Leonard, Sheldon, Howard et Rajesh sont sur le toit de l’immeuble pour une expérience
Leonard : Ok, le laser est branché.
Sheldon : J’aurais dû prendre un parapluie.
Leonard : Pourquoi, ça ne va pas pleuvoir ?
Sheldon : Non, mais avec ma peau si claire, je risque un coup de lune.
Howard : C’est une blague ?
Sheldon : Une de mes meilleures blagues, non ?
(Rire sarcastique d’Howard)
Leonard : Howard, vérifie la monture équatoriale. On vise la Mer de la Tranquillité.
Howard : Pas de problème. Raj, non. On a dépensé des milliards pour créer internet et le remplir de femme nues. Pour qu’on ait plus à épier par les fenêtres.
(Rajesh regarde à travers le télescope)
Rajesh : Non, je regarde The Good Wife sur la télé du voisin. C’est mon nouveau Grey’s Anatomy.
Sheldon : Leonard c’est quoi ? C’est quoi ?
Leonard : Relax, c’est qu’une chaussette sale.
Sheldon : Comment tu peux mètre « chaussette sale » et « relax » dans la même phrase ?
Leonard : Sheldon le monde est plein de vielles chaussettes abandonnées.
Sheldon : Pas le mien.
Leonard : Penny aurait adoré voir cette expérience.
Sheldon : J’ignorais qu’elle aimait les réflecteurs lunaires. Remarque, celui qu’Armstrong a laissé sur la lune ressemble à un objet brillant.
Rajesh : Pourquoi tu ne lui a pas demandé de monter ?
Leonard : Je ne sais pas c’est encore un peu bizarre, depuis…
Howard : Qu’elle t’a largué ?
Leonard : Elle ne m’a pas largué. Nous avons pris des routes différentes.
Sheldon : Comment peut-on définir une relation géographiquement ?
Howard : Facile, Leonard vivait dans le village « Pitié, ne me quitte pas », alors que Penny a déménagé sur l’île de « Bye-bye ».
Leonard : Allez-vous faire voie. Je vais la chercher.
(Leonard part chercher Penny)
Howard : Sans vouloir de déranger, j’aimerais le pointer vers la lune.
Rajesh : Attends, Alicia pleure. Ça va très mal.
Générique
Leonard frappe à la porte de Penny
Penny : Oh salut ! Ça va ?
Leonard : On fait réfléchir un rayon laser sur la lune.
Penny : Pardon ?
Leonard : C’est plutôt cool, on a un réflecteur parabolique de deux mètre. Tu veux le vois ?
(Un homme arrive près de Penny)
Zack: N’importe quoi. Un laser, ça ne peut pas réfléchir sur la lune, il n’y a pas de gravitée.
Penny : Heu Leonard je te présente Zack. Zack, Leonard.
Leonard : Désoler je ne savais pas que tu étais occupée. Peut-être une prochaine fois.
Penny : Oui, peut-être.
Zack : Je veux voir ce truc du laser.
Penny : Et la fête ?
Zack : C’est une fête surprise, on y va quand on veut.
Leonard : Ok, montez avec moi.
(Ils montent les escaliers)
Leonard : Donc, comment vous vous êtes rencontré ?
Zack : Ma boîte fait les menus du Cheesecake Factory.
Leonard : Ta boîte ?
Zack : Non, celle de mon père, mais je suis vice-président, avec ma sœur.
Leonard : Donc des menus, hein ?
Zack : Ça a l’aire facile, mais ça demande beaucoup de connaissances.
Sur le toit, Howard enlève la chaussette sale.
Howard : Content ? J’enlève la chaussette sale.
Sheldon : Merci. Raj, guette les autres.
Penny : Salut les mecs, je vous présente Zack.
Sheldon : Salut.
Zack : C’est le laser ? C’est de la bombe.
Sheldon : Oui. En 1917, lorsqu’Albert Einstein a établi les bases théoriques du laser dans son article Zur Quantentheorie der Strahlung, il espérait sincèrement que le résultat soit de la bombe.
Zack : Mission accomplie.
