SCENE: Le Cheesecake Factory.
Penny : Hé. Prêt pour commander?
Sheldon : Vu que nous venons tous les mardis à 18h00, que nous commandons toujours la même chose, et qu’il est 18h08, je crois que la question ne mérite aucune réponse. Mais elle fait partie des demandes qui n’ont pas de sens. Comme « qui a laissé le chient dehors ? » ou « comment sont-ils suspendus ? ».
Penny : Ok. Donc, comme d’habitude, avec un extrait de crachas sur le hamburger de Sheldon.
Amy : Penny, un instant ? As-tu prévus quelque chose ce week-end ?
Penny : Oh, zut, Amy, je suis désolée, je suis très occupée ce week-end.
Sheldon : Probablement à servir les plats commandés aujourd’hui.
Amy : Vraiment dommage. J’espérais que tu pourrais être mon « invitée », à l’institut d’études interdisciplinaires, un colloque sur l’impact des recherches scientifiques sur les interactions sociales.
Penny : Le quoi ?
Leonard : C’est une conférence scientifique annuelle. On a été invité comme intervenant.
Penny : Oh, ok, hé bien, vous savez, comme j’ai dit, j’ai des projets, alors …
Amy : Dommage. Comme tu es ma meilleure amie, j’avais pensé que ce serait l’occasion de renforcer nos liens.
Penny : Je suis ta meilleure amie ?
Amy : Tu ne lis pas mon blog ?
Penny : Oh, le prend pas mal. Je n’ai jamais lu celui de Leonard, quand je couchais avec lui.
Amy : Est-ce que tu connais quelqu’un d’autre qui apprécierait un week-end en SPA tous frais payés dans un hôtel quatre étoiles à Big Sur ?
Penny : Non, vraiment … Je suis désolée, sans quoi ? Désolée, quoi, quoi ?
Leonard : Je crois que son week-end vient de se libérer.
Penny : Attends, juste pour être clair, lorsque tu dis SPA, est-ce que ça veut dire la même chose que pour les gens normaux ?
Leonard : A peu près. Sauf qu’on garde nos t-shirts dans le sauna.
Penny : Vous savez, ça va être un peu difficile, mais je vais annuler mes projets pour faire ça avec ma copine.
Amy : S’il te plaît. Ne touche pas mes seins.
Penny : Je … Je n’allais pas y toucher.
Amy : Très bien. Je voulais juste poser une limite.
Penny : C’est génial. Je n’ai pas prit de vacances depuis un bout de temps.
Sheldon : Pour pouvoir prendre des vacances, il faut commencer par travailler.
Penny : Tu sais, pour un gars intelligent, tu as du mal à comprendre la notion de « ne pas faire chier les gens qui prépare ton repas ».
Amy : Cela me semble être un principe valable.
Sheldon : Je crois que Penny va adhérer à l’Office des salariés de la restauration de Californie et à son serment solennel pour l’éthique et la propreté.
Amy : Je ne crois pas qu’une telle chose existe.
Sheldon : Tu m’as menti ?
Générique.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Bonjour. Je peux avoir l’attention de tout le monde, s’il vous plaît ? Je sais que nous sommes tous impatients de prendre la route pour Big Sur. Donc, si vous me prêter un peu d’attention, je suis sûr qu’on peut finir cette planification dans une demie heure. Ensuite, c’est juste des QCM, quiz, exercices de sécurité, pause pour une photo de groupe commémorative, et on aura fini.
Leonard : T’en fais pas. Reste à côté de moi pendant le quiz, tu pourras copier mes réponses …
Sheldon : Raj ? Qu’est-ce que tu fais ? Je ne crois pas. Tu en as déjà bu un. La première pause pipi n’est qu’après Denny près de Bakersfield, qui est à environ 2h30 d’ici. Rappelez-vous, nous sommes aussi forts que les vessies sont faibles.
Howard : Personnes ne s’intéresse à tes exercices de Kegel.
Sheldon : Très bien. On a sept personnes, et deux voitures. Dans la voiture de tête, conduite par Leonard, il y aura … moi-même, Amy Farrah Fowler, et Penny.
Amy : Oui ! Il t’avait mis dans l’autre voiture, mais je l’ai fait changer.
