SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Penny : Oh, je fonds à chaque fois, quand le cœur du Grinch s’agrandit de trois tailles.
Sheldon : Les larmes semblent appropriées. L’élargissement du muscle cardiaque ou cardiomyopathie hypertrophique, est une maladie grave qui pourrait conduire à une insuffisance cardiaque.
Penny : Vraiment, tu n’as pas aimé, Sheldon ?
Sheldon : Non, bien au contraire. Je trouve que le Grinch est un personnage engagé très valable auquel je peux m’identifier. Et je me sens vraiment comme lui, qui a succombé à une convention sociale pour revenir à cela et sauver Noël. Ca tue comme truc.
Leonard : Quand on regarde Frosty le bonhomme de neige, il vote pour un soleil.
Sheldon : Désolé. Mais le soleil est indispensable à la vie sur Terre. Frosty est juste un glaçon légèrement surnaturel éphémère dans un chapeau volé. Un crime, en tout cas, qui ne sera jamais payé.
Générique.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Penny : J’aime la décoration des arbres de Noël. Je me sens à nouveau comme une petite fille.
Leonard : Nous n’avions pas de sapin quand je grandissais.
Penny : Vraiment ? Pourquoi ?
Leonard : Mmm, dans ma famille, les vacances étaient un prétexte pour étudier les implications anthropologiques et psychologiques dans la société humaine.
Penny : Oh, ça à l’air festif. Vous faisiez des cadeaux au moins ?
Leonard : Hmm, en quelque sorte. Om présentait des articles. Ensuite, on formait des groupes de discussions pour se critiquer les uns les autres.
Penny : Et toi Sheldon, avais-tu un sapin de Noël ?
Sheldon : Oh, oui. Nous avions un arbre, nous avions une crèche, nous avions un Père Noël gonflable tiré par des rennes en plastique dans la cour de devant. Et pour rendre les choses encore plus joyeuses tout un tas de lumières clignotantes dans la maison qui généraient des convulsions dans tout le quartier.
Penny : Ok, je suppose que tu ne veux pas aider à décorer le sapin.
Sheldon : Non. Mais si vous insistez pour décorer un piège à araignées inflammables dans ma maison, je dois vous demander d’ajouter ceci.
Penny : Qu’est-ce que c’est ?
Sheldon : Tu plaisantes, n’est-ce pas ? C’est un buste d’Isaac Newton.
Penny : Ah, sûr, sûr. Tout à fait l’esprit de Noël.
Sheldon : Excuse-moi, mais beaucoup plus « Esprit de Noël » que tout ce que vous avez mis dans l’arbre.
Leonard : Nous y voilà.
Sheldon : 25 décembre 1642, calendrier Julien, Sir Isaac Newton est né. Jésus, par contre, est né en fait en été. Son anniversaire a été transféré pour coïncider avec le traditionnel Festival païen, célébrant le Solstice d’hiver avec des feux et des chèvres abattues. Ce qui franchement semble plus fun que 12 heures à l’église avec ma mère, suivi d’un gâteau aux fruits.
Leonard : Newton Happy-Ness à tous !
Sheldon: Cela me semble guère sincère, bien que je n’en ai aucune idée.
Penny : Non, c’est bon. Regarde, Sir Isaac peut aller à côté de cette petite canne en sucre.
Sheldon : Non. Isaac va tout en haut de l’arbre.
Leonard : Non, il n’y va pas.
Sheldon : Je comprends. Tu n’es pas d’accord avec l’affirmation de Newton qui aurait inventé l’Emprunt et tu veux faire aller Gottfried Leibniz tout en haut.
Leonard : Oui tu m’as démasqué. Je suis un leibnizien.
Sheldon : Eh bien, peut-être que quand ta mère va venir. Elle saura te faire entendre raison.
Penny : Quoi ? Ta mère vient ici ? Quand ?
Leonard : Demain.
Penny : Quand comptais-tu me le dire ?
Leonard : Hum, demain.
Penny : Pourquoi garder ça secret ?
Leonard : Eh bien, j’ai juste …
Shelon : Si je peux intervenir … Leonard de toute évidence, est inquiet que sa mère ne t’approuve pas en tant que belle fille.
Penny : Pourquoi ne m’approuverait-elle pas ? Je suis adorable.
