SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Dites. Expliquez-moi un truc. N’est-ce pas le but d’un repas en commun d’échanger des idées et des opinions ? Une opportunité de réfléchir sur les importants problèmes de la journée ?
Leonard : Ca l’est. Tu viens juste de commencer … quand tu dis, « la prochaine personne que je vois parler avec de la nourriture en bouche est une personne morte ».
Sheldon : Bien, nous pouvons discuter de quia dit quoi toute la nuit, mais … pour mettre autre chose sur le tapis, je vais proposer un nouveau sujet de conversation.
Howard : Oooh.
Leonard : Super.
Sheldon : Quel est le meilleur nombre ? Au fait, il n’y a qu’une seule bonne réponse.
Raj : 5 318 008 ?
Sheldon : Faux. Le meilleur numéro est le 73. Vous vous demandez sûrement pourquoi.
Leonard : Non.
Howard : Ca va.
Sheldon : 73 est le 21ème nombre premier. C’est le miroir de 37, c’est le 12 ème et c’est le miroir de 21, est le produit de la multiplication accrochez-vous, sept et trois. Hein ? Hein ? Ai-je menti ?
Leonard : On a compris … 73 est le Chuck Norris des nombres.
Sheldon : Chuck Norris aimerait bien. En binaire, 73 est un palindrome, un-zéro-zéro-un-zéro-zéro-un, qui à l’envers donne, un-zéro-zéro-un-zéro-zéro-un, exactement la même chose. Chuck Norris à l’envers donne Sirron Kcuhc.
Raj : Juste comme ça, quand tu tapes 5 318 008 sur une calculatrice, ça donne « boobies » à l’envers.
Leonard : Tu te souviens quand tu demandais pourquoi les filles ne voulaient pas manger avec nous ce soir ?
Howard : Ouais, je comprends maintenant.
SCENE : Un restaurant.
Penny : J’adore ton petit collier-cœur, Bernadette.
Bernadette: Oh, merci. Howard me l’a offert. C’est trop mignon. Chaque fois que je dine avec sa mère, le lendemain, j’ai un bijou.
Amy : Savez-vous que l’icône de la Saint Valentin, le cœur, n’est pas réellement issu de la forme d’un cœur humain mais plutôt sur la forme des fesses d’une femme se penchant en avant ?
Penny : Ah, donc j’ai passé mon enfance portant des petites fesses sur moi ? Cool.
Gars : Hé, Penny, comment ça va ?
Penny : Hé, Zack, qu’est-ce que tu fais là ?
Zack : La société de mon père imprime les menus de ce restaurant. J’en amène des nouveaux, plastifiés. C’est plus facile à nettoyer si les clients vomissent dessus. Devine comment j’ai eu cette idée ?
Penny : Oui, j’ai compris, c’est bon. Euh, Zack, ce sont mes amies, Bernadette et Amy.
Bernadette : Salut.
Zack : Salut.
Amy : Hoo.
Zack : C’était sympa de te voir.
Penny : Oui, ça m’a fait plaisir.
Bernadette : Il est vraiment mignon. Comment tu le connais ?
Penny : On est sortis quelques fois.
Amy : Je suis souvent larguée par le contexte actuel. Quand tu dis sortir, tu veux dire avoir une relation sexuelle ?
Bernadette : Oui.
Penny : Non, non. Mais dans ce cas, oui.
Amy : Intéressant. Et n’était-ce pas satisfaisant ?
Penny : Non, c’était génial. Il ne m’avait simplement pas vraiment défié sur un niveau intellectuel.
Bernadette : Tu ne pouvais pas déconner avec lui et ensuite écouter la station NPR ?
Penny : Ca n’aiderait pas. Zack ne sait même pas épeler NPR.
Bernadette : C’est ce que je fais avec Howard. Je suis bien plus intelligente que lui. Mais c’est important pour protéger sa virilité.
Amy : Hoo.
Bernadette : Qu’est-ce qu’il y a ?
Amy : D’un coup, je me sens rougir. Mon rythme cardiaque est élevé, mes paumes de main sont moites, ma bouche est sèche. En plus, je ne peux m’empêcher de dire Hoo.