Sheldon : Elle a dit que tu serais utile si on tombait en panne au milieu de nulle part, tes compétences nébraskiennes et tes mains musclées seront nos meilleures chances de survivre dans la brousse.
Penny : Musclées ?
Leonard : Elles sont plus grosses que les miennes.
SCENE : La voiture de Leonard.
Sheldon : Leader rouge à rouge 5, répondez. Leader rouge à rouge 5, répondez. Howard, tu as promis.
Howard : Très bien. Rouge 5 à Leader rouge. Qu’est-ce que tu veux ?
Sheldon : Il est 11h15. Je demande la mise à jour de ta localisation.
Howard : Toujours derrière toi.
Sheldon : Bien reçus, rouge 5. Le contact radio est suffisant. Pas besoin de soulever ton majeur.
Penny : Amy, je me demandais, est-ce que toi et Sheldon allez partager une chambre ?
Amy : Non, nous en avons parlé. On a décidé qu’on ne voulait pas compromettre notre relation en se rapprochant trop.
Sheldon : En effet. Rien n’éloigne plus une amitié que la toilette habituelle d’une personne.
Leonard : Je peux confirmer cela.
Penny : Hé.
Leonard : Pas toi. Lui.
Penny : Oh. Merci.
Leonard : Bien que tu as été une inspiration.
Amy : Ne t’inquiète pas, Penny. Tu es mon invité. Tu reste avec moi. Et pour info, voyager me constipe. Donc, je suis la voisine de chambre d’hôtel idéale.
Penny : Excellent. On arrive quand déjà ?
SCENE : La voiture de Bernadette.
Bernadette : J’espère qu’on va arriver à temps pour assister au discours d’ouverture.
Howard : Vraiment ? Tu veux assister au discours d’ouverture ?
Bernadette : Ouais, ça semble amusant. « Super bactérie : une apocalypse mondiale ou une excitante possibilité de recherche ? ».
Howard : En fait, je pensais qu’on irait directement à la chambre et … faire une petite sieste.
Bernadette : Vraiment ? Et rater l’ouverture ?
Howard : On peut le regarder plus tard sur c-span. Je suis impatient que toi et moi … dormions ensemble à l’hôtel.
Bernadette : Chéri, si tu es aussi fatigué, pourquoi tu ne fais pas une sieste dans la voiture ?
Howard : Non, tu vois, c’est pas …
Bernadette : Attends. C’est Leonard. Salut, Leonard.
Leonard : Oui, salut. Ecoute, j’ai eu un SMS de Raj. Il veut que je te dise que quand Howard dit « sieste », il veut dire « sexe ».
Bernadette : Merci, Raj.
SCENE : La voiture de Leonard.
Leonard : Es-tu un élément de la série des actinides ?
Sheldon : Non. Amy ?
Amy : Es-tu généralement radioactif à l’état naturel ?
Sheldon : Non.
Amy : Es-tu de la famille des lantanoides ?
Sheldon : Amy, c’est au tour de Penny. Penny ?
Penny : Je… je ne sais pas. Es-tu de la nourriture ?
Sheldon : Ce n’est pas approprié. On a déjà établie que je suis dans le tableau périodique.
Penny : Et bien, c’est une table, non ? Je veux dire, pourquoi il ne peut y avoir de nourriture dessus ?
Sheldon : Je savais qu’elle ne devait pas venir dans la voiture de tête.
Penny : Qui t’a élus Dieu du voyage ?
Sheldon : Leonard.
Leonard : C’était un vote de fin de soirée. On était à bout de force et il devenait désagréable. Techniquement, il n’est pas Dieu du voyage, il supervise les voyages.
Sheldon : Bien qu’un Dieu du voyage doit certainement faire la même chose.
Penny : Je ne comprends pas pourquoi vous le laissez vous intimider comme ça … Quelqu’un devrait lui tenir tête. Qu’est-ce qu’il va faire ?
(Penny passe dans la voiture de Bernadette).
Penny : J’arrive pas à croire que vous l’avez laissez me virer de la voiture.
Howard : Qu’est-ce qu’on pouvait faire ? Il supervise le voyage.
Bernadette : T’en fait pas Penny. De toute façon, c’est la meilleure voiture.
Howard : Ouais. La voiture de l’amour.
Penny : Est-ce que je dois demander ?