Leonard : Tu l’es. C’est juste …
Sheldon : Si je peux intervenir de nouveau … Leonard vient d’une famille remarquable avec de grandes réalisations. Tous les membres de sa famille ont réalisé de grandes choses. Il se sent probablement, il doute, que sa mère soit impressionnée par une femme dont la plus importante réalisation est de mémoriser le menu du Cheesecake Factory.
Penny : Hey. C’est un grand menu ! Deux pages justes pour les desserts.
Leonard : Je sais. Et il y a les spéciaux qui changent tous les jours.
Penny : Eh bien, devine quoi ? C’est déjà stupide quand je le dis. C’est tout simplement ridicule quand tu épilogues.
Leonard : Désolé.
Penny : Alors, qu’est-ce qu’elle a dit quand tu lui as annoncé qu’on sortait ensemble ?
Leonard : Hum.
Penny : Tu ne lui as pas dit qu’on sortait ensemble ?
Leonard : Hum.
Penny : Pourquoi ?
Leonard : Hum.
Sheldon : Leonard, je ne suis pas un expert en méditation, mais si tu essaies de te calmer, je pense que le mot est Ohm.
SCENE : La voiture de Leonard.
Mme Hofstadter : C’est très gentil de votre part d’être venu me chercher à l’aéroport.
Sheldon : Aucun problème.
Leonard : Je conduisais, maman. Je conduis maintenant.
Mme Hofstadter: Oui, chéri. Maman est fière. Je vous remercie pour vos notes sur mon travail réfutant la théorie quantique des cerveaux dynamiques
Sheldon : Ce fut un plaisir. Pour un non physicien, vous avez une remarquable compréhension des dipôles électriques des molécules d’eau dans le cerveau qui ne pourraient probablement pas former un condensat de Bose
Leonard : Attendez, attendez, attendez. Quand as-tu envoyé à â mère des notes sur son article ?
Sheldon : Le 16 août. Juste après son opération du canal carpien.
Mme Hofstadter : Oh, je vous ai remercié pour les fleurs ?
Sheldon : Vous l’avez fait.
Mme Hofstadter : Je n’aime pas vraiment les fleurs.
Sheldon : Moi non plus, mais c’est une convention sociale.
Mme Hofstadter : Vrai, n’est-ce pas ?
Leonard : Attendez, attendez, attendez. Tu as été opéré ?
Mme Hofstadter : Oui et Sheldon m’a envoyé des fleurs.
Leonard : Oui, ça j’ai entendu.
Mme Hofstadter : C’était quoi alors ce « attendez, attendez, attendez » ?
Leonard : Je ne comprends pas pourquoi il en sait plus sur ta vie que moi.
Mme Hofstadter : Eh bien, je suppose que c’est parce que Sheldon est resté en contact à cause de l’intérêt et du respect que nous avons, alors que toi tu m’évites en raison de problèmes non résolus de l’enfance.
Sheldon : Nous pensons que c’est ce qui a causé tes troubles narcissiques de la personnalité. Nous en avons longuement débattu lors de notre dernier chat vidéo. Bien que la manière dont nous te le soumettons est troublante.
Mme Hofstadter : Oui, mais nous sommes dans le sujet, donc je suis obligé de demander. Leonard, comment vas-tu ?
Leonard : Bien, maman. Comment vas-tu, toi ?
Mme Hofstadter : Hum, la ménopause.
Leonard : Maintenant, je ne vais plus aussi bien.
Mme Hofstadter : As-tu entendu parler de la dernière fiancée de ton frère ?
Leonard : Non. Sheldon, pourquoi m’as-tu rien dit ?
Sheldon : C’est de ma faute. Je lui ai envoyé un cadeau de notre part à tous les deux.
Mme Hofstadter : C’est une fille remarquable. Le plus jeune juge en audience publique d’Appel du New Jersey. Elle a également été deux fois médaille de bronze aux Jeux Olympiques.
Leonard : Tu dois être très heureuse.
Mme Hofstadter : Pourquoi ? Je ne vais pas l’épouser. Et qu’en est-il de toi ? Vois-tu quelqu’un d’intéressant ?
Sheldon : Eh bien, je ne suis pas sûr qu’elle soit intéressante, mais …
Leonard : Ce n’est pas le moment, Sheldon.
Sheldon : Très bien. Devons changer de sujet comme Sir Isaac Newton contre Gottfried Leibniz ?
