SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Leonard : Ce que je dis c’est qu’avec tout l’agent qu’ils ont dépensé à essayer de faire un film décent sur Hulk, ils auraient certainement pu créer un vrai Hulk.
Sheldon : C’est juste et amusant. Je pense que je le partagerai avec Amy Farrah Fowler. Elle appréciera ton état d’esprit.
Leonard : Merci.
Sheldon : Ca améliora aussi sa première impression sur toi.
Leonard : Il se passe quoi entre vous deux ?
Sheldon : Eh bien, les faits sont toujours les mêmes. C’est une fille, une amie. Elle n’est pas ma … s’il te plaît, pardonne moi de faire ça … « petite amie ».
Leonard : D’accord, d’accord. Donc tout ce que tu fais c’est de lui envoyer des textos et des e-mails ? Tu ne ressens pas le besoin d’être avec elle, tu sais … être dans la même pièce ?
Sheldon : Leonard, tu es mon meilleur ami. Je te connais depuis 7 ans, et je peux à peine supporter d’être assis sur le canapé avec toi. Imagine ma réaction face à un contact physique rapproché avec Amy Farrah Fowler.
Leonard : J’ai saisi.
Sheldon : Je sens que tu me juges.
Leonard : Non, non. Peut être un peu.
Sheldon : Puis-je suggérer que ta critique est basée sur la jalousie ?
Leonard : Jalousie ? De quoi devrais-je être jaloux ?
Sheldon : J’ai une relation satisfaisante qui marche avec une femelle. Toi, t’en a pas.
Leonard : Oh, d’accord, ça.
Sheldon : La jalousie est un horrible monstre aux yeux vert, ne ressemblant pas à Hulk, qui au passage, avait aussi une petite amie. Dans cette approximation Jennifer Connelly, que tu devrais connaître comme la petite amie de Russell Crowe dans Un Homme d’Exception, su tu avais un peu de connaissance.
Leonard : Je ne suis pas jaloux.
Sheldon : Leonard pas jaloux.
Générique.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Tu sais, je viens juste d’y penser, s’il y a un nombre infini d’univers parallèles, dans l’un d(entre eux, il y a probablement un Sheldon qui ne croit pas que les univers parallèles existent.
Leonard : Sûrement. Où veux-tu en venir ?
Sheldon : Nulle part. C’est juste une des choses qui fait rire l’un des miens. Qu’est-ce qu’y te fait rire, Leonard ?
Leonard : Hum, dernièrement ? Pas grand-chose.
Sheldon : C’est à cause du conflit qui surgit de ton besoin désespéré de créer des liens avec une femme, mais que l’ensemble des femmes ont pris la décision de t’interdire cette occasion ?
Leonard : Hum. Ferme-là.
Sheldon : Tu sais, quand mon grand-père est mort, et que mamie était seule, ma mère a pris des dispositions pour qu’elle aille dans un centre trois fois par semaine où elle pouvait se socialiser avec d’autres personnes seules. C’est vraiment gentil. Elles parlent de l’info, jouent au bridge et ont un repas chaud.
Leonard : Cela semble charmant.
Sheldon : Ca l’est si t’aimes le bridge. Tu aimes le bridge, Leonard ?
Leonard : Sheldon, je suis seulement célibataire. Je n’ai pas besoin d’aller dans une maison de retraite.
Sheldon : Mamie résistait au début, mais maintenant elle adore ça.
Leonard : Excellent. Si je ne rencontre personne bientôt, tu pourras me mettre à l’hospice.
Sheldon : Ce n’est pas un hospice. C’est une maison de retraite. Nous en mettrons jamais Mamie dans un hospice !
SCENE : Le magasin de comics.
Leonard : Salut, les gars !
Howard : Salut.
Sheldon : Très bien, je vais céder à la pression sociale, salut.
Howard : Excusez-moi. C’est ma petite amie, Bernadette. Je lui ai assigné sa propre sonnerie. « Bernadette », du groupe « The Four Tops ». Salut, Bernadette.
Raj : Quand je l’appelle son portable joue « La fille aux yeux marrons ». Mais maintenant que j’y pense, c’est pas vraiment bon.
Leonard : Vous réalisez qu’il jubile d’avoir une petite amie contrairement à nous ?
Raj : Tu veux dire, contrairement à toi ?