Bernadette et Howard se mettent à chanter.
Penny : Leader rouge, je suis vraiment désolée.
SCENE : Le hall de l’hôtel.
Amy : Tu m’as manqué.
Penny : Tu sais quoi ? Tu m’as manqué aussi.
Glenn : Bernadette ?
Bernadette : Oh, mon Dieu, Glenn !
Glenn : Content de te revoir !
Bernadette : Tu es là pour la conférence ?
Glenn : Oui, je fais un débat sur le réchauffement global.
Bernadette : Oh, c’est bien pour toi. Glenn, c’est mon petit copain Howard.
Glenn : Content de te rencontrer.
Howard : Salut.
Glenn : Vous êtes un homme chanceux. Bernie est une fille vraiment bien.
Howard : Oui. Bernie est une fille bien.
Glenn : Bien, je dois y aller. Le débat est demain. Ca s’appelle, « Se souvenir de la neige, un regard en arrière ».
Bernadette : Je vais essayer d’y être.
Glenn : Oh, génial. Bye.
Bernadette : Bye.
Howard : Hé … Bernie ?
Bernadette : Oui ?
Howard : S’il te plait, dit moi que c’est ton cousin gay.
Bernadette : Non. C’était un de mes profs au collège.
Howard : Oh ! C’est un soulagement.
Bernadette : Et après, on est sorti ensemble pendant un an. Viens, on va voir si on peut faire cette petite sieste.
Howard : Non, ce n’est pas forcément proportionnelle… La ferme !
SCENE : La chambre de Bernadette et d’Howard.
Howard : Ce sac vert est au Dr Cooper. Et cinq de plus. Faites-le attendre. Direct la sieste, hein, ok. Donc ce gars, Glenn, t’as dis que vous êtes sortie pendant, quoi, un an.
Bernadette : Nous avons besoin de parler de mon ex copain, maintenant ?
Howard : Non. Je ne pense pas. Il fait quoi, 1m95 ? 1m98 ?
Bernadette : 2m05.
Howard : Il a probablement des difficultés pour trouver des costumes qui lui convient.
Bernadette : Il y a quelque chose qui te dérange ?
Howard : Non, c’est juste …
Bernadette : Quoi ?
Howard : Je pensais seulement, si tu as couché avec ce gars, il n’y a rien que je puisse faire ici qui puisse causer quelque … impact.
Bernadette : Howard, ce n’est pas un concours. Je t’aime. Je veux être avec toi.
Howard : Oui, génial, je t’aime aussi, mais … S’il s’agissait d’un concours, je n’aurai aucune chance, non ?
Bernadette : Tu ne peux pas penser ça.
Howard : Loser.
Bernadette : Howard, arrêtes.
Howard : Désolé, c’est juste que je n’ais jamais pensé qu’un gars comme moi qui sort avec une fille comme toi, aurait à concourir avec un gars comme ça.
Bernadette : Attends une minute, « une fille comme moi » ? Ca veut dire quoi ?
Howard : Je… Je …
Bernadette : Veux-tu dire que je ne suis pas assez bonne pour sortir avec un gars comme Glenn ?
Howard : Non ! Non, je dis exactement le contraire.
Bernadette : Que je suis trop bonne pour sortir avec un gars comme Glenn ?
Howard : Ouais, et bien, je prends ça …
SCENE : La chambre d’Amy et Penny.
Amy : Toujours rien. Rappelle-moi d’essayer à nouveau dans une heure.
Penny : Je le ferai.
Amy : Donc … Conversation de fille ?
Penny : Oh, bien sûr. Qu’est-ce que tu as en tête ?
Amy : Souscris-tu à la théorie de Freud sur l’envi d’avoir un pénis ?
Penny : Oh, je n’y ai jamais vraiment pensé. Pourquoi ?
Amy : Des fois, je pense que ça serait sympa d’en avoir un.
Penny : Vraiment ?
Amy : Pas pour le sexe, mais par commodité. Tu ne peux pas nier que, en comparaison, notre plomberie interne demande beaucoup d’entretien.
Penny : Encore une fois, je n’y ai jamais vraiment pensé.
Amy : On a du temps maintenant. Penses-y.
Penny : Oh, génial.
Bernadette : Je peux rester ici cette nuit ?
Penny : Oui. Pourquoi, qu’est-ce qui se passe ?
