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#222 : La turbulence du matériel confidentiel

Saison 2, épisode 22 de The Big Bang Theory

Résumé : Les choses commencent à s'éclaircir pour Leonard lorsque Penny fait une révélation surprenante lors de son second rendez-vous avec Stuart. Pendant ce temps, Wolowitz quémande l'aide de ses amis lorsqu'il découvre un défaut critique dans le design de son projet pour la NASA.

Popularité


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Titre VO
The Classified Materials Turbulance

Titre VF
La turbulence du matériel confidentiel

Première diffusion
04.05.2009

Première diffusion en France
20.06.2009

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Scénario : Chuck Lorre & Lee Arohnson 

Réalisation : Mark Cendrowski

Guest : Kevin Sussman (Stuart)

Sheldon, Raj, Howard et Leonard sont au Comic Book Store quand Sheldon réalise que de nouveaux comics viennent d'arriver. Howard est heureux de leur proposer de les gâter en payant lui-même car il a terminé son projet pour la NASA : des toilettes pour station spatiale, ce que ses amis trouvent hilarant.Leonard et Raj s'en donnent à coeur joie tandis que Sheldon se sent obligé d'expliquer chacune de leur blague.Stuart propose à Sheldon le dernier numéro de Hellboy qu'il lui a mis de côté, précisant qu'il est "renversant". Il en est tout chamboulé car cela équivaudrait à un spoiler.

Stuart demande alors à parler à Leonard à propos de son récent rendez-vous avec Penny, comme quoi cela s'est mal passé. Leonard en est très heureux, jusqu'à ce que Stuart lui demande des conseils car il va avoir un autre rendez-vous avec elle et aimerait avoir quelques conseils de sa part.Leonard lui propose de le rappeler ...
Dans l'entrée de l'immeuble, Leonard est rejoint par Penny qui lui dit qu'elle a rendez-vous avec son ami Stuart, et espère que cela ne le dérange, ce à quoi Leonard répond par une très longue tirade sur le fait que cela lui convient. Rassurée, elle lui demande des conseils car Stuart a l'air très timide. Leonard déclare qu'elle doit aller vers lui, au risque de l'effrayer, espérant ainsi faire capoter leur relation naissante.

Sheldon et Leonard déjeunent à la caféteria lorsque ce dernier reçoit un appel de Stuart, auquel il décide de ne pas répondre, ce qui contrarie Sheldon : et si le Comic book store était en feu ? Et s'il avait besoin de son aide ?
Raj et Howard les rejoignent, paniqués, car les toilettes conçues par Howard seront totalement inefficaces après dix utilisations. Sheldon souligne que les astronautes partant en mission pour six mois, cela risque d'eêtre problématique.Howard ne veut pas prévenir la NASA de l'incident, et compte sur ses amis pour l'aider qui trouvent la situation hilarante.

Dans l'appartement de Sheldon et Leonard, Howard amène une réplique des toilettes et les objets disponibles sur la station spatiale qui pourraient être utilisés pour réparer l'appareil.Ils sont interrompus par Stuart qui demande des conseils à Leonard pour le rendez-vous qu'il est sur le point d'avoir avec Penny. Leonard lui conseille d'aller très lentement dans leur relation, d'avoir presque peur de Penny.
Les garçons continuent de tenter de réparer les toilettes, tandis que Leonard culpabilise d'avoir saboté le rendez-vous de Penny et Stuart. Sheldon et Raj se lancent alors dans un débat sur la croyance de ce dernier au karma.

De bon matin, Leonard va voir Penny en espérant obtenir des détails sur sa soirée avec Stuart mais elle refuse totalement d'en parler. Raj propose alors à Leonard d'aller lui chercher un café s'il espère restaurer son karma.

Après une soirée passée à essayer des réparer les toilettes, aucune solution n'a encore émergé quand Leonard annonce aller au Comic Book store. Sheldon et Raj sautent sur l'occasion de se divertir mais sont arrêtés par Howard qui veut résoudre le problème des toilettes avant. 

Leonard demande à Stuart de l'excuser de lui avoir donné de mauvais conseils alors que ce dernier l'en remercie car cela aurait été efficace. Leonard est déçu jusqu'à ce que Stuart lui annonce que la soirée s'est très bien passée jusqu'à ce que Penny dise "Oh, Leonard !".Leonard prétend être désolé mais après être sorti du magasin, laisse exploser sa joie.