Leonard : Toi, t’as une copine ? Comment pourrais-tu ? T’arrives même pas à leur parler.
Raj : En deux mots, fille sourde. Ca n’a pas d’importance si je ne peux pas parler, parce qu’elle ne peut pas m’entendre.
Leonard : Quoi ?
Raj : C’est ce qu’elle dit.
Leonard : Super. T’as une copine, Howard a une copine, Sheldon a une fille …
Sheldon : Non, non, non, non !
Leonard : …qui est une amie.
Sheldon : Merci.
Leonard : Et à propos de toi, Stuart ? Tu as une petite amie en ce moment ?
Stuart : Oh, ouais, ouais. Je l’ai rencontré au Comic-Con, le seul endroit au monde où dire, « je possède une librairie de BD » attire la proie.
Leonard : Oh. Eh bien, tant mieux pour toi !
Stuart : Pas vraiment. Elle est horrible. Quand elle veut faire l’amour, elle met son costume XXL de Wonder Woman et crie « Qui veut faire un tour sur mon avion invisible ».
Leonard : Pourquoi tu ne romps pas avec elle ?
Stuart : Non, non. je peux pas.
Leonard : Pourquoi ça ?
Stuart : Parce que sinon je serrais tout seul, comme toi.
Raj : Mec, pourquoi n’utilises tu pas le pacte « petite amie » avec Wolowitz ?
Leonard : Parce que je n’ai pas besoin de sa petite amie pour me rencarder avec une de ses amies. Je suis parfaitement capable de trouver une fille par moi-même.
Raj : Oh, Leonard, tu me fais penser à l’histoire drôle à propos d’un homme qui rentre dans un de ces établissements correctionnels pour femme avec une pile de paperasserie qui permettra de les faire libérer.
Leonard : Tu veux dire que je pourrais me faire violer dans une prison féminine sans avoir de regrets ?
Raj : Tu va me laisser raconter cette histoire ou non ?
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Leonard ? Tu dors ?
Leonard : Non.
Sheldon : T’es malade ?
Leonard : Non.
Sheldon : Tu fais une dépression parce que tu es seul, et que personne ne t’aime ?
Leonard : Je sais pas. Peut être.
Sheldon : Je veux que tu saches que je suis vraiment inquiet à propos de ton bien-être.
Leonard : Merci.
Sheldon : Je t’en pris. Mais ce n’est pas une raison pour mettre tes pieds à ma place.
Amy (depuis l’ordinateur) : Puis-je faire une observation ?
Leonard : C’est quoi ce bordel ? Depuis quand elle est là ?
Sheldon : Depuis que nous sommes revenu de la librairie.
Leonard : C’était il y a 2 heures.
Sheldon : Comme tu l’as suggérer, nous traînons ensemble. Franchement, je ne vois pas pourquoi tu t’énerves. Continue, Amy.
Amy : D’un point de vue neurobiogical, Leonard, tu es sûrement seul parce que ton état psychologique, basé sur tes phéromones cause une puanteur de désespoir.
Sheldon : Tu savais ça, Leonard ?
Leonard : Non.
Sheldon : Moi, oui.
Amy : Leonard, j’ai entendu dire que certaines personnes trouvent des partenaires dans des endroits sociales comme un bar ou un restaurant. As-tu essayé l’un d’eux ?
Leonard : Non, je n’essaierais pas d’attraper une femme dans un bar.
Sheldon : Sage décision. Tu vois, Amy, le succès dans un bar est basé sur les attributs masculins classiques comme la taille, la force, le charisme, la capacité de boire et de jouer aux fléchettes séparément ou en même temps. Leonard n’a aucun de ces attributs, n’est-ce pas, Leonard ?
Leonard : C’est ça.
Amy : Ce n’est pas vrai pour tous les bars. Les bars de jus de fruit, par exemple.
Sheldon : Oh, bien vu, Amy ! Eh bien, en suivant ta théorie, Leonard pourrait fréquenter les bars à sushi, bars à salade, bars à huîtres, les bars « Genius » de chez Apple … Qu’est-ce que tu fais ?
Leonard : Continue. Je t’écoute.
Amy : C’est grossier.
Sheldon : Il le fait tout le temps. Il est une exubérance de maladresse sociale.
Amy : Exubérance ! Quel mot harmonieux.