Bernadette : Howard est un vrai trou du cul.
Penny : Oh, oui, ça ! Entre.
Bernadette : Merci. Je vais dormir par terre.
Amy : Pas besoin. Penny et moi sommes assez à l’aise pour partager un lit.
Penny : Nous le sommes ?
Amy : Bien sûr, on est de bonnes amies.
Penny : Bien sûr, ouais, le blog.
Amy : Une mise en garde cependant. Je suis enclin à des terreurs nocturnes. Alors, si je me réveille en me débattant et en criant, pas de panique. Plaque-moi seulement au sol et caresse-moi les cheveux, et ça ira mieux.
SCENE : La chambre de Leonard et Sheldon.
Penny : Hé. Je peux rester ici cette nuit ?
Leonard : Chut. Sheldon dort. Qu’est-ce qui se passe ?
Penny : Et bien, Howard est un vrai trou du cul. Bernadette est dans mon lit, et pas moyen de caresser les cheveux d’Amy, elle mord.
Leonard : Quoi ?
Penny : Oublie. Je peux rester ici ou pas ?
Leonard : Bien sûr.
Penny : Super.
Leonard : Alors, comment on va faire ça ?
Penny : Et bien, je ne vais pas dormir dans le même lit que lui.
Leonard : Ouais, ça serait comme entrer dans le cercueil de Dracula.
Penny : On va juste faire le mieux que nous pourrons.
Leonard : Ok, quand tu dis « faire le mieux …
Penny : Dors.
Leonard : Très bien. Alors, on va appeler le milieu ici, la zone neutre.
Penny : La quoi ?
Leonard : Star Trek. Tu sais, la zone neutre entre la Fédération et l’Empire Romuléen.
Penny : Oh, ok. Juste comme avant.
Leonard : Bien sûr, parfois, la Fédération et les Romuléens pénètrent dans la zone neutre pour négocier une trêve temporaire.
Penny : Hé chéri, je vais t’expliquer pour que tu comprennes. En dessous de ma taille, mes boucliers sont levés.
Leonard : Compris. Compris. On peut faire plein de choses au-dessus de la taille, tu sais ?
Penny : Dors.
Leonard : Bonne nuit.
Sheldon : S’il vous plaît, dites-moi que vous n’allez pas avoir de coït ?
Penny : On ne va pas avoir de coït.
Sheldon : Tu me garanties que ça n’arrivera à aucun moment de la nuit ?
Leonard : Non.
Penny : Oui.
SCENE : La chambre de Raj.
Télé : A suivre sur Tuner Classic Movies, Le Journal de Bridget Jones.
Raj : Oh, mon Dieu, je pleure déjà.
Sheldon : Raj ? Raj ? Raj ? J’ai besoin de dormir ici cette nuit.
Raj : Pourquoi ?
Sheldon : Howard est un vrai trou du cul. Bernadette est dans le lit de Penny, Amy mord. Et Penny va, ou ne va pas avoir de coït avec Leonard.
Raj : Ok. Tu peux entrer.
SCENE : La chambre de Leonard.
Penny : Leonard, tu dors ?
Leonard : Non.
Penny : J’apprécie vraiment que tu me laisses dormir ici cette nuit.
Leonard : Bien sûr. Pas de problème.
Penny : Je sais que c’est un peu bizarre.
Leonard : Ben vrai.
Penny : Ben vrai ?
Leonard : J’ai appris la langue de la rue depuis qu’on a rompu.
Penny : Bien. Toujours en colère contre moi à ce sujet ?
Leonard : Non. Non, je comprends. J’ai été trop intense, j’aurais dû faire marche arrière.
Penny : Merci.
Leonard : Je me suis beaucoup amélioré là-dessus, tu sais. J’ai flirté avec 4 femmes différentes depuis qu’on a rompu, et je n’ai dit à aucune d’elles que je les aimais, et que je voulais des enfants.
Penny : Bonne chose pour toi.
Leonard : Ok, bonne nuit.
Penny : Bonne nuit. Tu sais, ça ne peut pas être la pire idée au monde que de violer la zone neutre pour une seule nuit.
Raj (arrive) : Hé, Leonard, Sheldon m’a viré de ma chambre, passe-moi tes clefs.
