SCENE : Le restaurant universitaire.
Howard : Ma, Ma, calme toi. Ecoute-moi. Je sais qu’il ait dit cliquez avec la souris, mais sur un ordinateur portable, le trackpad est la souris. Maintenant, mets ton doigt dessus. Peu importe quel doigt. C’est un bon choix. Maintenant, déplace vers le bas sur l’icône de ton e-mail. Oui, la petite enveloppe. Que veux-tu dire, par « à quoi ça ressemble ? ». Ca ressemble à une enveloppe ! Bien, si tu n’aimes pas l’ordinateur, ne l’utilise pas. Bien sûr, qu’on peut l’échanger contre une essoreuse à salade, au revoir !
Raj : C’est un cadeau de Hanoukka, tu le regrettes, hein ?
Sheldon : Je ne vais pas dire que toutes les personnes âgées qui ne maîtrisent pas la technologie doivent être fouettés en public, mais si nous on faisait un exemple avec un ou deux, ça pourrait inciter les autres à plus d’efforts.
Leonard : J’ai eu une excellente idée. Vous savez combien nous avons toujours bloqués pour résoudre les équations différentielles, comme quand on fait les analyses de Fourier, ou en utilisant l’équation de Schrödinger ?
Sheldon : Howard ne le fait pas. Il est seulement ingénieur.
Leonard : Je pensais que nous pourrions mettre au point une petite application qui utiliserait la reconnaissance de l’écriture, et qui l’exécuterait à travers un moteur d’évaluation symbolique. Tu n’aurais qu’à utiliser ton Smartphone, tu prends une photo de l’équation et Bam !
Raj : Tu sais ce qu’est une bonne application ? C’est celle qui fait des bruits de pets.
Sheldon : Tu sais, Leonard, c’est en fait une bonne idée. Très bonne.
Leonard : Peux-tu me dire ça sans me faire penser que je suis un chat qui a appris comment faire pour utiliser les toilettes ?
Sheldon : Non. Bien que les deux soient toutes aussi surprenantes et tout à fait admirables, mais trop rapide. Je donnerai un léger avantage pour le chat. Je vais t’épargner la douleur et l’angoisse d’attendre la réponse. Je suis d’accord pour faire parti de ton projet. Félicitations !
Leonard : Oh, ok pour moi. Qu’en pensez-vous les gars ? Je ne peux rien promettre, mais les gens se font de l’argent avec des trucs comme ça.
Howard : Un peu plus d’argent serait bien. Je pourrais enfin sortir de la maison de ma mère.
Raj : Où irais-tu ?
Howard : J’ai toujours rêvé de construire mon petit coin à moi au dessus du garage.
Raj : Vous savez, si je faisais plus d’argent, je pourrais prendre des congés et propos é aux jolies filles des balades en sous-marin.
Howard : Quel genre ? Des trucs de sexe ?
Raj : Non. T’emmène des jolies filles sous l’eau dans ton sous-marin privé, et tu leurs montres les poissons. Pourquoi tout doit être sale avec toi ?
Leonard : Je pensais que nous pourrions travailler sur ça ce soir, et que peut-être dans quelques semaines, nous aurons nous-mêmes une application à vendre.
Howard : Il semble que nous sommes dans les affaires.
Raj : Je pense que nous devrions prendre une photo pour immortaliser ce moment.
Leonard : Ouais.
Howard : Oh.
Raj : C’est pas les meilleurs 99 cents que j’ai jamais dépensé, hein ?
Générique.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Leonard : J’ai vérifié l’App Store. Personne n’a encore jamais fait de résolveur d’équations différentielles à reconnaissance manuscrite.
Sheldon : Oh, Seigneur, chut !
Leonard : Quoi ?
Sheldon : Tu as si peu de bonnes idées, Leonard. Et tu allais juste vendre la mèche directe à un étranger ?
Penny : Qui, moi ?
