SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Raj : Vous savez qui est le plus courageux dans l’univers Marvel ? Celui qui doit faire le maillot à Mme Hulk.
Howard : Vous voulez parler de courage, que diriez-vous de Captain America jardinier Mexicain sans-papiers ?
Leonard : Il n’est pas plus courageux que celui qui utilise la salle de bain après la Chose ?
Sheldon : Comme d’habitude, vous avez tout faux. Le plus courageux dans l’univers Marvel, c’est le médecin qui fait son examen de la prostate à Wolverine.
Howard : Qu’en est-il du gars qui se fait faire un examen de la prostate par Wolverine ?
Sheldon : Vous êtes idiot. Wolverine n’a jamais affiché le moindre intérêt pour la prévention du cancer de la prostate. (Le téléphone sonne). Bonjour. Oui, l’ascenseur est en panne, vous aurez à utiliser l’escalier. Bien sûr, vous pouvez. La pizza remonte au 16ème siècle, tandis que le premier ascenseur a été inventé en 1852. Cela signifie que pendant plus de 300 ans, les livreurs de pizzas utilisaient les escaliers. Vous faites partie de cette fière tradition.
Leonard : Je vais chercher Penny pendant que ce mec crache sur notre nourriture.
Raj : Vous pensez que Wolverine à une prostate en Adamantium ?
Howard : C’est une question stupide.
Raj : Nous avions une conversation sur les fesses des super-héros. Il n’y a pas de questions stupides.
(Leonard frappe à la porte de Penny, un homme ouvre).
Homme : Oui ?
Leonard : Oh, euh, Penny est-elle ici ?
Homme : Vous êtes Leonard, non ?
Leonard : Ouais.
Homme : Merde, c’est bon d’enfin te rencontrer fils.
Leonard : D’accord, je pense qu’un peu d’explications pourrait m’aider.
Penny : Oh, hey, Leonard. Je vois que tu as rencontré mon père.
Leonard : Oh, très bien. Explications.
Père : Rentre mon pote. Rentre t’asseoir.
Penny : Oh, zut, papa, Leonard ne peut pas rester. Il est juste passé dire bonjour. Merci pour ta visite, mon chéri. Je te verrais plus tard. Bye.
Leonard : C’était bizarre.
Générique.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Tu es sûr que tu auras assez de comics ? Tu vas t’occuper du télescope pendant 12 heures, et par mon estimation, tu as seulement sélectionné sept heures de lecture. Et même en tenant compte de ta difficulté dans l’analyse des expressions dans les comics américains comme « Bamf » et « Snikt ! ».
Raj : C’est raciste ? Ca parait raciste.
Howard : Ne sois pas trop sensible. Il dit que toi, tu es analphabète, et non tes semblables.
Raj : Oh, d’accord. Je n’ai pas besoin de plus de comics. Howard va passer, nous allons jouer à la bataille navale et au Monopoly Indien.
Sheldon : Je n’aime pas les nouvelles éditions du Monopoly. Je préfère le classique et la version Klingon.
Howard : En fait, le Monopoly Indien est classique, à l’exception de l’argent en roupies, à la place des hôtels se sont des centres d’appels, et quand tu prends une carte chance, tu peux mourir de dysenterie. Pour information, ça c’était raciste.
Leonard : Vous ne devinerez jamais ce qui s’est produit.
Sheldon : Tu es allé dans le couloir, tu es tombé dans un portail inter-dimensionnel qui t’as emmené 5 000 ans dans le futur, où tu as profité de la technologie de pointe pour construire une machine à voyager dans le temps, et maintenant tu es de retour pour nous amener tous avec toi en l’an 7010, où nous sommes transportés pour travailler au Thinkatorium à l’aide de dauphins volants contrôlés par télépathie.
Leonard : Non. Penny m’a embrassé.
Sheldon : Eh bien, qui aurait pu deviner ?
Raj : Mais … quel genre de baiser ?