Penny : Oh, on sait ce qui provoque ça, n’est-ce pas ?
Amy : Ce n’est pas un secret. J’ai visiblement la grippe, couplée à un soudain syndrome de la Tourette.
Générique.
SCENE : Le restaurant universitaire.
Howard : T’as entendu parler de l’accident au labo de bio ?
Leonard : Non.
Raj : Qu’est-ce qui s’est passé ?
Howard : Ils injectaient à des rats des isotopes radioactifs. Et un des techniciens s’est fait mordre.
Raj : Il a eu des super-pouvoirs ?
Howard : Non, il a eu 5 points de sutures et une injection antitétanique.
Raj : Oh, c’est dommage.
Leonard : Pourquoi ?
Raj : Et bien, si tu te fais mordre par un animal radioactif dans un labo, tu peux vouloir te transformer en super-héros.
Howard : Ouais, mais qui voudrait devenir Rat-man ?
Raj : Qui ne voudrait pas ? Vous pouvez filer au travers d’un labyrinthe, vous faufilez au travers de très petits trous, et fermer les restaurants d’un seul bond. Et le meilleur c’est, si j’étais Rat-man, tu pourrais être mon coéquipier Mouse-boy.
Howard : Mouse-boy ?
Raj : Tu n’aimes pas Mouse-boy? Kid-vermine alors.
Howard : Déjà, si j’avais des super-pouvoirs, je ne serais pas le coéquipier, tu serais le coéquipier.
Raj : Rat-man n’est le coéquipier de personne !
Howard : Leonard, tranches. De nous deux, qui est clairement le coéquipier ?
Raj : Ouais, Leonard, qui ?
Leonard : 12 ans après le lycée, je suis toujours à la table des nerds.
SCENE : Le laboratoire d’Amy.
Sheldon : Tu ne coupes pas ce cerveau humain un petit peu trop fin ?
Amy : Ca serait trop fin si j’étais en train de faire un sandwich au cerveau de 30 cm à Quiznos. Pour une microscopie à deux photons, ça ira.
Sheldon : C’est toi l’experte. Si la bonne façon de le faire est la mauvaise façon, alors j’abandonne.
Amy : Très bien. Si tu meurs et que tu donnes ton corps à la science, je promets de découper ton cerveau comme du bacon canadien.
Sheldon : Merci.
Amy : Maintenant, si tu veux bien m’excuser, je dois prendre ma température.
Sheldon : Surveilles-tu tes rythmes circadiens pour identifier tes périodes d’acuités mentales maximales ? Je l’ai fait lors d’un été. Ah, la jeunesse.
Amy : Non, j’ai vécu quelques symptômes pénibles la nuit dernière, donc je vérifie mes signes vitaux toutes les heures.
Sheldon : Je serais ravi de créer une charte et d’y participer à un diagnostic différent.
Amy : Oh, ça semble sympa.
Sheldon : Très bien. Quels étaient les symptômes ?
Amy : Rythme cardiaque élevé, paumes de mains moites, bouche sèche. Et élancements vasculaires localisés.
Sheldon : Localisés à quel endroit ?
Amy : Oreilles et organes génitaux.
Sheldon : Intéressant. C’est inhabituel pour ces parties. Qu’en est-il des facteurs environnementaux ? Décris-moi la scène.
Amy : J’étais assis dans un restaurant avec Penny et Bernadette, en train de boire de l’eau gazeuse comme c’était une occasion spéciale. L’ami de Penny, Zack, s’est arrêté et a dit « Salut » et j’ai dit « Hoo ».
Sheldon : Qui ?
Amy : Zack.
Sheldon : Pourquoi as-tu demandé alors ?
Amy : Demandé quoi ?
Sheldon : Qui.
Amy : Zack.
Sheldon : Très bien, reprenons depuis le début. Qu’as-tu dis quand Zack est arrivé ?
Amy : « Hoo ».
Sheldon : Zack.
Amy : Pourquoi tu continues à dire Zack ?
Sheldon : Car tu continues à me dire qui.
