits entières pendant lesquelles je pourrais dormir avec toi jusqu’au matin. A moins que l’air du désert assèche ses sinus et dans ce cas je devrais m’y trimballer avec un gros humidificateur d’air.
Bernadette : C’est tout ? C’est ta grande solution à tous nos problèmes ? Si le nez de ta mère tient le coup, on passe deux nuits ensemble ?
Howard : N’est-ce pas formidable ?
Bernadette : Non, c’est pas formidable. Tu dois faire un choix. moi ou ta mère.
Howard : Euh …
Bernadette : Mauvaise réponse.
Howard : Non, attends. Tu ne m’as pas laissé finir.
Bernadette : Je t’écoute.
Howard : Euh …
SCENE : L’appartement de Penny.
Amy : Je suis venue aussi vite que je pouvais.
Penny : Ok. Pourquoi ?
Amy : Pour te consoler, bien sûr. Sheldon m’a raconté le rencard entre Leonard et la sœur de Rajesh. J’ai donc accouru ici pour ramasser les morceaux de ton cœur brisé.
Penny : Amy, je vais bien.
Amy : Tu n’as pas besoin d’être forte pour moi. Parlons de Priya, cette salope voleuse d’hommes.
Penny : Quoi ?
Amy : Dans des situations comme celle là, les meilleures amies sont souvent méchantes envers l’autre femme.
Penny : Non, vraiment je ne suis pas en colère à propos de Leonard et Priya.
Amy : Oh. Peut-être que tu ne comprends pas ce qui se passe dans ce cas. Ton ancien petit ami t’a remplacé avec ce qui semble être la compagne idéale. On peut même dire beaucoup plus appropriée que toi.
Penny : Oh. Bien, tant mieux pour lui. Hé, qu’est ce que tu veux dire par mieux appropriée ?
Amy : Eh bien, je te l’accorde Penny, tes caractères sexuels secondaires sont raisonnablement généreux. Mais Priya a un diplôme, c’est une véritable professionnelle dans son métier et elle vient de la culture qui a littéralement écrit le livre sur les moyens soignés de faire l’amour. Tandis que toi, d’un autre côté, tu as abandonné tes études et tu viens d’une culture qui a écrit le livre sur le renversement des vaches.
Penny : Ouais. D’accord, j’ai compris. J’ai compris. Alors … c’est quoi tous ces trucs ?
Amy : C’est un électroencéphalogramme portable. Je fais des recherches sur les émotions et l’activité du cerveau. Donc quand tu commences à pleurer, je peux voir quelle région du cerveau est active. Après je stimulerais cette zone sur un singe en laboratoire pour voir s’il pleure. Cool, hein ?
SCENE : L’appartement de Bernadette.
Howard : Je te choisis, toi.
Bernadette : Vraiment ?
Howard : Ouais, j’ai déménagé de chez ma mère. Le cordon est coupé. Je suis tout à toi.
Bernadette : Qu’est ce qu’elle a dit quand tu lui a annoncé ?
Howard : Je ne sais pas, elle n’a pas encore répondu à mon e-mail.
Bernadette : C’est tellement formidable. Je t’aime, Howard.
Howard : Je t’aime aussi. Qu’est-ce qu’on mange ?
Bernadette : Je n’ai pas vraiment grand-chose dans la maison.
Howard : C’est pas grave. Pourquoi on ne ferait pas un peu les fous dans notre chambre. Et après tu pourrais aller faire les courses.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Leonard : Je croyais qu’après avoir mangé, on pourrait voir un film.
Priya : J’adorerais ça.
Leonard : J’adore la façon dont tu dis, « j’adorerais ça ».
Raj : Elle le dit pareil que moi. J’adorerais ça. Tout le monde en Inde, le dit de cette façon. C’est pas important.
Priya : Rajesh ne fait pas ton bébé.
Raj : Je ne fais pas mon bébé. Leonard, je jure sur Dieu, si ta sœur vient en ville, je ferais tout pour l’avoir.
Leonard : Ma sœur a 38 ans et elle est mariée.
Raj : La honte sera encore plus terrible pour la famille des Hofstadter.
Penny : Oh, je savais bien que j’avais senti de la pizza.
Sheldon : C’est remarquable. Si le pepperoni était une substance explosive, tu pourrais remplacer les bergers allemands dans nos aéroports.
Priya : Salut. Penny, c’est ça ?
Penny : Oh oui. Salut. Je suis désolée. Je ne savais pas que tu avais de la compagnie. Je ne veux pas m’imposer.
Sheldon : Non, non. Tu ne t’imposes pas. A ce moment, dans notre écosystème, tu es apparentée à un pluvier, un petit oiseau qui mange la nourriture entre les dents d’un crocodile. S’il te plaît, vole dans notre gueule ouverte et mange-y.
Penny : Si j’avais plus qu’une boite de bicarbonate de soude dans mon frigo, je n’aurais pas à prendre ça.
Amy : Salut, meilleure amie.
Penny : Salut. Alors Priya, tu es avocate, c’est ça ?
Priya : Je sais. Plutôt ennuyeux, hein ?
Leonard : Oh, s’il te plaît. Ce n’est pas du tout ennuyeux. Elle aide à mettre en place un second marché qui permettrait aux entreprises automobiles étrangères de couvrir leurs investissements contre les avancées de la technologie électrique. Hum ?
Priya : Merci, Leonard. Dis comme ça, ça ne semble pas du tout chiant.