A l'appartement, les garçons dînent avec Penny et Howard est au téléphone avec la NASA, espérant que la solution qu'ils ont trouvé devrait suffire.
Dans l'espace, les astronautes ont quelques problèmes et exigent de sortir de la
station spatiale pour un besoin urgent ...

                Le magasin de comics.

Sheldon : Vous sentez ? C’est l’odeur de nouveaux comics. Oh, oui !

Howard : C’est ma tournée aujourd’hui, les gars.

Raj : Tu payes ? T’as encore vendu ton sperme ?

Howard : Non, c’est un grand jour. Alors que nous parlons, la navette spatiale va s’arrimer à la station spatiale internationale pour y installer le système d’évacuation de déchets en impesanteur de Wolowitz.

Raj : Oh, t’emballe pas. C’est des toilettes high-tech.

Leonard : Grâce à ton labeur, un équipage international d’astronautes va pouvoir, au mépris du danger, aller là où on a jamais posé les fesses.

Howard : C’est censé être drôle ?

Sheldon : Je crois bien. La référence au générique de Star Trek et la variante de l’expression « poser le pied » suggèrent que Leonard se moque de tes avancées en plomberie spatiale.

Howard : Très bien, moquez-vous, mais de nous quatre, je suis le seul à contribuer à l’évolution des sciences et technologies.

Raj : C’est vrai. Il pourrait être félicité par des commissions. La petite commission et la grosse commission !

Sheldon : Oh, très malin ! Jouer avec le sens familier de ce mot pour évoquer les fonctions corporelles.

Stuart : Tiens, Sheldon, je t’ai réservé le dernier Hellboy. C’est hallucinant.

Sheldon : Excuse-moi, mais ne me spoile pas.

Stuart : J’ai rien dit.

Sheldon : Tu as dit qu’il était hallucinant. Donc, mon esprit est pré-halluciné. Et quand l’esprit est pré-halluciné, impossible de le re-halluciné.

Stuart : Je suis désolé.

Sheldon : Dixit le Grinch après avoir gâché Noël.

Stuart : Euh, hey, Leonard, je peux de parler de quelque chose ?

Leonard : Bien sûr, de quoi ?

Stuart : Tu te souviens quand je suis sorti avec Penny, il y a quelques semaines ?

Leonard : Oui, vaguement.

Raj : Bien sûr, tu te souviens. Ce soir-là, tu t’es humilié dans un bar en essayant de draguer des femmes bizarres.

Leonard : Eh bien ?

Stuart : En fait, le rencard s’est pas bien passé.

Leonard : Oh, dommage. Il te reste plus qu’à l’oublier, te ressaisir et avancer dans la vie.

Stuart : Je ne peux pas faire ça.

Leonard : Pourquoi ?

Stuart : Parce qu’on se revoit demain.

Sheldon : Excuse-moi, Stuart. Tu as lu le dernier Flash ?

Stuart : Non.

Sheldon : Moi oui, il est décoiffant. Bon courage pour te recoiffer.

Stuart : Euh, de toute façon, c’est ma dernière chance avec Penny, je veux pas la foirer.

Leonard : Personne ne veut ça.

Stuart : Donc, voici ma question. Pour ce deuxième rendez-vous, tu penses qu’elle envisage un passage à l’acte ?

Leonard : Oh, eh bien, voyons voir… A froid, je dirais non. Mais j’y réfléchis et on en reparle, d’accord ?

Stuart : Bon, alors, tu m’appelles ?

Leonard : Oui, ou tu m’appelles.

Stuart : Très bien.

Leonard : Ou personne n’appelle personne.

Raj : Intéressant. L’amoureux de Penny qui demande conseil à son ancien amoureux.

Leonard : Merci de sous-titrer ma peine, Raj.

Howard : Tu veux t’assurer que ça ne mène à rien sans compromettre ton amitié avec Stuart ou Penny ?

Leonard :J’écoute.

Howard : Dis-lui de se comporter avec elle comme tu le fais depuis ces deux dernières années.

 

Générique.

                Le hall d’entrée.