Leonard : Un gros bisou. Sur la bouche.
Howard : Est-il possible qu’elle allait vers ta joue et tu as bougé et elle a accidentellement atteint les lèvres ? Ca nous arrive tout le temps à ma mère et à moi.
Leonard : Elle m’a présenté à son père, m’a embrassé et puis m’a fermé la porte au nez.
Howard : Peut-être qu’elle a essayé de t’envoyer un message.
Leonard : Tu crois ?
Howard : Ouais. « Cet homme n’est pas mon père, je suis prise en otage ». « Donc, je vais faire quelque chose de fou dans l’espoir que tu appelles la police ».
Leonard : Penny qui m’embrasse n’a rien de fou. Elle m’embrassait tout le temps.
Sheldon : Einstein a défini la folie comme « faire la même chose encore et encore en attendant des résultats différents ». Par cette norme, Penny est Coco de Choco Pops.
Leonard : Je dis simplement que, c’était comme si cela voulait dire quelque chose.
Howard : Ah, cela me remémore, Leonard obsédé par Penny. Je veux dire, ne vous méprenez pas, j’aime beaucoup vos trucs nouveaux, mais de temps en temps c’est agréable d’entendre un classique.
Raj : Oh, oh. « Nos enfants seront beaux et intelligents ». Celle là m’a toujours fait rire.
Leonard : Pourquoi je l’acharne à parler avec vous.
Sheldon : Si ça peut te rassurer, nous t’écoutons rarement.
Penny : Hé, je peux te parler deux secondes ?
Leonard : Oui, bien sûr.
Sheldon : Je commence à penser que nous n’allons jamais voir la pizza.
Penny : Tu te poses sûrement des questions sur ce qui c’est passé.
Leonard : Quoi, euh, le baiser ? Nan, les femmes me font ça tout le temps.
Penny : Ouais, ok. Le truc, c’est que j’ai dit à mon père, que nous étions de nouveau ensemble.
Leonard : Quoi ? Pourquoi ?
Penny : Eh bien, tu es le premier mec qu’il ais jamais vraiment approuvé, tu sais ? Tu es un scientifique qui est allé au collège et tu n’as pas un tatouage au cou ou d’avis de recherche ou … un bébé.
Leonard : Avec quel genre de gars as-tu l’habitude de sortir ?
Penny : Juste des gars. Peu importe, quand je lui ai dit que nous nous étions séparés, il a eu le cœur brisé, et il n’arrêtait pas de me casser les pieds, « comment va Leonard ? Pourquoi tu ne te remets pas avec Leonard ? Je parie que Leonard n’a jamais utilisé une vache comme sac de couchage ». Donc, pour plus l’avoir sur mon dos, je lui ai dit, que nous étions de nouveau ensemble.
Leonard : Vraiment ? Comment … Comment allons-nous gérer cela ?
Penny : Quoi ?
Leonard : Je veux dire, tu as présenté des excuses ? Tu as eu à me séduire ?
Penny : Dans tes rêves. J’ai sifflé, tu es revenu en courant.
Leonard : Ouais, non, je ne crois pas.
Penny : Très bien, pourquoi tu parles de ça ?
Leonard : Je dis simplement que, si on s’est faussement réconciliés, qu’est ce qui c’est faussement passé.
Penny : Oh … D’accord, peu importe. Peux-tu, s’il te plaît, juste jouer le jeu le temps que mon père s’en aille ?
Leonard : Tiens, tu as besoin de moi pour tromper ton père avec une sorte de simulacre de comédie et de baisers ? Parce que je suis bon à ce jeu là.
Père : Penny, t’es là ?
Leonard : Allons, chéri, pas devant mon père.
Père : Détends-toi, je t’ai vu faire des choses bien plus stupides.
Leonard : Tu vois ? Il s’en fiche.
Père : Alors, Leonard, je prends votre femme pour un steak party, vous souhaitez nous rejoindre ?