Leonard : Je suis désolé.
Amy : Alors, comment tu tiens le coup ?
Penny : Je vais bien.
Amy : Tu plaisantes ? Elle est à couper le souffle.
Priya : Alors. Penny, Leonard m’a dit que t’es actrice. Ça doit être excitant.
Penny : Oh, oui, oui. C’est vraiment génial. Aujourd’hui j’ai roulé jusqu’à Van Nuys pour une audition, je croyais que c’était pour une pub pour de la nourriture pour chat. Alors que c’était pour un porno.
Sheldon : Et tu as eu le rôle ?
Penny : Je n’ai pas fait l’audition.
Sheldon : Etant donné l’état de ta carrière, peux-tu vraiment te permettre d’être pointilleuse ?
Priya : J’ai pris des cours de comédie quand j’étais à Cambridge. J’ai adoré. On a joué « La Mégère apprivoisée ».
Leonard : J’adore « La Mégère apprivoisée ». J’ai écrit un article dessus au lycée. Qui ne sait où la guêpe a son aiguillon, au bout de sa queue.
Priya : Au bout de la langue ?
Leonard : La langue de qui ?
Priya : La vôtre, si vous parlez de queues, et donc adieu.
Leonard : Quoi donc, à propos de ma langue et ta queue ?
Amy : Je regrette ma méchanceté de tout à l’heure. C’est un délice absolu.
SCENE : La chambre de Bernadette.
Bernadette : Wow.
Howard : Wow, en effet.
Bernadette: J’arrive pas à croire qu’on habite enfin ensemble.
Howard : Ouais. Tu sais ce qui rendrais ce moment parfait ?
Bernadette : Quoi ?
Howard : Un petit encas. Tu as du fromage râpé ?
Bernadette : Non. J’ai peut-être du cheddar.
Howard : Pas aussi bon. Tu ne peux pas râper ce fromage. Rappelle-moi de le mettre sur la liste des courses.
Bernadette : Ok.
Howard : Tu as un détergent hypoallergénique ?
Bernadette : Non.
Howard : Met-le sur la liste. Si tu laves mes sous vêtements avec de la lessive ordinaire, j’aurais des petits boutons rouges sur mon prépuce.
Bernadette : Attends une seconde. Je vais faire ta lessive ?
Howard : Ça va pas se faire tout seul, chérie. Avant que j’oublie, demain matin, tu m’emmènes chez le dentiste.
Bernadette : Je dois t’emmener ?
Howard : Tu ne dois pas m’emmener. Tu vas m’emmener.
Bernadette : Attends une minute. Es-tu en train de me dire que ta mère t’emmène chez le dentiste ?
Howard : C’est pas étrange. Il y a pleins d’enfants avec leur mère là-bas.
Bernadette : J’arrive pas à y croire.
Howard : Quoi ? C’est marrant. Si j’ai pas de carie, on pourra manger un bout après.
Bernadette : Ok, Howard, mettons les choses au clair tout de suite. Je ne vais pas être ta mère.
Howard : D’où tu sors ça ?
SCENE : La maison d’Howard.
Mme Wolowitz : Qui est-ce ? Un criminel sexuel ?
Howard : Personne ne voudrait t’agresser sexuellement, Maman !
Mme Wolowitz : Où étais-tu ?
Howard : Tu n’as pas lu mon e-mail ?
Mme Wolowitz : Tu sais bien que je n’arrive pas à allumer cette saleté d’ordinateur. J’ai laissé un gigot dans la cuisine !
Howard : Merci !
Mme Wolowitz : N’oublie pas de te laver les dents. On doit aller chez le dentiste demain matin.
SCENE : L’appartement de Penny.
Penny : Oh, salut. Quoi de neuf ?
Amy : Je voulais juste te voir.
Penny : Pourquoi ?
Amy : Il semble que la chose à faire quand une meilleure amie se fait remplacer par une intelligente et splendide femme à la sexualité en ébullition d’un tigre du Bengale à l’aguets.
Penny : Je te l’ai déjà dit. Ça ne me gène pas. Je veux dire, ça me plait que Leonard ait trouvé quelqu’un qui le rende heureux.
Amy : Ça va aller, ça va aller.
Penny : Merci.
Amy : Maintenant fixons les électrodes et voyons ce qu’il se passe dans ta petite tête.
Penny : Ok.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Penny : Je sens la nourriture chinoise.
Sheldon : En fait, c’est Thaï. Tu te trompes.
Penny : Leonard et Priya sont là ?
Sheldon : Ils sont partis à Catalina pour le week-end.
Penny : Où est Raj ?
Sheldon : Chez lui, l’interdisant.
Penny : Et Howard ?
Sheldon : J’ai cru comprendre que sa mère le punissait de s’être enfui.
Penny : Oh. Ok. Je crois qu’on va être que tous les deux dans ce cas, hein ?
Sheldon : En fait, tous les trois.
Amy : Quoi de neuf, Penny ? Bonnes nouvelles. Grâce à toi, j’ai réussi à faire pleureur mon singe de laboratoire.
Penny : Formidable.
Amy : Donc, tu te sens mieux ?
Penny : Pas vraiment.
Amy : Sheldon, tu as une invité qui est bouleversée.
Sheldon : Bien, je vais faire du thé.
Penny : Trésor, c’est bon. Je ne veux pas de thé.
Sheldon : Désolé. C’est pas une option.
Fin de l’épisode.