Amy : Je ne dis pas « Hoo » maintenant. J’ai dit « Hoo » hier soir.
Sheldon : Et la réponse était Zack, n’est-ce pas ?
Amy : Il n’y avait pas de question. J’ai simplement dit « Hoo ».
Sheldon : Bien, je pense que j’ai assez d’infos pour continuer. Les explications possibles pour tes symptômes sont, dans l’ordre décroissant de la probabilité : hyperthyroïdie, ménopause prématurée, hébergement d’un extra-terrestre ou, et je l’inclus seulement par souci d’accompagnement, l’excitation sexuelle.
Amy : Où aurais-je pris un parasite extra-terrestre ?
SCENE : Le restaurant universitaire.
Howard : Voilà.
Raj : Oh, salut.
Howard : Laisse-moi te poser une question. De quoi as-tu le plus peur ?
Raj : Je ne sais pas … euh … guerre nucléaire. Etre accidentellement brûlé vivant. Ces films où tu reçois cet appel te disant que tu vas mourir. Et que tu meurs vraiment.
Howard : Non, quelque chose de très spécifique que nous deux savons, toi, Rajesh Koothrappali, que tu as peur.
Raj : Bien, un diabète de type 2 existe dans ma famille. La peur de perdre un orteil …
Howard : Araignées ! Tu as peur des araignées !
Raj : C’est quoi ça ?
Howard : Un bocal avec une grosse araignée dedans, évidemment. Test de courage. Le premier à retirer sa main est l’assistant.
Raj : Es-tu fou ?
Howard : Peut être. As-tu peur ?
Raj : Non. Mais c’est un test stupide.
Howard : Vraiment ? Si la Terre était en danger et que la seule façon de la sauver était de mettre ta main dans un bocal avec une araignée ?
Raj : Vraiment ? Si la Terre était en danger et la seule façon de la sauver était de prendre une douche dans les vestiaires et laisser les autres gars te voir nu ?
Howard : Dis pas n’importe quoi. Ca n’arrivera jamais. Mets ta main dans le bocal ou à jamais tu seras considéré comme mon assistant.
Raj : Très bien, je le fais.
Howard : Comment es-tu si courageux tout d’un coup ?
Raj : C’est facile. L’araignée est en train de monter sur ton bras.
Howard : Enlève-la ! Enlève-la ! S’il te plait, Raj ! S’il te plait. Oh !
SCENE : Le laboratoire d’Amy.
Amy : Ma circulation sanguine montre une fonction thyroïdienne normale. Les niveaux de cortisol sont normaux.
Sheldon : Qu’en est-il de tes niveaux d’hormone folliculo-stimulante ?
Amy : Sheldon, je ne vais pas avoir la ménopause.
Sheldon : Tu es sûre ? Tu dis ça avec l’irritabilité d’une vieille bonne femme.
Amy : Je pense que nous devons faire face à la froide et dure vérité, j’ai été sexuellement excitée par Zack, l’ami de Penny.
Sheldon : Attends. Je sais pas, nous n’avons pas donné à l’hypothèse du parasite extra-terrestre un traitement équitable.
Amy : Regardons cela logiquement. J’ai un estomac, j’ai faim. J’ai des organes génitaux, j’ai le potentiel pour un éveil sexuel.
Sheldon : Une étape que l’on doit tous supporter. Tu sais, dans les moments difficiles comme ceux-là, je me tourne souvent vers une force plus puissante que moi.
Amy : La religion ?
Sheldon : Star Trek. As-tu vu Star Trek, The Motion Picture ?
Amy : Non.
Sheldon : Ne le regarde pas. Il est nul, peu importe … Dedans, on apprend que quand Spock s’écarte du chemin de la logique à cause des sentiments qui émergent de sa partie humaine, il les supprime en utilisant la discipline mentale Vulcane de Kolinar.
Amy : Est-ce que tu es en train de dire que nous vivons nos vies guidées par la philosophie issue d’une médiocre science fiction ?
Sheldon : « D’une médiocre science fiction » ?
Amy : Qu’est-ce que tu fais ?
Sheldon : J’utilise le Kolinar pour réprimer ma colère due à ce dernier commentaire.