Leonard : Voilà ce qu’on fait ici : en 1969 , les astronautes d’Apollo 11 ont placé des réflecteurs lunaires à la surface de la lune. On envoie un rayon et la lumière sera réfléchie, puis arrivera sur ce Photomultiplicateur.
Penny : C’est trop cool.
Zack : Une question. Ça ne risque pas d’exploser ?
Leonard : Le laser ?
Zack : La lune.
Sheldon : Tu vois, ça c’est un homme pour Penny.
Leonard : C’est une bonne question.
Sheldon : Non, ça ne l’est pas.
Penny : Sheldon ! Sois gentil.
Sheldon : Comment ça peut être une bonne question. Comment croire qu’on pourrait exploser la lune ? Ça c’est une bonne question.
Leonard : Ne t’inquiète pas pour la lune, le laser est réglé pour assommer.
Zack : Malin.
Leonard : On pourra voir le laser partir, mais à son retour, il sera invisible à l’œil nu.
Zack : Nu…(rire)
Leonard : C’est marrant. Cet appareil va mesurer la quantité de photons qu’on verra ici. (Il pointe son doigt sur l’ordinateur)Raj donne-leur des lunettes.
Zack : Cool, ce sera en 3D.
Howard : Prêt à envoyer le rayon sur la lune.
Sheldon : Allons-y.
(Ils mettent en route le laser)
Howard : vVoilà le pic !
Leonard : 2.5 secondes pour revenir. On a touché la lune !
Zack : C’est tout ? Un trait sur l’écran ?
Leonard : Oui, mais pense à ce que ça signifie. C’est la seule façon de prouver qu’il y a, sur la lune, des objets créés par l’homme, et placés par une espèce qui avait inventé l’avion seulement 60 ans plus tôt.
Zack : Quelle espèce ?
Sheldon : J’avais tort. Penny peut trouver mieux.
Penny : Ok les mecs, merci, c’était sympa.
Zack : Oui, merci. On les invite à la fête ?
Penny : Non, avance.
(Penny et Zack descendent du toit)
Sheldon : Il doit être doué pour le coït.
Appartement de Sheldon et Leonard
Rajesh : Je te le dis, si ça t’embête que Penny voie d’autres garçons, vois une autre fille et prend-toi une branlée.
Howard : Branlette ?
Rajesh : Quoi ?
Howard : Il se prendrait une branlette, non une branlée.
Rajesh : C’est dégoûtant !
Howard : C’est pas… Oublie. Il a raison. Je peux te montrer mon nouveau site de rencontres
Leonard : Non, merci.
Howard : Tu es sûr, il peut trouver des résultats pour n’importe qui.
Leonard : Même pour toi ?
Howard : Bien sûr. J’ai eu 8 rencards, le mois dernier. 12, si tu comptes celles qui sont parties en me voyant.
Sheldon : Je ne peux pas descendre l’azote.
Leonard :Pourquoi ?
Sheldon : La bombonne est trop lourde et je ne veux pas la descendre.
Leonard : Je vais t’aider.
Sheldon : Merci. Plie les genoux et non le dos.
(Sheldon referme la porte derrière Leonard, puis part en direction de sa chambre)
Sheldon : Bonne nuit.
Rajesh : Tu sais ce qui serait drôle ? Inscrire Sheldon sur le site de rencontres. Réfléchis ! Ça sera une expérience. Comme le monstre de Frankenstein qui s’est trouvé une femme.
Howard : Il n’a pas trouvé de femme. On lui a fabriqué une femme avec des bouts de cadavre.
Rajesh : Ok, ça sera le plan B.
Appartement de Sheldon et Leonard, durant la nuit, on frappe à la porte
Leonard : J’arrive !
Penny : Je te déteste, enfoiré !
Leonard : Tu es bourrée ?
Penny : Zack était un type très gentil. T’as tout gâché !
Leonard : Comment ça, « j’ai tout gâché » ?
Penny : Avant, je n’aurais jamais vs qu’il était aussi con.
Leonard : Il n’était pas si bête que ça.