Howard : Sheldon, je ne pense pas que Penny soit au courant de la reconnaissance d’écriture différentiel basé …
Sheldon (chantant) : Les étoiles dans la nuit sont grandes et lumineuses au plus profond du Texas ….
Leonard : Elle ne va pas nous voler notre idée.
Penny : Quelle idée ?
Leonard : On va créer une application …
Sheldon : Le ciel des prairies est large et haut profond dans le cœur …
Penny : Ok, arrête, stop !
Sheldon : Du Texas …
Penny : Quel que soit votre secret, je suis sûre que c’est ennuyeux, donc je ne suis pas intéressée.
Leonard : Ce n’est pas ennuyeux du tout. Vois-tu, au niveau des grandes mathématiques, il y a certaines séries d’équations qui …
Penny : Chiant.
Leonard : Satisfait ?
Sheldon : A peine. Considérez que ceci soit peu probable mais le scénario est très plausible. Une jeune femme seule dans la grande ville. Son rêve ridicule était de devenir une actrice brisé par le mensonge.
Penny : Hé, attends une minute.
Howard : Eh bien, accroche-toi, attends de voir jusqu’où il va.
Sheldon : Puis ça la frappe. Comment va-t-elle survivre ? Je veux dire, elle n’a aucunes perspectives, pas de compétences à vendre. Donc un jour, elle rencontre un groupe de génies et leur ami, Howard.
Howard : Hé, je …
Penny : Attends un instant. Voyons voir où il va.
Sheldon : Elle se lie d’amitié avec eux, et se mets en sommeille jusqu’à qu’ils lui révèlent une idée négociables, qu’elle vole et le vend au plus offrant.
Leonard : C’est ridicule.
Sheldon : Oh, ah bon ? Peux-tu nous donner la raison du pourquoi cette femme traîne avec nous tout le temps.
Penny : Oh, très bien. Vous savez quoi ? J’ai déjà trop glandé avec vous les gars. Je n’ai pas besoin d’écouter ça.
Howard : C’est ta réponse … La bouffe gratos.
Sheldon : D’accord, j’ai pris la liberté de rédiger ces diagrammes du déroulement des opérations qui donnent l’aperçu des diverses fonctions et le chemin que nous devons suivre lors de l’inauguration de notre nouvelle application.
Raj : Hé, pourquoi suis-je en charge de l’assistance téléphonique ? Ca semble un peu raciste.
Sheldon : Un service clientèle qui se représente avec un accent indien permettra de créer l’impression que nous sommes une grosse entreprise qui utilise des centres d’appels délocalisés.
Raj : Oh, très malin. Mais toujours raciste.
Sheldon : Dont acte, Steve et Wichita.
Howard : pourquoi suis-je inscrit comme ton assistant de direction ?
Sheldon : Parce que le mot secrétaire est tombé dans le discrédit. Pour info, c’est l’anniversaire de ma mère. Je vais avoir besoin de toi pour trouver un cadeau.
Leonard : D’accord, on s’arrête une minute.
Sheldon : Leonard, s’il te plaît, on peut parler pendant notre pause. On en a une à minuit. Nous aurons besoin de collations.
Leonard : Sheldon, t’es pas responsable. C’est mon idée. Je suis responsable.
Sheldon : Oh, bien sûr que tu l’est. Regarde le graphique d’organisation. Tu es carrément inscris en tant que fondateur.
Leonard : Eh bien, oui, et t’es inscrit comme chef de la direction, directeur financier et directeur des opérations.
Sheldon : Tu as oublié scientifique en chef, et président du conseil et chef du saint comité secret.
Leonard : Très bien. Nous devons être clairs sur un point maintenant. Je suis responsable de ce projet.
Raj : Oh, Leonard va tout mettre sur le dos de Sheldon …
Sheldon : Ok, d’accord, je ne vais pas me disputer avec vous. Sheldon Cooper n’est rien, s’il n’est qu’un membre de l’équipe. Dr Hofstadter vous avez la parole.