Mme Hofstadter :C’est bon, Sheldon. Je vais juste faire semblant que Leonard ne fait pas de rétention d’information. Leonard, je te ferai remarquer que je suis un psychiatre renommé et que tu montres les mêmes tics de comportement secret que lorsque tu as appris à te masturber.
Sheldon : N’est-elle pas brillante, Leonard ? Comme je t’envie.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Mme Hofstadter : Alors, Howard, vous et Rajesh êtes vous parvenu à exprimer vos sentiments homosexuels latents l’un envers l’autre ?
Howard : Quoi ? Non.
Mme Hofstadter : Pourquoi pas ?
Howard : Parce qu’il n’y a pas de sentiments homosexuel latents entre nous.
Mme Hofstadter : Je vois.
Howard : Non, sérieusement. J’ai une petite amie maintenant.
Mme Hofstadter : Et où est-elle ce soir ?
Howard : Elle a dû quitter la ville. Sa grand-mère est décédée.
Mme Hofstadter : Je vois. Sa grand-mère est décédée.
Howard : Je jure devant Dieu … Leonard, dit lui que j’ai une petite amie.
Leonard : Je ne vois pas de quoi tu parles.
Howard : Comment ça, tu ne vois pas de quoi je parle ? Dis lui que j’ai une petite amie !
Leonard : Ok. Il « a une petite amie ».
Howard : Son nom est Bernadette, elle travaille comme serveuse, mais elle étudie pour devenir microbiologiste.
Mme Hofstadter : Howard, gardez à l’esprit que plus vous vous accrochez passionnément à ce concept plus vous faites de mal à votre partenaire.
Howard (à Raj) : Tu crois que ça aide de mettre tes lèvres dans mon oreille ?
Penny (arrivant) : Bonjour. Désolé, je suis en retard.
Leonard : Content que tu sois là. Assieds-toi, je vais te donner une assiette. Maman, tu te souviens de penny.
Mme Hofstadter : Oui, la serveuse de bar/actrice avec les problèmes non résolus avec son père … En a-t-il enfin fini avec ça, changé de thème, augmentation des seins ?
Penny : Eh bien, il m’a envoyé un ballon de foot et une casquette des Mets pour Noël, donc je vais dire non.
Howard : Si cela peut aider, nous n’avons aucun problème avec tes seins.
Mme Hofstadter : Classique surcompensation. Oh, en parlant de pères, Leonard, cela me rappelle … Je divorce du tien.
Leonard : Quoi ?
Mme Hofstadter : Oui. Il m’a trompé.
Leonard : Non.
Mme Hofstadter : Oui, avec quelques serveuses de la cafétéria de l’université. Pouvez-vous le croire ? Une serveuse. Oh, n’y voyez pas d’offense, chérie.
Penny : Non, ça ressemblait à un compliment.
Leonard : C’est arrivé quand ?
Mme Hofstadter : Mmm, eh bine, voyons ... Sheldon, quand ai-je quitté le père de Leonard ?
Sheldon : Le 22 septembre.
Mme Hofstadter : Oh, oui, c’est vrai. Le week-end après que le chien de Leonard soit décédé.
Leonard : Mitzy est morte ?
Sheldon : Elle était vieille et aveugle, Leonard. Quel autre choix avions-nous ?
Leonard : Je ne peux pas y croire. Pourquoi suis-je le dernier à l’apprendre ?
Mme Hofstadter : Excuse-moi, Leonard, je suis celle qui divorce, Mitzy est celle qui est décédée. Pourquoi fais-tu tout ce raffut ?
Leonard : Vous avez raison. Je suis désolé. J’ai franchi la ligne !
Mme Hofstadter : Sinon, penny, quoi de neuf dans votre vie ?
Penny : Rien de rien.
SCENE : La voiture de Penny.
Mme Hofstadter : Merci de me ramener à mon hôtel.
Penny : Oh, pas de problème.
Mme Hofstadter : Je voulais demander à Leonard de le faire, mais il semblait un peu émotionnellement instable et je ne veux pas que quelqu’un dans cet état utilise des machines lourdes.
Penny : Non, vous ne le voulez pas.
Mme Hofstadter : Le voyant Problème moteur est allumé.
Penny : Oui, je dois mettre un autocollant là-dessus. Ainsi, vous devez être dévastée par votre divorce.