Penny : Oh, papa, c’est bien, mais Leonard a du travail. N’est-ce pas, Leonard ?
Leonard : Euh, oui, je dois travailler. Mais ça vaut le coup de passer la soirée avec ma chérie et son père, parce que, vous savez, quel genre de copain je suis. Viens ici, toi.
SCENE : L’observatoire.
Howard : C7.
Raj : Manqué.
Howard : Comment cela peut-il être un échec ? C6 était touché, C8 était touché. Une partie de ton vaisseau doit être sur C7.
Raj : Non, s’il y a un trou au milieu.
Howard : Quel genre de vaisseau a un trou au milieu ?
Raj : Un croissant de combat Romulien.
Bernadette : Toc, toc.
Howard : Oh, tu es venue. Entre. Je l’ai invitée.
Bernadette : Alors, où est le télescope ?
Howard : A Hawaii, mais Raj le contrôle à partir d’ici. Il espère voir Eridani Epsilon Dim, qui serait la preuve d’une planète autour d’elle.
Bernadette : Nous avons donc tout simplement à s’asseoir et regarder l’écran, attendre que quelque chose se produise ?
Howard : Je l’ai fait avec toi lorsque nous avons loué « N’oublie jamais ». Oui, Gena Rowlands est merveilleuse. Tu ferais mieux d’ouvrir cette bouteille de vin ou je vais finir l’oreille noyée.
Raj : Excuse-moi, je ne peux pas boire, je m’apprête à faire une découverte scientifique importante.
Howard : Quoi ? Galilée a fait sa meilleure découverte en buvant du vin.
Raj : Comment tu le sais ?
Howard : Eh bien, il était italien. C’est une hypothèse raisonnable.
Raj : Mec, tu peux pas ouvrir la bouche sans cracher un stéréotype culturel ?
Howard : Oh … je suis désolé, Galilée buvais du Sprite Light. Regarde, tu es mon meilleur ami, elle est ma petite amie, vous devriez vous entendre. Tu sais, comme toi et ma mère.
Raj : Ta mère me donne la chair de poule.
Howard : Oui, mais elle a cessé de t’appeler Slumdog Millionnaire.
Raj : J’ai apprécié.
Bernadette : Et voilà.
Howard : Je voudrais proposer un toast. Pour la science et l’amitié.
Bernadette : Stop. Attendez. Non, ce n’est pas grave, allez-y.
Howard : Quoi ?
Bernadette : Oh, j’ai travaillé sur une bactérie résistante à la pénicilline, au laboratoire aujourd’hui, et je voulais simplement me souvenir si je m’étais lavé les mains.
SCENE ; La voiture du père de Penny.
Leonard : Merci pour le steak, Wyatt.
Wyatt : Avec plaisir. C’est bon de dîner avec un copain de Penny qui sait comment utiliser une serviette.
Penny : C’est pas drôle, papa.
Wyatt : Permettez-moi de vous parler de ce génie avec qui elle sortait, ce gars Donnie.
Penny : Oh, s’il te plaît, laisse tomber ?
Wyatt : Donnie allait se faire des millions en transformant les déchets agricoles en biocarburant et en le vendant au gouvernement.
Leonard : Beaucoup de gens le font.
Penny : Oh, tu vois ?
Wyatt : Ouais, mais tout ce que Donnie a fait c’est de mélanger du caca de porc avec un peu d’eau et de faire le plein de la Toyota de sa mère.
Penny : Ouais, c’est génial. C’est une histoire drôle. Roule.
Wyatt : Et Donnie est un génie par rapport à ce garçon qui voulait que le Bière Pong devienne un sport olympique. Quel était son nom, ma chérie ?
Penny : Curtis, et je suis sûre qu’il plaisantait.
Wyatt : Je ne sais pas. Cette pétition avait l’air réelle pour moi.
Penny : Ouais, ok, cela clôturera la partie ex-petit ami de notre soirée.