Leonard : Merci. Je pensais que nous pourrions commencer en parlant de l’interface utilisateur.
Sheldon : Oh, Seigneur, nous sommes foutus.
SCENE : Même scène.
Leonard : Donc, ce bouton ci vous permettra de parcourir une nouvelle équation, mais ici, vous pouvez appuyer, et ajustez de nouvelles valeurs pour les coefficients.
Sheldon : Bien, patron.
Leonard : Quoi ?
Sheldon : Ce diagramme. Je suppose que tu vas commencer par une plaisanterie. Certainement pour maintenir l’esprit de corps des employés.
Leonard : C’est pas une blague. C’est une vraie conception.
Sheldon : Dans ce cas, permets-moi d’offrir 27 petites modifications pour la faire un peu moins embarrassante ?
Leonard : Sheldon, je pense que ça va fonctionner. Essayons-le simplement à ma façon.
Sheldon : Oh, je suis … suis désolé. Je suppose que tu veux la franche vérité de tes employés, mais je me rends compte maintenant, tu veux qu’un stupide discourt de complaisance béni-oui-oui.
Leonard : C’est bon ?
Sheldon : Si vous le dites, patron.
SCENE : Quelques minutes plus tard.
Howard : Donc maintenant, pressez sur ce bouton déclenche juste une procédure factice …
Sheldon : Que diriez-vous pour le nom de l’application ? De Surprisingly Helpfull Equation Linked Diferential Optimized Numerator.
Raj: Ce qui fait donc S.H.E.L.D.O.N.
Sheldon : Vraiment ? Voilà un heureux hasard.
Leonard : Nous ne cherchons pas de noms maintenant. Howard ?
Howard : Comme je le disais, pour l’instant c’est juste une procédure fictive, mais par la suite, il sera remplacé par …
Sheldon : Très bien. Si nous ne sommes pas là pour lui donner un nom, peut-on au moins lui donner une désignation de code secret ?
Leonard : Non.
Sheldon : Attends. La bombe atomique était le projet « Manhattan ». Windows 95 a été à l’origine le projet « Chicago ». Pour notre application, je suggère humblement le projet Nodlehs.
Leonard : C’est juste Sheldon à l’envers.
Sheldon : Un autre accident heureux.
Leonard : Ne perdons pas de temps avec des noms pour l’instant.
Sheldon : Je vois. Est-ce que la décision peut-être ouverte à discussion ?
Leonard : Non.
Sheldon : Est-ce que la décision de ne pas en parler est ouverte à la discussion ?
Leonard : Non.
Howard : Encore, maintenant, c’est juste une procédure factice, mais par la suite, il nous laissera tomber dans …
Sheldon : J’appelle à un vote de censure et un changement immédiat en matière de leadership.
Leonard : Sheldon, arrête ça.
Sheldon : Quand au cours de la vie d’un homme, il devient nécessaire de dissoudre les liens de collaboration entre trois éminents scientifiques …
Leonard : C’est assez, Sheldon.
Sheldon : Très bien, allons-y votons. Vote à main levée, tous ceux qui s’opposent à Leonard et son règne de la tyrannie.
Leonard : Ok, ça y est, tu es viré.
Sheldon : Vraiment ? Pourquoi ?
Leonard : Parce que c’est impossible de travailler avec toi.
Sheldon : Je vois. Est-ce qu’on peut en discuter ?
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Leonard : Que fais-tu ?
Sheldon : Oh, bonjour, cordonnier. Je pense que tu as été heureux avec des elfes la nuit dernière.
Leonard : Je t’ai viré.
Sheldon : Oh, je sais. Je suis maintenant un entrepreneur indépendant.
Leonard : Non, tu n’es plus rien maintenant. Tu n’as plus rien à voir en quoi que ce soit avec ce projet.
Sheldon : Mais je l’ai amélioré.
Leonard : Je ne le veux pas meilleur. Je le veux à ma façon.