Sheldon : Faisons-en notre mot de la journée.
Amy : J’acquiesce. Et nous utiliseront « harmonieux » demain.
Sheldon : Bon, je dois me vider la vessie. C’était sympa de partager ce moment avec toi.
Amy : Attends. J’ai une demande.
Sheldon : Oui ?
Amy : J’aimerais que tu rencontres ma mère.
Sheldon : Je vois. Puis-je te rappeler pour ça ?
Amy : Certainement. Bonne nuit.
Sheldon : Bonne nuit. (Il part en courant pour rattraper Leonard).
Leonard : Ouais, quoi ?
Sheldon : Amy Farrah Fowler m’a demandé de rencontrer sa mère.
Leonard : Ouais. Et alors ?
Sheldon : Qu’est-ce que ça veut dire ?
Leonard : Eh bien, tu sais par rapport à ce que tu dis tout le temps, qu’Amy est une fille, qu’elle est ton amie, et pas ta petite amie ? Tu peux plus dire ça dorénavant.
Sheldon : Attends. Quoi ?
Leonard : Réfléchis, elle veut évidemment passer à la prochaine étape de votre relation.
Sheldon : Je ne veux pas de la prochaine étape. J’aime l’étape actuelle. Arrange ça pour moi !
Leonard : Moi ! Comment suis-je censé résoudre ce problème ?
Sheldon : C’est simple ! Tu veux une petite amie, Amy veut être la petite amie de quelqu’un. Enlève-la de mes pattes. Je te donne ma bénédiction.
Leonard : C’est insensé.
Sheldon : T’as raison. Ca ne marchera jamais. Amy te trouves ennuyeux.
Leonard : Ok, bonne chance.
Sheldon : Attends ! Que suis-je censé faire ?
Leonard : Eh bien, t’as envisagé de lui dire ce que tu ressens ?
Sheldon : Leonard, je suis un physicien, pas un hippie.
Leonard : Très bien. Laisse-moi voir. Si je peux expliquer votre situation en utilisant la physique. Que ferais-tu si tu étais fixé à un autre objet par un plan incliné enroulé en hélice autour d’un axe ?
Sheldon : Je suis foutu.
Leonard : Nous y voilà.
Sheldon : Amy a raison, il est ennuyeux.
SCENE : La maison d’Howard.
Mme Wolowitz : Howard, va ouvrir la porte !
Howard : Pourquoi t’y vas pas ?
Mme Wolowitz : Tu sais que je me fais un nettoyage du colon pour ma coloscopie ! C’est comme un volcan à l’envers ici.
Howard : Oh, salut ! J’espère que t’as pas entendu.
Leonard : Au sujet du volcan ? Non.
Howard : C’est quoi ce T-shirt ? Tu travailles chez Apple maintenant ?
Leonard : Non, c’est juste un autocollant que j’ai mis dessus.
Howard : Je connais tous tes t-shirts, ce n’est pas l’un d’eux … Tu fessais semblant de travailler au bar Genius pour attirer les femmes, n’est-ce pas ?
Leonard : Ouais. Il s’avère que, ils gardent les iPods, mais pas les t-shirts.
Howard : Alors, comment ça s’est passé ?
Leonard : Ca allait bien. Je montrais à cette fille super chaude, comment faire pour démarrer en mode sans échec, le responsable est devenu suspicieux, et bien pour faire court, ils ont vraiment une prison dans le centre commercial.
Howard : Et pour information, n’essaye pas d’y retourner avec une fausse moustache. Je veux dire, c’est pas vraiment des génies, mais ils s’en aperçoivent tout de suite.
Leonard : Je veux utiliser le pacte de « petite amie », Howard.
Howard : T’es autant désespérer ?
Leonard : Non, c’est juste … Je veux la même chose que toi. Tu sais, je veux une femme dans ma vie.
Mme Wolowitz : Seigneur ! Comment peut-il y en avoir autant dans mon derrière ?
Leonard : Pour être clair, je voulais dire comme Bernadette, pas ta mère.
Howard : Ouais, je sais ce que tu veux dire.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Leonard : Eh bien, je suis prêt pour rencontrer les amis de Bernadette. De quoi j’ai l’air ?
Sheldon : Come si l’une des plantes de l’Invasion des Profanateurs t’avais parfaitement cloné mais avec une quantité absurde de gel pour les cheveux.