Wyatt : Eh bien, je suis juste heureux que tu es enfin trouvé un gardien.
Leonard : Merci, Wyatt. Je suis un gardien.
SCENE : La porte d’entrée de chez Penny.
Wyatt : Leonard, tu veux entrer prendre un dernier verre ?
Penny : Oh, non, papa, il aimerait bien, mais Leonard travaille demain matin.
Leonard : Peut-être que je pourrais être un peu en retard.
Penny : Non, non, non, tu ne peux pas. Ta carrière est bien trop importante.
Wyatt : Derrière chaque grand homme se trouve une femme tenace qui ne veut pas lui laisser prendre du plaisir, je me trompe, Leonard ?
Leonard : Non, je le sais.
Wyatt : Eh bien, bonne nuit, fils.
Leonard : Bonne nuit, Wyatt. Oh, bonne nuit, chérie.
Penny : Bonne nuit.
Leonard : Je t’aime.
Penny : Je t’aime aussi.
Sheldon : Oh, mazette. Pas encore.
SCENE : L’observatoire.
Howard : Trois, quatre, cinq… Passez par la case départ, touchez 2.000 roupies … Six, sept. Oups. Impossible d’aller plus loin. Il y a une vache sacrée sur ma route.
Raj : Bernadette, dis à ton petit ami d’arrêter avec les blagues sur les vaches.
Bernadette : Ca ne sert à rien. Une fois qu’il trouve une plaisanterie qu’il aime, il n’arrête pas.
Raj : Ouais. Comme le coup du coiffeur.
Bernadette : Oh, c’est vrai. «Tu t’es fait couper les cheveux ? »
Raj : « Non, ils sont tombés tout seuls. »
Bernadette : Qui est toujours aussi drôle.
Raj : Et quand vous allez dans un restaurant chinois, il reçoit toujours le même message dans son gâteau de la chance.
Bernadette : C’est vrai, « Au secours, je suis prisonnier dans une usine de gâteaux de la chance chinois ».
Howard : D’accord, je pense qu’on a assez parlé de moi.
Raj : Il a raison. On va se moquer de sa mère. « Howard, vient frotter mes pieds ! Mes cors vont me tuer ! »
Bernadette : « Howard, aide-moi à sortir de la baignoire ! Je suis encore bloquée ! »
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Leonard : J’arrive. Hey, ma puce.
Penny : Tais-toi. Tu sais ce que je fais depuis la dernière heure ?
Leonard : Tu rêves d’écrire Mme Leonard Hofstadter sur un livre ?
Penny : J’écoute mon père qui me bassine avec des compliments sur toi.
Leonard : Tu dois admettre que je suis … je suis délicieux.
Penny : Pourquoi tu rends ça si difficile ?
Leonard : Ce n’est pas difficile pour moi. Je m’amuse.
Penny : Leonard.
Leonard : Que veux-tu que je fasse ? C’est toi qui a commencé. Tu veux que j’y aille et lui dise que nous avons rompus ?
Penny : Non.
Leonard : Eh bien, alors, que veux-tu ?
Penny : Je ne sais pas.
Leonard : Tu ne penses pas que tu aurais du y penser avant de débouler ici ?
Penny : Peut-être.
Sheldon : Leonard, Penny, excellent. Je voudrais dire que je suis très heureux que vous soyez de nouveau ensemble, et si je peux trouver un moyen de le faire de manière sincère, je le ferai. En attendant, je voudrais revenir sur certaines propositions de changements à l’Accord de Colocation et spécifiquement à propos des habitudes personnelles et ennuyeuses de Penny.
Penny : Oh, mon Dieu. Quelles habitudes personnelles ?
Sheldon : J’ai une liste. Pour ton information, la surutilisation de la phrase ‘Oh, mon Dieu » est le numéro 12.
Penny : Très bien, Sheldon, tu n’as pas à le faire, parce que Leonard et moi ne sommes pas…
Leonard: Ba-ba-ba-ba. Tu es sûr de vouloir le mêler à tout ça ?