Sheldon : Eh bien, ça en dit long, n’est-ce pas ? Très bien, je suppose que je dois mettre mes pantalons de bus.
Leonard : C’est quoi des pantalons de bus ?
Sheldon : Ce sont des pantalons que l’on porte une fois que ces « dit » pantalons se soient assis sur les sièges d’autobus où d’autres personnes ont déjà siégé. Mais peut-être que ton grade élevé au sein de l’entreprise, t’as fait perdre le contact avec les luttes de l’homme du peuple.
Leonard : Ecoute, je suis toujours heureux de te conduire au travail. Rien n’a changé à cet égard. Nous sommes toujours colocataires, nous sommes toujours amis.
Sheldon : Sauf que tu m’identifies moi, ton meilleur ami, comme un membre gangréné qui devait être viré de l’équipe et éjecté au loin. L’acte désespéré d’un petit homme avec un grand complexe de Napoléon.
Leonard : Tu sais quoi ? Vas mettre ton pantalon bus.
SCENE : Le restaurant universitaire.
Raj : La nuit dernière, j’ai fait un rêve, nous sommes devenus si riches grâce à l’application, que toi et moi, on a acheté des hôtels particuliers côte à côte. Mais il y avait un tunnel secret qui reliait ta cour avant à mon arrière-cour. Ca signifie quoi à ton avis ?
Howard : Cela veut dire qu’après que nous ayons joué au handball, je prends une douche à la maison.
Sheldon : Bonjour, ami Howard. Ami Raj. Je vois que vous messieurs, profités des boissons. Peut-être que dans ceci ils auront meilleur goût.
Raj : « Le plus grand astrophysicien du monde » ?
Sheldon : Ne me remercie pas. Tu le mérites.
Howard : « Howard Wolowitz ». Pourquoi il n’y a pas « Le plus grand ingénieur du monde » ?
Sheldon : Je suis désolé. J’ai tapé ça avec la machine à étiquettes, mais je n’ai pas pu appuyer sur « entrée ». Maintenant, au travail. Que vous faut-il pour abandonner Leonard et vous joindre à moi dans une entreprise concurrente ? A moins, bien sûr, que ces tasses vous suffisent, dans ce cas, bienvenue à bord.
Howard : Nous ne renonçons pas à Leonard.
Sheldon : Je comprends. Votre fidélité est admirable. Mais si je devais monter la mise ?
Raj : Qu’est-ce que tu racontes ?
Sheldon : Des porte-clés avec vos initiales intégrant un pointeur laser. Non ? Que diriez-vous de deux cozies décorés avec notre mascotte de l’université ? Allez, les castors. Je vais revenir.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Howard : Bien, essayons celui-ci. « La Fonction Sphérique d’Hankel ».
Leonard : Je note. Ca y est !
Howard : Eureka !
Raj : Hé, on avait convenu du moment « Eureka », on devait le dire tous ensemble.
Howard : Très bien. Disons-le ensemble.
Raj : Non, le moment est passé.
Sheldon : Bonjour, messieurs. Comment va votre petit projet ?
Raj : Tu veux dire, « Le projet Lenwoloppali » ?
Sheldon : Ah, une combinaison de tous vos noms. Très intelligent. Je suppose que « Koothranardowitz » était pris ?
Leonard : Nous sommes actuellement sur la numérisation des équations et nous obtenons de bons résultats.
Sheldon : Oh, eh bien, je vous en prie, continuez. Je ne voudrais pas entraver votre progression.
Leonard : Howard, as-tu résolu le problème de l’installation ?
Howard : Non, c’est un peu délicat. Je vais essayer de reprendre les bibliothèques dyn …
Leonard : Que fais-tu ?
Sheldon : Je joue du Theremin.
Leonard : Non, je veux dire, qu’est-ce que tu fais avec un theremin ?
Sheldon : J’en joue. J’ai aimé le theremin dès le premier instant où j’ai entendu le thème musical de Star Trek. Et ça m’a tué, qu’il repose dans mon placard, sous la poussière.