Mme Hofstadter : Non, pas du tout. Mais je suis un peu angoissée d’être dans un véhicule qui n’est pas soumis à un entretien régulier.
Penny : Sans rire, je veux dire, vous n’êtes pas triste que votre mariage ait pris fin ?
Mme Hofstadter : Eh bien, au début, j’ai senti quelque chose de similaire à la douleur et peut-être la colère mais c’est là une réaction naturelle du système limbique d’être trahi par un fils de pute solitaire.
Penny : Bien sûr.
Mme Hofstadter : Heureusement, mon choc a été atténué par le fait que je n’ai pas eu de relations avec lui depuis huit ans.
Penny : Huit ans ?
Mme Hofstadter : Ce n’est rien. J’ai été responsable de mes propres orgasmes depuis 1982.
Penny : Qu’est-ce qui est si drôle ?
Mme Hofstadter : C’est exactement ce que je dis pendant les orgasmes.
Penny : Vous savez quoi ? Je voudrais aller boire un verre. Voulez-vous que nous arrêtions pour prendre un verre ?
Mme Hofstadter : Je ne bois pas.
Penny : Moi si, je vous apprendrai.
SCENE : La chambre de Leonard.
Sheldon : (Toc, toc, toc) Leonard, (Toc, toc, toc) Leonard, (toc, toc, toc) Leonard.
Leonard: Qu’est-ce qu’il y a?
Sheldon : J’ai fait du thé.
Leonard : Je ne veux pas de thé.
Sheldon : J’ai pas fait de thé pour toi. Ceci est mon thé.
Leonard : Alors, pourquoi me le dire ?
Sheldon : Pour démarrer une conversation.
Leonard : C’est nul comme démarrage de conversation.
Sheldon : Vraiment ? Nous conversons. Echec et mat.
Leonard : Qu’est-ce que tu veux, Sheldon ?
Sheldon : Ce que je veux, c’est faire partie du vaisseau Enterprise, partir dans une mono navette vers un planétoïde que je dirigerai, connu comme Sheldon Alpha Five.
Leonard : Moi aussi je veux ça. Pourquoi es-tu ici ?
Sheldon : pour te réconforter, bien sûr. Non, ça ne fonctionnera pas du tout. Ça ira mieux d’ici. Leonard, ce que tu expérimentes est une classique crise identitaire dans laquelle l’individu vieillissant réalise la réalité qu’il n’atteindra jamais, une famille idéale unie.
Leonard : Merci, c’est très réconfortant.
Sheldon : Ce n’est pas la partie réconfortante.
Leonard : Non ?
Sheldon : Non, non. La partie réconfortante, c’est que les allemands ont un terme pour ce que tu ressens : Weltschmerz. Cela signifie la dépression qui se dégage de la comparaison entre le monde réel tel qu’il est et l’hypothétique, le monde idéalisé.
Leonard : Tu as raison, je me sens mieux.
Sheldon : Eh bien, les allemands ont toujours été des gens réconfortants. Rappelle-toi juste, Leonard, que quand ta famille biologique te manquait, tu m’avais toujours moi, ta famille de substitution.
Leonard : Tu es ma famille de substitution ?
Sheldon : Si c’est une consolation, qui te fait sentir heureux. Bonne nuit.
SCENE : Un bar.
Penny : Eh bien, cette fois, essayez de le boire cul sec. Je suis responsable de mes propres cuites depuis 2003. Une autre tournée pour moi et ma copine.
Mme Hofstadter : Je sens une sensation de chaleur s’étendre à toutes mes extrémités.
Penny : Alors tant qu’elle ne s’étend pas vers le bas de votre pantalon, tout va bien.
Mme Hofstadter : C’est fascinant. Je constate une réduction immédiate de mes inhibitions. Par exemple, j’envisage sérieusement de parler à ce chauffeur qui me ravit dans l’allée autant qu’un gâteau au fromage. Qu’en pensez-vous ?
Penny : Eh bine, nous sommes connus pour notre gâteau au fromage … Une autre tournée.
Mme Hofstadter : Oui. Si un peu, c’est bien, plus doit être meilleur.
Penny : Bev, devinez quoi ?
Mme Hofstadter : Quoi ?
Penny : Je couche avec votre fils.
Mme Hofstadter : Vraiment ? Lequel ?
Penny : Celui qui vit de l’autre côté de mon palier …
Mme Hofstadter : Eh bien, c’est commode. De quel côté tourne son pénis ?