Penny : Si il l’était. Il a cru que vous vouliez faire exploser la lune.
Leonard : C’est vrai, il est bête.
Penny : Il a passé la soirée à se vanter d’avoir inventé le mot « amuse-gueule ».
Leonard : Et pourquoi c’est de ma faute ?
Penny : A cause de toi, j’arrive plus à tolérer les imbéciles. Viens avec moi.
Leonard : Où va-t-on ?
Penny : On va faire l’amour !
(Ils se dirigent vers la chambre)
Leonard : Pourquoi… ? Enfin… d’accord.
(Sheldon sort de sa chambre)
Sheldon : Qu’es qui se passe ?
Penny : Mets ton casque anti-bruit, parce qu’il va y en avoir !
(Penny ferme la porte de chambre de Leonard)
Sheldon : Non, pas encore !
Le lendemain matin, Sheldon boit un jus d’orange, puis fait une grimace
Sheldon : Qui peut considérer ça comme un jus sans pulpe ?
(Penny essaye de sortir discrètement dans le dos de Sheldon)
Sheldon : Bonjour, Penny.
Penny : Tu as des yeux derrière la tête ?
Sheldon : Un enfant qui se fait tabasser à l’école se voit obligé de développer son ouïe. D’ailleurs, il peut se faire tabasser parce qu’il parle de lui à la troisième personne. Je fais des Muffins. Tu veux un muffin ?
Penny : Merci, mais j’ai pas faim.
Sheldon : Mon casque anti-bruit n’a pas été efficace, cette nuit.
Penny : Oui, désolé pour ça.
Sheldon : Moi qui suis Texan, je n’avais jamais entendu « yiha » dance contexte.
Penny : Oh, mon dieu.
(Penny sort de l’appartement)
Sheldon : « Oh, mon dieu », ça je l’ai entendu bien souvent.
(Sheldon sort ses toasts)
Sheldon : Qui peut considérer ça comme légèrement grillé ? C’est la pire journée de ma vie. Bonjour Leonard.
(Leonard rentre dans la cuisine)
Leonard : Combien de fois je t’ai demandé d’arrêter ?
Sheldon : En comptant celle-ci, 317 fois.
Leonard : Où est Penny ?
Sheldon : Elle est rentrée chez elle. Pour se doucher et vomir, je pense. Pas forcément dans cet ordre.
Leonard : Pourquoi elle n’a pas dit au revoir ?
Sheldon : Tu attends de moi une explication sur le comportement humain ?
Leonard : Je sais, toi tu aurais pu m’offrir un avis extérieur.
(Sheldon regarde son beurre)
Sheldon : Il faudrait être beurré pour aimer ça.
Un peu plus tard Leonard part frapper à la porte de Penny, mais elle s’ouvre avant.
Leonard : Salut
Penny : Salut, Je dois filer au boulot.
Leonard : Ok, je t’accompagne. On s’est bien amusés hier ?
Penny : Oui, sûrement, je viens de vomir dans mon placard.
Leonard : Pas de bol. On se fait un ciné, ce soir ?
Penny : Heu, ce soir ça ne m’arrange pas.
Leonard : Ou plus tard. Je suis libre… tout le temps.
Penny : Leonard, cette nuit, c’était une erreur.
Leonard : Mais une heureuse erreur, comme la découverte de la pénicilline ?
Penny : Je suis désolée, j’étais bourrée, je me sentais seule, j’en voulais à Zack. On peut tout oublier ?
Leonard : Non, c’est bien gravé dans ma mémoire. Surtout le rodéo.
Penny : C’est pas vrai !
Leonard : Alors, c’est tout ? Tu tires un coup et tu te tires ?
Penny : J’ai dit que j’étais désolée. Laisse-moi partir
Leonard : Comment je suis supposé te laissé partir, tu m’as utilisé pour du sexe.
(Leonard laisse partir Penny, mais lorsqu’i se retourne il voit sa voisine sortir de son appartement, elle a entendu toute la discussion)
Leonard : Bonjour, Mme Gunderson.
Mme Gunderson : Bonjour, Leonard. Ou devrais-je dire… yiha ?