Amy : Est-il possible que tes préoccupations envers moi en ce moment ne soient motivées par rien d’autre qu’une simple jalousie ?
Sheldon : Je n’y avais pas pensé. Donne-moi un instant. Bien, j’y ai pensé.
Amy : Et ?
Sheldon : Je rejette.
Amy : Tu rejettes car tu ne ressens pas de jalousie, ou parce que tu supprimes la jalousie ?
Sheldon : Je pense que je vais manger chez moi.
Amy : Ce n’est pas ton repas, Sheldon. Il s’agit des échantillons de cerveau.
Sheldon : Oh. Comme ils étaient mal coupés, tu peux voir comment j’ai pu les confondre avec mon sashimi.
SCENE : La buanderie.
Sheldon : Salut.
Penny : Hé. Ce n’est pas demain ton jour de machine ?
Sheldon : Le supermarché n’avait plus de mon assouplissant habituel. Si celui-ci adoucit plus ou moins, j’aurais besoin de temps pour faire les choses bien.
Penny : Il faudrait prévoir à l’avenir.
Sheldon : L’alternative serait d’y penser avant. Ceci est à retenir.
Penny : Sinon, comment va Amy ?
Sheldon : Amy a changé. Je vais devoir la laisser partir.
Penny : Oh non. Pourquoi ?
Sheldon : Je pensais qu’elle était une créature très évoluée d’une pure intelligence, comme moi. Mais les évènements récents indiquent qu’elle est peut-être une esclave de ses instincts primaires. Comme toi.
Penny : Je vais zapper l’insulte.
Sheldon : Quelle insulte ?
Penny : C’est pour ça que je vais l’ignorer. Es-tu en train de dire qu’Amy est … oh, quel est le mot scientifique …
Sheldon : Oublie la science. Elle est excitée.
Penny : Oh ! Okay. Houa.
Sheldon : C’est juste biologique. Il n’y a rien que je puisse faire.
Penny : Es-tu sûr ?
Sheldon : Que suggères-tu ?
Penny : Je suggère qu’il y a peut-être quelque chose que tu peux faire pour la forte envie d’Amy ?
Sheldon : C’est illégal de stériliser un être humain.
Penny : Ouais. Mais ce n’est pas ce que j’avais à l’esprit.
Sheldon : Oh. Oh ! Tu veux dire … quelque chose que je peux faire.
Penny : Exactement.
Sheldon : Et bien, j’espérais éviter ça. Mais je pourrais très bien en finir avec elle. Merci, Penny. Je te dirais ce qu’il s’est passé.
Penny : Oh, Amy, quelle chanceuse.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Oui. Je suis le DR. Sheldon Cooper. Etes-vous le Zack Johnson quia l’habitude d’avoir des coïts avec ma voisine Penny ? Désolé de vous déranger. Bonjour, je recherche Zack Johnson qui a l’habitude d’avoir des coïts avec ma voisine Penny. Coïts. Cela signifie un rapport sexuel. Et j’ai l’impression que je parle au bon Zack. Je suis Sheldon Cooper. Bien. Shelly. Oui, cela sonne comme un prénom de fille. Non, cela ne me dérange pas. Oui, Shelly l’odorant ne me dérange pas. Laissez-moi vous dire pourquoi j’appelle. Je voudrais savoir si vous seriez intéressé d’avoir des rapports sexuels avec Amy Farrah Fowler. Amy Farrah Fowler. Oui, c’est un nom de fille. Bon sang, on dirait que je parle avec un dauphin …
SCENE : Un gymnase.
Leonard : Vraiment ? Ce la va définir qui est le héros et qui est l’assistant ?
Howard : Tu as une meilleure idée ?
Leonard : N’importe quelle idée est meilleure que celle-ci.
Howard : Ding !
Raj : Attends. C’est quoi ce ding ?
Howard : C’est une cloche.
Raj : Je ne pense pas que ce genre de lutte possède une cloche.
Howard : Bien. Comment souhaites-tu commencer ?
Raj : Je dirais, heu, que dis tu de un, deux, trois, partez ?