Leonard : Tu travailles sur quoi ?
Sheldon : Je suis en train d’effacer mes traces d’Internet. Comme ça, Amy Farrah Fowler ne pourras pas me retrouver et me forcer à rencontrer sa mère.
Leonard : Tu quittes le réseau.
Sheldon : Exactement.
Leonard : L’ancienne théorie d’Unabomber. Glorieux.
Sheldon : Merci. J’ai aussi envoyé à Amy une résiliation de relation et changé mon numéro de portable ainsi que mon adresse e-mail.
Leonard : Et si elle venait ici ?
Sheldon : Elle va se perdre. Nous ne vivons plus au 2311 Los Robles. Nous vivons maintenant au 311 Los Robles.
Leonard : Tu as changé l’adresse sur le bâtiment ? Et pour le courrier ?
Sheldon : Oh, pas de soucis, j’ai expliqué ma situation à notre facteur. Il était sympathique. Ses mots exacts ont été, « Je vous couvre, Jack, de cette folle ».
Leonard : Qui est-ce ?
Amy : Amy Farrah Fowler.
Sheldon : Incroyable ! Elle m’a trouvé !
Leonard : Elle est déjà venue ici avant.
Sheldon : Le seul défaut de mon plan parfait. Maintenant, couvre-moi, Jack.
Leonard : Qu’est-ce que tu veux faire ?
Sheldon : Dis-lui que je ne suis pas là.
Leonard : Okay, tu es où ?
Sheldon : Je sais pas. Tu devrais élaborer un scénario plausible qui explique mon absence, gardant à l’esprit que le secret d’un bon mensonge réside dans ses détails.
Leonard : Salut, Amy. Sheldon n’est pas là.
Amy : Très bien.
Sheldon : T’aurais pu donner plus de détails.
SCENE : Un restaurant.
Leonard : Merci encore de faire ça, Bernadette.
Bernadette : Oh, je prends les pactes très au sérieux. Une fois à mon laboratoire, le récipient d’un super-virus génétiquement modifié avait disparu. Ce jour-là nous avons fait le pacte de ne jamais révéler que nous avions modifié le virus Ebola avec le rhume.
Howard : Pourquoi souhaitiez-vous croisée Ebola avec le rhume ?
Bernadette : Nous l’avons jamais fait. Ce serait vraiment, vraiment terrible.
Fille : Salut. Désolée, je suis en retard, j’étais à la gym. Un cours de rotation, une bonne vraie sueur.
Bernadette : Joy, voici Leonard. Leonard, voici Joy.
Joy : Tu ne ressemble pas à un génie. Vas-y, dis quelque chose d’intelligent. Ah ah ! Temps écoulé. Je plaisante. La première chose que tu dois savoir sur moi, je suis drôle.
Leonard : Ouais. Alors, Bernadette m’a dit qu’elle t’a connu en cours d’autodéfense ?
Joy : Ouais. Krav Maga israélien. Beaucoup de plaisir. Fondamentalement, une centaine façons différentes d’arracher les testicules d’un homme.
Leonard : Wow. Je pensais pas qu’il y en avait autant.
Joy : Façons numéro 42 !
Bernadette : N’est-elle pas formidable ?
SCENE : Le palier.
Sheldon : Proxima du Centaure est l’étoile la plus proche. Les corps célestes qui suivent sont Alpha Centaure A, Toli, Etoile de Barnard, Wolf 359 … Lalande 21185, Sirius A, Sirius B, BL-Ceti, UV-Ceti, Ross 154 … Ross 248 … Epsilon Eridani, Lac-9352, Ross 128, Procyon A … Oh, c’est faux! EZ Aquarii A, EZ Aquarii B, EZ Aquarii C, Procyon A. ce sont les étoiles qui sont les plus proches pour moi. Tra-la-la et fiddle-dee-dee. Oh, mince. Ils sont vraiment fous.
SCENE : Le restaurant.
Joy : Ce homard est bon lors de la descente et de la remontée.
Leonard : Il doit l’être, c’est 30 $ le kilo.
Joy : Hé, c’est un rencard, non ?
Leonard : Ouais, ça l’est.
Joy : 73 !
Leonard : Whoa !
Joy : Excusez-moi, je dois aller au petit coin des filles … et lâcher un méchant obus.