Sheldon : Me mêler à quoi ? Y-a-t-il eu complot ? Je ne veux pas être mêlé à ça.
Penny : Non, tu as raison. Non, il n’y a… Il n’y a pas de complot. Alors de quelles autres habitudes gênantes souhaites-tu discuter ?
Sheldon : Euh, nous ne discutons de rien. Leonard est le signataire de l’Accord de Colocation. En tant que tel, il porte la responsabilité pour toutes vos infractions et devra payer toutes les amendes.
Leonard : Amendes ?
Sheldon : Oui. Si Penny doit passer des nuits ici encore, tu auras besoin de mettre en place un compte séquestre. Signes ici.
SCENE : L’observatoire.
Raj : Bonjour, Hawaii. C’est le Dr Koothrappali à Pasadena. Je voudrais repositionner le télescope, s’il vous plaît. Sur la maison de Scarlett Johansson ! Je plaisante, Hawaii. Mahalo. Whoo !
Howard : Je crois que c’était une erreur d’ouvrir cette deuxième bouteille de vin.
Bernadette : Eh bien, attendons voir. Donc, Raj, penses-tu que cette planète que tu cherches, pourrais avoir une atmosphère qui favorise la vie ?
Raj : Peut-être. Si c’était le cas, je serais célèbre. Je serais en couverture des magazines. Et puis, au lieu de vivre seul dans mon petit appartement, j’aurais une grande maison.
Bernadette : Cela sonne bien.
Raj : Oui. Si vous aimez errer dans une grande maison vide sans personne qui vous aime.
Howard : Nous viendrions te rendre visite.
Raj : Non, vous ne viendrez pas. Vous seriez intimidés par ma richesse et ma célébrité. Mes amis seraient mon singe maître d’hôtel génétiquement modifié. Et les petites gens que j’ai embauchés à mon jeu d’échecs vivant.
Bernadette : Il prend un virage vers le côté obscur, n’est-ce pas ?
Howard : Attends. Il pourrait revenir.
Raj : Oh, quel est le commencement ?
Howard : Non. il est parti.
Raj : Vous savez que cela fait plus d’un an que je n’ai pas embrassé une fille.
Howard : Qu’en est-il des contacts au Comic-Con dont tu m’avais parlé ?
Raj : Oh, grandis. Je mentais. Je mens tout le temps. Personne ne veut m’embrasser.
Bernadette : Oh, pauvre, pauvre chéri. Raj, tu dois savoir que tu es un homme merveilleux. Il y a beaucoup de filles dehors qui ont envie de t’embrasser.
Raj : Où ?
Bernadette : Tu n’as qu’à ouvrir les yeux.
Howard : Non !
Bernadette : Eh bien, c’était marrant.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Wyatt : Oh ! Je crois que j’ai une touche.
Leonard : Oh, soyez prudent. Donnez-lui du mou. Bon maintenant ramenez-le.
Wyatt : Oh, regarde ce bébé. Ca mord bien, hein ?
Leonard : Ouais. Mais qu’en mode facile.
Wyatt : Oh, c’est moi. Allo. Oh, salut, ma chérie. Ouais, je me suis levé tôt et je ne voulais pas te réveiller, alors je suis allé prendre un café et j’ai croisé Leonard sur le chemin du retour. Devine quoi… on est à la pêche. Ouais, ici même sur son canapé.
Leonard : Hey, bébé. Je t’aime !
Wyatt : C’est Leonard. Il dit qu’il t'aime. Quoi ? Je vois. Avec le petit avorton ? Eh bien, c’est très décevant. Bye.
Leonard : Oh, hé. Il y a quelque chose que j’avais l’intention de vous dire.
SCENE : L’appartement de Penny.
Wyatt : Je ne peux pas croire que tu me mentes comme ça.
Leonard : Pour la petite histoire, je ne voulais pas en faire partie.