Leonard : Sheldon ! Nous travaillons ici !
Sheldon : C’est exact ! Je peux à peine vous entendre avec mon theremin. Eh bien, c’est un peu déplacée.
Leonard : Non, c’était complètement prévu. Nous avons besoin de calme.
Sheldon : Donc, votre projet est plus important que le mien ?
Leonard : Eh bien oui, car ton projet est de saboter mon projet.
Sheldon : Ne tourne pas autour du pot, Leonard. Si tu ne veux pas de moi ici, dis seulement un mot, et je pars. Il aurait pu tourner un peu autour du pot.
SCENE : L’entrée de l’immeuble. Sheldon chante en jouant du theremin.
Penny : Qu’est-ce que tu fais ? T’essaie de contacter ta planète ?
Sheldon : Je joue de mon theremin.
Penny : Oh. Quelque chose te déprime, Sheldon ?
Sheldon : Leonard m’a chassé de mon propre appartement. Et de son équipe Appli.
Penny : Oh, chéri, je suis désolée.
Sheldon : Il ne voulait pas me conduire au travail aujourd’hui. Je dois porter mon pantalon de bus.
Penny : C’est donc ça ?
Sheldon : Oui. Et ils sont encore dégueux. Je vais devoir probablement les jeter.
Penny : Hé, tu n’as pas besoin de Leonard et de son application. Tu peux en faire une avec moi.
Sheldon : Avec toi ?
Penny : Sérieusement, j’ai une idée géniale pour une.
Sheldon : Elle vaut mieux que ton idée de déménager à Los Angeles et devenir une actrice célèbre ?
Penny : Très bien, écoutes … Quand tu vois quelqu’un porté des chaussures que tu aimes, tu prends une photo d’elles, et ensuite tu vas sur l’application pour savoir où tu peux les acheter.
Sheldon : C’est ton idée d’application ?
Penny : Tu ne l’aimes pas ?
Sheldon : Je n’ai pas dis ça. Mais non, j’aime pas.
Penny : pourquoi pas ?
Sheldon : Oh, Penny, où dois-je commencer ? La simplicité d’esprit de ton idée n’est dépassée que par la grossière banalité de ta consommation.
Penny : Et Leonard n’a pas voulu travailler avec toi ? Je me demande pourquoi.
Sheldon : Je sais, c’est déconcertant.
Penny : Sheldon, je vais faire un peu de cacao. Tu en veux ?
Sheldon : Tu le fais avec du lait ou de l’eau ?
Penny : Lait.
Sheldon : Du vrai cacao ?
Penny : C’est ce qui est dit sur le paquet.
Sheldon : As-tu des petits marshmallows ?
Penny : Non, désolé.
Sheldon : Eh bien, je suppose que c’est approprié.
Penny : Qu’est-ce que ça veux dire ?
Sheldon : Une boisson décevante pour une journée décevante.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Raj : Hé, regardez ça. 20 personnes de l’université ont déjà signé pour notre version bêta privée.
Leonard : Je vous le dis, le scanner Lenwoloppali d’équations différentielles répond à un besoin réel. Nous avons là un succès.
Raj : Combien penses-tu qu’on devrait le vendre ?
Howard : Eh bien, basée sur le fait que notre marché potentiel est d’environ 70 ou 80 gars, et si tu veux un sous-marin, je dirais environ un millions de dollars par client.
Raj : Eh bien, pourquoi ne pas faire une version Lite pour un demi-million ? Tu sais le vendre de bouche à oreille.
Penny : Salut. Je suis désolée de vous déranger les gars, mais vous devez venir reprendre votre Sheldon.
Leonard : Que fait-il dans ton appartement ?
Penny : Eh bien, il était là à se morfondre dans le hall d’entrée, alors je l’ai fait entrer. Maintenant, je le regrette.
Leonard : Pourquoi penses-tu regretter … Euh, où ai-je l’esprit, question stupide.