(Elle lui fait un clin d’œil et Leonard repart à son appartement gêné)
Plus tard à l’appartement, Leonard est allongé sur le canapé, Rajesh est sur l’ordinateur et Howard dans la cuisine.
Rajesh : Je n’y crois pas !
Howard : Quoi ?
Rajesh : J’ai une preuve que les extra-terrestres sont parmi nous.
Howard : Pardons ?
Rajesh : Le site a trouvé une femme pour Sheldon.
Howard : Tu plaisantes ! Une vraie femme ?
Rajesh : Oui, regarde. Avec des seins et tout.
Howard : Crois-moi, les femmes ne sont pas les seules à avoir des seins.
Rajesh : Depuis quand ?
Howard : Je te montrerai une photo de mon oncle en maillot de bain. Leonard, viens voir ! On a trouvé une femme pour Sheldon.
Leonard : Super. Elle pourra coucher avec lui et prendre la tangente sans même lui dire au revoir.
Rajesh : De quoi il parle ?
Howard : Non, demande-lui.
Rajesh : Leonard, de quoi tu parles ?
Leonard : Je ne veux pas en parler.
Rajesh : Nulle, ton idée.
Howard : Bref. Maintenant le Docteur Sheldon Cooper doit envoyer un e-mail à sa femme idéale. « Mes salutation, chère forme de vie… »
Couloir d’un immeuble.
Leonard : Si elle peut le faire, je peux le faire…
(Il frappe à une porte, mais reviens sur ses pats. Lorsque la porte s’ouvre et Leslie en sort)
Leslie : Oui ?
Leonard : Salut Leslie.
Leslie : Qu’est-ce que tu fais là ?
Leonard : Oui, je sais, ça fait un bail, hein ?
Leslie : Oui, 18 mois.
Leonard : Oui,…oui. Comment tu vas ?
Leslie : Bien et toi ?
Leonard : Pas trop mal. Tu te souviens quand on couchait ensemble ? Tu disais que c’était rien de plus ?
Leslie : Oui.
Leonard : On recommence ?
Leslie : Qu’est-ce qui s’est passé, la blondinette t’a jeté ?
Leonard : Non, elle ne m’a pas jeté, on était juste sur des routes différentes.
Leslie : Je vois.
Leonard : Bref, apparemment, on peut coucher avec d’anciennes amies, comme ça, juste pour le plaisir. Qu’en dis-tu ?
Leslie : Je vais y réfléchir.
(Elle claque sa porte)
Leonard : Elle ne reviendra pas.
A l’appartement, Rajesh et Howard sont toujours sur l’ordinateur.
Rajesh : Oh, oh. Elle veut nous rencontrer.
Howard : Pas nous, lui.
Rajesh : Mais lui, il ne la connaît même pas.
Howard : Lui, il va bientôt la rencontrer.
Rajesh : Vraiment, nous, on va lui dire à lui ?
(Sheldon arrive dans le salon)
Sheldon : Qu’es que vous allez dire, à quoi ?
Howard : Seldon…. Hey.
Sheldon : Votre étonnement me trouble. J’habite ici.
Howard : Oui… bon écoute. Qu’est-ce que tu fais, demain après-midi ?
Sheldon : Sois plus précis.
Howard : A 16h30.
Sheldon : Ce n’est pas l’après-midi. C’est l’avant-soir.
Howard : Quoi ?
Sheldon : C’est un terme que j’ai inventé. Il définit mieux la période ambiguë entre l’après-midi et le soir. L’avant-soir. On va surement tous l’adopter : on avait bien besoin d’un tel mot.
Rajesh : Oui, ok. Qu’est-ce que tu fais demain avant-soir ?
Sheldon : Et bien demain on sera samedi. Samedi soir, je fais ma lessive. Donc, je passerai mon avant-soir les avant-bras chargés de linge.
Howard : Ok, et si je te disais que demain à 16h30, tu peux rencontrer une femme scientifiquement désignée comme ta partenaire idéale ?
Sheldon : Je ricanerais et lèverais les bras au ciel, épuisé par tes facéties constantes.