Howard : Un, deux, trois, partez ? C’est pour les bébés.
Raj : Okay, que pense-tu de, heu … A vos marques, prêts, partez ?
Howard : C’est pour une course à pied. Si tu veux faire la course, nous devons aller dehors.
Raj : Non, il fait froid dehors. Je n’ai pas apporté ma veste.
Howard : Oh, pour l’amour de Dieu ! Quel genre de super-héros a besoin d’une veste ?
Raj : Quel type de super-héros dit, Dibs avec des collants rouges ! Dibs avec des collants rouges ! ».
Howard : Très bien, et que dis-tu de cela ? Prêts, luttez.
Raj : Attends. On commence maintenant ? Où tu allais dire comment commencer …
Howard : Nous commençons maintenant !
Raj : Ne me crie pas dessus !
Leonard : Je suppose qu’il y a de pires façons de passer un vendredi soir. Aucune ne me vient à l’esprit.
SCENE : Un bar.
Sheldon : Regarde ce tampon. Qui est-ce qui a donné la permission de mutiler les clients à leur entrée ?
Amy : Je suis sûre que cela peut-être retiré.
Sheldon : Un peu de réconfort ce soir. Je ressemble à un membre des Hell’s Angel.
Amy : Voici Zack.
Sheldon : Es-tu sûre que c’est ce que tu veux faire ?
Amy : Ce n’est pas ce que je veux faire, c’est ce dont j’ai besoin.
Sheldon : En avant, Amy Farrah Fowler. Suis ton système endocrinien.
Amy : Merci Sheldon. Tu es un bon ami.
Sheldon : S’il te plaît, ne me rappelle pas cela. Ca ne va jamais partir.
Amy : Excuse-moi ? Zack, je suis Amy Farrah Fowler. On s’est rencontré l’autre soir. J’ai passé ma vie à la recherche de la pure connaissance. Jusqu’à ce que je te rencontre, mes décisions étaient fondées sur la logique et la raison. Et encore, je suis devant toi, 60 kg d’œstrogènes pure, attendant de m’agripper à votre fessier et faire la métaphorique et Shakespearienne de la bête à deux dos.
Zack : Mon fessier quoi ?
Amy : D’un autre coté quand je regarde l’expression, simiesque, vide sur ton visage, j’ai décidé d’adopter la technique Vulcanienne de Kolinar. Au revoir, Zack.
Zack : Bye.
Amy : Hoo. Ca devrait me suffire pour un certain temps.
SCENE : Un gymnase.
Howard : Je suis légalement obligé de t’informer que j’ai pris des cours de karaté quand j’avais 11 ans. Aujourd’hui, je serais un ninja, si ma mère avait pu organier un covoiturage.
Raj : Ah oui ? Et bien, j’ai été dans un cours de Pilate dans un centre de loisir et mes abdos sont comme les carrés d’une barre de chocolat.
Howard : Ah oui ? Peu importe, tu vas tomber !
Raj : Non, tu vas tomber !
Howard : Si quelqu’un doit tomber, se sera toi.
Leonard : Les gars, ça fait 30 minutes et personne ne s’est encore toucher.
SCENE : Dans la rue.
Sheldon : Je suis content que tu aies décidé de rejeter ton côté animal, et retourner dans le monde du pure intellect.
Amy : Je le suis aussi.
Sheldon : Qu’est-ce que tu fais ?
Amy : Une expérience. Non. Rien. Oublie ça.
SCENE : Un gymnase.
Raj : Tu réalises que tu peux pas gagner.
Howard : Je préfère penser que je ne peux pas perdre.
Raj : Tu te trompes. Ce n’est qu’une question de temps avant que tu ne tombes dans le piège à rat de Rat-man.
Howard : Pathétique idiot ! S’il y avait un piège à rat, il piègerait Rat-man !
Raj : Ce n’est pas parce que je ne m’exprime pas bien que ce que je veux dire est faux ! Bouffon péteux !
Howard : Cornichon narcissique !
Raj : Poltron cramoisi ! Oh, Leonard, lève-toi ! Tu rates d’excellents quolibets de super-héros.
Fin de l’épisode.