Wyatt : Je vais m’occuper de toi dans une minute.
Leonard : Rien ne presse.
Wyatt : Que ma propre fille pense que je ne l’aime pas assez pour appuyer son choix, peu importe ce qu’elle fait … Eh bien, cela me blesse profondément.
Penny : Je suis désolée, papa.
Wyatt : Laisse-moi finir.
Penny : Oh.
Wyatt : Je pensais que nous en avions finis avec le mensonge de jeunesse. Tu vas me dire que l’herbe dans ton tiroir à sous-vêtements était un pot pourri ? Et le test à urine dans ta salle de bain consistait à vérifier ton diabète ?
Penny : Non. Tu sais, je suis désolée.
Wyatt : Tu es une adulte, et je respecte ton droit de prendre tes propres décisions, mais tout ce que je demande c »est ton respect pour être honnêtes à leur sujet.
Penny : Tu as raison. A partir de maintenant, je vais te dire la vérité.
Wyatt : Je te remercie. Maintenant, pourquoi ne pas aller t’habiller et nous irons prendre un morceau avant que je file à l’aéroport. Maintenant toi.
Penny : Papa, il n’avait rien à faire…
Wyatt : Continues à marcher.
Penny : Très bien.
Wyatt : S’il te plaît, s’il te plaît, s’il te plaît. Ne renonces pas à elle.
Leonard : Quoi ?
Wyatt : Je ne veux plus revoir de skateurs idiots, de rappeurs blancs et tous ces trous du cul avec leurs casquettes en arrière.
Leonard : Je ne sais pas si c’est possible, monsieur.
Wyatt : Fais en sorte que ça le soit. Triches. Ment. Je m’en fiche. Je veux des petits-enfants avant de mourir, et je veux qu’ils grandissent dans une maison sans roues.
Leonard : Je vais essayer.
Wyatt : Je te remercie. Maintenant, je vais faire quelque chose pour t’aider.
Leonard : Excusez-moi ?
Wyatt : Il suffit de ne pas paniquer. Tu veux ton pardon, menteur, et assures-toi que je n’ai jamais à te revoir.
Leonard : Oh, de la psychologie inversée. Je vois. C’est très astucieux.
Wyatt : Chut. Sors.
Leonard : Je vais vous ajouter comme ami sur Facebook.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Oh, tu es là. Je veux que tu saches, je suis resté debout toute la nuit, mais j’ai enfin terminé la section spécifique à Penny du nouvel Accord de Colocation.
Leonard : Ouais, bon, pas nécessaire. Nous avons rompu à nouveau.
Sheldon : Est-ce que tu penses encore aux autres, Leonard ? Tu y penses ?
SCENE : Le restaurant universitaire.
Leonard : Oh, comment ça s’est passé hier soir ?
Raj : Oh, tu sais. La routine. Regarder à travers un télescope, voir les étoiles. Hourra.
Leonard : Vraiment ? Tu as attendu des mois pour utiliser ce télescope. Qu’est-il arrivé ?
Raj : Pourquoi ? Tu écris un livre ?
Sheldon : Je vais proposer une hypothèse. La nuit dernière, Raj est accidentellement entré en contact avec une civilisation extraterrestre, et a été lobotomisé par le gouvernement des Etats-Unis pour garder le secret.
Raj : Il ne s’est rien passé. Pouvons-nous, s’il vous plaît juste changer de sujet ?
Sheldon : Cela semble répété. Nous ne sommes pas seuls.
Howard : Hey.
Leonard : Hey. Tu as pu jouer avec le grand télescope de Raj la nuit dernière ?
Howard : Whoa ! D’où cela vient-il ?
Raj : Il n’a jamais touché mon télescope.
Howard : Je t’avais dis de la fermer.
Raj : Je l’ai fermé. Maintenant tu te tais.
Howard : Très bien.
Raj : Merci. Tu aurais quand même pu m’appeler ce matin.
Fin de l’épisode.