Bernadette : Je viens avec toi.
Joy : Avertissement, j’ai mangé de l’asperge. Mon urine va sentir dans toute la pièce.
Howard : Je crois qu’elle t’aime bien.
SCENE : L’entrée de l’immeuble.
Sheldon : EZ Aquarii B … EZ Aquarii C… Excusez-moi, madame.
Amy : Sheldon ?
Sheldon : Mince !
Amy : Je crois qu’un malentendu a pu avoir lieu quand je t’ais demandé de rencontrer ma mère.
Sheldon : Pas de malentendu. J’ai appris ce que cette demande signifie en fait, et je ne veux pas être joint à un autre objet par un plan incliné enroulé en hélice autour d’un axe.
Amy : Dans lequel tu es foutu ? Tout ce que je veux c’est te présenter en tant que mon petit copain à ma mère, ainsi elle sera satisfaite que je sois dans une relation.
Sheldon : Donc, nous allions perpétrer une ruse ?
Amy : Précisément.
Sheldon : Et tu n’es pas tombé désespérément amoureuse de moi ?
Amy : Ne soit pas absurde. Je trouve que la notion de l’amour romantique est un concept inutile, qui n’ajoute aucune valeur aux relations humaines.
Sheldon : Amy Farrah Fowler, c’est la phrase la plus pragmatique que quelqu’un ne m’a jamais dite.
Amy : J’espère que cette clarification nous permet de revenir aux statuts de garçon-ami-fille-amie.
Sheldon : Bien sûr. Souhaites-tu te joindre à moi et manger chinois ?
Amy : Sheldon, s’il te plaît, tu m’étouffes.
Sheldon : Mes excuses. Bonne nuit, Amy.
Amy : Bonne nuit, Sheldon.
SCENE : Le restaurant.
Howard : Allez. Donne –lui une chance. Peut-être qu’elle sera plus mature avec toi.
Leonard : Ou peut-être qu’elle va enfin réussir à m’arracher les testicules. Il y a encore 93 façons qu’elle n’a pas encore essayé. Ecoute, Howard, j’apprécie l’effort mais c’est le pire jour de ma vie.
Howard : Sérieusement ? Une fois j’ai été volé par un transsexuel, que j’ai rencontré sur J-Date, et ce n’est même pas dans mon Top 10.
Leonard : Je suppose que la différence c’est, j’ai de la dignité.
Howard : Non, pas d’après ce que j’ai vu.
Leonard : C’est relativement nouveau. Je sais juste que je ne vais pas passer du temps avec quelqu’un que je n’aime pas simplement pour avoir une petite amie. Je suis bien tout seul.
Joy : Bonne nouvelle, j’ai fait beaucoup de place pour le dessert.
Leonard : Ecoute, euh, Joy, c’était agréable de te rencontrer, mais …
Joy : Oui, toi aussi. Hé, tu as prévu quelque chose pour le week-end prochain ? J’ai besoin d’un cavalier au mariage de mon cousin.
Leonard : Et tu veux que ce soit moi ?
Joy : Ouais. Et c’est un bar ouvert, donc je me donnerais sûrement.
Leonard : J’attends ça avec impatience.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Mère d’Amy : C’est agréable de vous rencontrer, aussi, Sheldon. Honnêtement, je ne croyais pas Amy quand elle m’a dit qu’elle avait un petit ami.
Sheldon : Je vous assure que je suis tout à fait réel, et que j’ai des relations régulières avec votre fille.
Mère d’Amy : Quoi ?
Sheldon : Oh, oui. Nous sommes comme des animaux sauvages en chaleur … C’est un miracle qu’aucun de nous deux n’est été blessé.
Mère d’Amy : Amy … Qu’est-ce qu’il raconte ?
Amy : Vous vouliez que j’ai un petit ami, mère. Eh bien, voilà. Je dois me déconnecter maintenant. Mon envie de Sheldon me démange les reins.
Sheldon : Oh, oui, il est temps pour moi de faire l’amour au vagin de votre fille.
Amy : Merci, Sheldon, ça c’est très bien passé.
Sheldon : J’acquiesce. Amy, je me demande, si nous devons effectivement nous engager dans le coït au moins une fois dans notre relation. Bazinga ! C’est l’heure de dormir. Part maintenant s’il te plaît.
Fin de l’épisode.