Penny : Ecoute, tu ne peux pas le laisser jouer avec vous jusqu’au coucher ?
Leonard : Nous ne jouons pas. Ce travail est bien réel.
Howard : Nous allons être sous-mariniers.
Penny : Très bien. Et si j’obtiens de lui des excuses et la promesse de bien se comporter ?
Leonard : Alors, je suppose que nous devrons le laisser revenir dans l’équipe Appli, et pendant qu’on y est, tu pourras effectuer une visite aérienne de L.A. sur ton cochon volant.
Penny : Très bien. Attendez ici.
Raj : Je vais vous dire une chose. Si je suis assez riche, c’est le genre de fille que je veux pour un tour en sous-marin. Et oui, cette fois, je l’ai dis pour être sale.
SCENE : L’appartement de Penny.
Sheldon : Vraiment ? Leonard veut me voir revenir ?
Penny : Oh, oui. Il dit qu’ils sont perdus sans toi.
Sheldon : Eh bien, nous avons su que ça arriverai.
Penny : C’est exact.
Sheldon : Tu sais ce que je vais faire ? Je vais m’asseoir ici et les laissez mijoter.
Penny : Non, non, non. Tu sais, ils ont assez souffert. Tout le monde à assez souffert. Le truc, c’est que tu vas avoir à leur offrir quelque chose pour sauver ta réputation.
Sheldon : Comment ?
Penny : Dis que t’es désolé.
Sheldon : Oh, non. Mme Mary Cooper n’a pas élevé des menteurs.
Penny : Très bien. Hum … Que dirais-tu de ça ? Tu sais quand j’essaies toujours de t’apprendre le sarcasme ?
Sheldon : Non.
Penny : Non ?
Sheldon : J’étais sarcastique.
Penny : Oh. C’est très bon. Donc tout ce que tu as à faire ici, c’est dire à Leonard que t’es désolé, mais avec du sarcasme.
Sheldon : Bien sûr. Il entendra cette tentative de réconciliation, comme une punition cinglante. Toi et moi serons se qu’elle est.
Penny : Ouais. Ouais. C’était mon plan. D’accord, viens.
Sheldon : Allons-y. Oh, soit dit en passant, merci, pour ce délicieux cacao.
Penny : Oh, de rien.
Sheldon : Garçon, tu commences à être bon à ça.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Leonard : Ok. Maintenant que tu es de retour dans l’équipe, tu dois tout rattraper.
Sheldon : Avant de commencer, permets-moi de te dire encore une fois à quel point je suis désolé pour mon comportement passé et combien je respecte et admire ton leadership.
Leonard : Je te remercie. Donc, comme tu peux le voir, non seulement tu peux stocker tes équations favorites, mais tu peux les faire parvenir à tes amis ou les poster sur Facebook à partir de ton application.
Sheldon : Eh bien, je dois l’avouer, je suis impressionné.
Leonard : Merci.
Sheldon : Vous avez tous clairement beaucoup travaillé.
Howard : C’est vrai.
Sheldon : En conséquence, vous avez fait le pas le plus important sur la voie du succès, l’apprentissage de ce qu’il ne faut pas faire. Maintenant, repartons à zéro. Howard, nous allons avoir besoin d’un peu de thé.
SCENE : L’appartement de Penny.
Penny : D’accord, celles-ci sont des Uggs. Celles-ci des Crocs. Celles-là des Knockoff Manolo Blahniks.
Sheldon : Chiant.
Penny : Ecoute, tu l’as dit toi-même, que nous devions créer une base de données avant de pouvoir écrire une alguo-truc.
Sheldon : Algorithme. Vois-tu, Penny, Alan Turing a défini un algorithme …
Penny : Chiant. Très bien. Ce sont des Steve Maddens. Des Nine West. Ce sont des Targets. Oh, mais elles ne ressembleraient pas à des Chanel ? Ce sont des Michael Kors …
Fin de l’épisode.