Leonard : Penny est ici. Non, on ne veut pas voir Le Journal de Bridget Jones.
SCENE : La conférence.
Sheldon : Bonjour et bienvenue à Science et Société. Je suis le Dr Sheldon Cooper, bs, ms, ma, phd, et scd. Omg, n’est-ce pas ? Peut-être que cette blague fait un peu trop hippie fofolle pour cette salle. Très bien, nous allons commencer avec le discours d’ouverture. Mlle Rostenkowski, voulez-vous commencer en nous parlant de votre évaluation de la responsabilité de la science sur notre société ?
Bernadette : Certainement. Je pense que tous les domaines de la science doivent faire preuve de prudence aujourd’hui. Il ne s’agit pas simplement d’armes nucléaires géantes qui peuvent détruire le monde. En tant que microbiologiste, je peux vous dire que même les organismes les plus minuscules peuvent faire le mal.
Howard : Intéressant. Je pense que vous pourriez avoir besoin de connaître ma collègue. Bien qu’elle prétende que son champ d’intérêt est les micro-organismes, elle a clairement passé une partie de son temps à côté de ce que l’on, peut appeler un armement assez massif.
Bernadette : Je pense que Mr Wolowitz devrait garder à l’esprit que le passé est le passé. Mais il doit savoir que je suis le genre de fille qui peut avoir tous les missiles qu’elle veut.
Amy : Est-ce que tu parles des femmes qui veulent un pénis ? Parce que j’en voudrais un.
Sheldon : Dr Koothrappali, voulez-vous vous joindre à la conversation ?
Raj : Certainement. Je voudrais soulever deux points. N°1, je pense qu’elles sont bien en train de parler de pénis. N°2, ces mimosas sont en train de me botter mon petit cul brun.
Leonard : J’aimerai bien botter ton cul brun.
Raj : Qu’est-ce que j’ai fait ?
Leonard : Oh, je ne sais pas. Peut-être que quand tu entres dans une chambre d’hôtel et que tu vois un gars se remettre avec sa petite amie, tu pourrais envisager de faire autre chose que te fourrer dans le lit d’à côté.
Raj : Je l’ai fait. T’as dis, pas de Bridget Jones.
Penny : On ne se remettait pas ensemble ! C’était juste un truc comme ça !
Sheldon : Excusez-moi. Nous ne prenons pas de commentaires ou de questions de l’auditoire pour l’instant.
Penny : Oh, la ferme, Sheldon !
Amy : Salut, ma copine.
Penny : Salut.
Sheldon : Très bien, pourquoi ne pas voir si on peut revenir à notre sujet.
Howard : Laisse-moi te demander quelque chose, Bernie.
Sheldon : Je ne crois pas.
Howard : Comment tu te sentirais si tu rencontrais mon ex petite copine et qu’elle ressemblait à Angelina Jolie ?
Bernadette : Oh, voyons, Howard, soit réaliste.
Howard : Quoi, je ne suis pas assez chaud pour Angelina Jolie ?
Raj : Je voudrai dire un mot. Non.
Sheldon : Très bien, pourquoi ne pas ouvrir ces questions à l’auditoire ?
Penny : Oui, j’ai une question. Y-a-t-il quelqu’un qui peut me faire sortir d’ici et me ramener à Los Angeles ce soir ?
Glenn : Je pars pour L.A. ce soir.
Bernadette : Penny, voici Glenn. Glenn, voici Penny.
Leonard : NON.
SCENE : La voiture de Bernadette.
Sheldon : Leader rouge à rouge 5. Y-a-t-il quelqu’un pour un petit jeu ? J’espionne de mon petit œil … un métal non ferreux.
SCENE : La voiture de Leonard.
Sheldon : Ils doivent être hors de portée.
Amy : Leonard, je peux te poser une question ?
Leonard : Bien sûr.
Amy : Es-tu gêné par le fait que ton ex-petite amie ai quitté le symposium avec ce qui est probablement le plus bel homme que j’ai vu de ma vie ?
Leonard : Non. Pourquoi tu me demandes ça ?
Amy : Parce que tu vas à 170 km/h.
Sheldon : Très bien, si personne ne veut deviner …. J’étais les jantes chromées de la voiture de police qu’on a croisé quelques kilomètres plus tôt.
Fin de l’épisode.