Rajesh : Mais c’est la vérité.
(Sheldon lèvre les bras et montre qu’il s’en moque. Puis il se dirige vers son ordinateur)
Rajesh : On a renseigné tes informations personnelles, répondu aux questions avec tes mots. Ils ont trouvé quelqu’un : Amy Farrah Fowler.
Sheldon : S’il te plat, même si vous pouviez répondre en utilisant mes propres mots, leur algorithmes, ce sont des sornettes.
Howard : On a répondu exactement ça à la question : « Que pensez-vous des sites de rencontre ? ».
Rajesh : Howard voulait écrire : « c’est des salades », mais je savais que tu dirais « sornettes ».
Howard : Allez ! Où est ta curiosité scientifique ?
Sheldon : Je la concentre sur les secrets de l’univers, tout en me demandant pourquoi nous avons cette discussion.
Rajesh : Ok, j’ai une idée. Même Spock avais un rencard tous les sept ans.
Sheldon : Non, c’était le Pon Farr. La fièvre du sans l’obligeait à chercher un partenaire.
Howard : Commence par un café, tu pourras passer au Pon Farr après.
Sheldon : Je ne bois pas de café.
Howard : Ok, un chocolat chaud, alors.
Sheldon : Comme je n’irai pas, la boisson n’a pas d’importance. Mais le chocolat est réservé aux mois avec un R.
Howard : Pourquoi ?
Sheldon : Il faut de la fantaisie dans la vie.
Howard : Ok, démerde-toi.
Rajesh : Sheldon. J’ai caché la chaussette sale dans ton appartement. Si tu ne viens pas voir cette fille, la chaussette restera ici, à tout jamais.
Sheldon : Tu bluff !
Rajesh : Tu veux courir le risque ?
Sheldon : Je te maudis.
Plus tard, Leonard monte les escaliers en étant bourré. Il ouvre la cage d’ascenseur et laisse tomber sa flasque. On entend l’impact
Leonard : 10 mètres.
(Il frappe à la porte de Penny)
Penny : Oh, salut Leonard.
Leonard : J’étais un geek tout seul, mais très heureux, avant ! Tu as tout gâché !
Penny : Tu es bourré ?
Leonard : Viens, on va faire l’amour et ça sera rien de plus !
Penny : Tu te sens pas bien ?
(Penny jette Leonard dehors et ferme sa porte)
Leonard : Je commence à croire qu’il y a deux poids, deux mesures.
Sheldon, Howard et Rajesh rentre dans un café.
Sheldon : Dans quelques minutes, je me moquerai de votre échec. Que préférez-vous ? « Je vous l’avais bien dit » ? Le classique « Nananère » ? Ou mon regard plein de dérision dédaigneuse ?
Rajesh : On n’a pas encore tort.
Sheldon : Va pour la dérision dédaigneuse.
(Une femme acoste Sheldon)
Amy : Excusez-moi, je suis Amy Farrah Fowler. Vous êtes Sheldon Cooper .
Sheldon: Bonjour Amy Farrah Fowler. J’ai le regret de vous dire que vous avez été dupée par des mathématiques conçues pour arnaquer les crédules solitaires. De plus, on me fait chanter avec un chaussette sale cachée.
Amy : Si c’était de l’argot, je ne connais pas l’expression. Sinon, je partage votre aversion pour les vêtements souillés. Ma mère m’a convaincue d’avoir un rendez-vous par an.
Sheldon : intéressant. Ma mère m’a convaincu d’aller à l’église une fois par an.
Amy : Je n’ai rien contre la religion, mais l’idée de présence obligatoire me rend perplexe.
Sheldon : Vous devriez éviter le Texas.
Amy : Bien noté. Avant toute chose, vous devez savoir que tout contact physique, dont le coït, est hors de question.
Sheldon : Puis-je vous offrir une boisson ?
Amy : De l’eau tiède, merci.
(Ils partent vers le présentoir, laissant Rajesh et Howard bouche bée)
Howard : Mon dieu, qu’est-ce qu’on a fait ?
Fin.
Spartacus