Penny : Beverly, je ne peux pas parler du pénis de mon copain à sa propre mère.
Mme Hofstadter : Oh, ok. Que pouvez-vous me dire, s’il y a quelque chose à dire, sur le pénis de ce chauffeur ?
Penny : En fait, j’ai juste essayé le gâteau au fromage. Remets nous ça. Vous savez, Leonard ne voulait pas vous dire que nous sortions ensemble.
Mme Hofstadter : Vraiment ? Eh bien, cela signifie soit qu’il a honte de cette relation, soit qu’il ne se soucie pas assez de sa mère pour lui en parler. Quoi qu’il en soit, l’une de nous deux a été insulté.
Penny : Ok, trouvons laquelle.
Mme Hofstadter : Vous allez appeler un taxi. Je vais glisser ma carte de visite dans la poche arrière de ce chauffeur en tâtent sa petite fesse ferme, l’air de rien.
SCENE : L’appartement de Leonard et Sheldon.
Penny : Leonard ?
Mme Hofstadter : Mon garçon !
Penny : Viens ici. Ta mère veut te parler !
Leonard : Qu’est-ce qui se passe ici ?
Penny : T’es dans le pétrin.
Mme Hofstadter : Pourquoi ne pas me dire que tu te tapes ma copine ? L’ai-je bien envoyé ?
Penny : Oui, pas mal, pas mal.
Leonard : Vous êtes bourrées les filles ?
Mme Hofstadter : Eh bien, je l’espère. Sinon, pourquoi se serait-on arrêté à Del Taco ? Maintenant, comment as-tu pu ne pas me dire que tu entretenais une relation avec cette charmante, si jolie demoiselle ?
Penny : Merci.
Mme Hofstadter : De rien. Est-ce parce qu’elle n’est pas éduquée, piégée dans un emploi de domestique ?
Penny : Qu’est-ce qui est arrivé au jolie et charmante ?
Leonard : Comment toi, as-tu pu me cacher que toi et papa divorciez ? Comment as-tu pu ne pas me dire que tu as été opérée ? Comment as-tu pu ne pas me dire que mon chien était mort ?
Mme Hofstadter :Attends, attends, attends … Ce que je t’entends dire c’est que tu souhaiterais une relation mère-fils plus intime.
Leonard : C’est ça.
Mme Hofstadter : Voilà. Il est tard. Maintenant, va au lit. Je sens une sensation de chaleur s’étendre à mon cœur.
Penny : C’est le Del Taco.
Sheldon : pourquoi Leonard se cogne-t-il doucement la tête contre la porte de sa chambre ?
Mme Hofstadter : En parlant de ça … Viens là. Non, je préfère rester avec le chauffeur.
SCENE : La voiture de Leonard.
Mme Hofstadter : Merci de m’emmener à l’aéroport.
Sheldon : Il n’y a pas de quoi.
Leonard : A nouveau, c’est moi qui conduis. Je suis juste ici.
Mme Hofstadter : S’il te plaît, j’ai la gueule de bois et je ne suis pas d’humeur à répondre à ton besoin d’approbation. Sheldon, j’espère que vous me pardonnez pour ma conduite inappropriée la nuit dernière.
Sheldon : Je ne vous blâme pas. Vous étiez intoxiquée.
Mme Hofstadter : Merci.
Sheldon : Je blâme Penny.
Penny : Je blâme penny, aussi. Mauvaise Penny.
Leonard : Attendez, une minute. De quoi vous parlez ? Quelle conduite inappropriée ?
Mme Hofstadter : Je pense qu’il vaut mieux que tu ne le saches pas.
Sheldon : Je suis d’accord.
Penny : Je suis d’accord.
Leonard : Oh et puis … Je suis d’accord.
Mme Hofstadter : Et je veux que tu prennes vraiment très soin de cette jeune fille.
Penny : Oh, merci, Beverly.
Mme Hofstadter : Il n’y a pas de quoi. Elle n’a pas grand-chose à espérer dans sa carrière de serveuse. Ne la rend pas responsable de ses propres orgasmes.
Leonard : Mère, te souviens-tu que je me suis plaint de ne pas communiquer assez avec toi ?
Mme Hofstadter :Oui, mon chéri.
Penny : J’en ai fini avec ça.
Fin de l’épisode.