Penny : Hey, Leonard.

Leonard : Oh, salut.

Penny : Comment tu vas ?

Leonard : Bien, bien. Et toi ?

Penny : Bien. Oh, je peux te poser une question ?

Leonard : Bien sûr.

Penny : Au sujet de ton ami Stuart.

Leonard : Oui.

Penny : Eh bien, il m’a demandé de sortir avec lui de nouveau, et j’ai dit oui, mais je voulais t’en parler avant.

Leonard : Pourquoi ?

Penny : Eh bien, ça te dérange pas que je sorte avec un de tes amis ? Vu que toi et moi…

Leonard : Non, non, c’est du passé. Je ne regarde pas trop en arrière. Je vis l’instant présent. Encore que, pour le boulot, je me projette dans l’avenir. Et mon amour de la science-fiction me plonge parfois dans le passé, mais la plupart des histoires se passent dans le futur. En conclusion, non, ça ne me dérange pas.

Penny : Bon, eh bien, c’est vraiment sympa de ta part.

Leonard : J’aurais plutôt dit : du Leonard tout craché !

Penny : Alors, tu veux bien me conseiller ?

Leonard : A propos de Stuart ? Avec plaisir.

Penny : Il est très timide. Comment je peux le mettre à l’aise ?

Leonard : Tout d’abord, c’est pas si mal qu’il soit mal à l’aise.

Penny : Vraiment ?

Leonard : Oui, Stuart adore être sous pression. C’est pour ça qu’il tient un magasin de comics.

                Le restaurant universitaire. Le téléphone de Leonard sonne.

Leonard : Oh, c’est Stuart.

Sheldon : Tu ne réponds pas?

Leonard : Il veut parler de Penny. Je ne veux pas parler de Penny.

Sheldon : Tu fais une hypothèse. Le magasin de comics est peut-être en feu. Et il a besoin de ton aide.

Leonard : Pourquoi c’est moi qu’il appellerait ?

Sheldon : On ne sait pas. Et si tu ne réponds pas, on ne le saura jamais.

Leonard : Je ne répondrai pas au téléphone, Sheldon.

Sheldon : Réponds au téléphone, Leonard.

Leonard : Non ! Voilà, j’ai un message.

Sheldon : Tu ne vas pas écouter le message ?

Leonard : Non.

Sheldon : Tu dois écouter le message. Le message est un contrat social entre deux parties, rempli lors de l’écoute du message. Si ce contrat n’est pas respecté, c’est l’empire social qui s’effondre et l’anarchie se dessine.

Leonard : Ca doit être l’enfer dans ta tête.

Sheldon : Parfois.

Howard : Les gars, nous avons un code rouge.

Sheldon : Tu veux dire le code rouge des hôpitaux, le code rouge météorologique ou le jeu d’ordinateur développé par Westwood Studios ?

Howard : Je vérifiais les plans de mes toilettes en impesanteur et j’ai fait une minuscule erreur sur la valve de dérivation.

Leonard : Minuscule comment ?

Howard : Ca va lâcher après 10 utilisations.

Sheldon : Mais la mission est de six mois.

Howard : D’où l’alerte rouge. C’est comme un diable en boîte. On ne sait pas quand, mais à un moment, quelque chose de pire qu’une marionnette va sortir de cette boîte.

Sheldon : AS-tu averti la NASA ?

Howard : Non, tu es fou. Pour dire quoi ? Je me suis planté et vous allez avoir de la merde flottée dans votre station neuve ?

Leonard : Tu vas faire quoi ?

Howard : Je vais trouver comment la réparer avant de leur dire.

Leonard : Et t’as besoin de nous ?

Raj : Il ne sait pas comment la réparer.

Howard : Hey, tu as dit que tu m’aiderais.

Raj : Je vais essayer, mais tu dois admettre que c’est sacrément drôle.

Sheldon : Je suis d’accord. C’est la juxtaposition de la haute technologie spatiale et la banalité de toilettes dysfonctionnelles qui fait le ressort humoristique. Ecoute tes messages.

                L’appartement de Leonard et Sheldon.

Howard : Très bien, c’est une réplique exacte du système d’évacuation de déchets en impesanteur utilisé à bord de la station spatiale internationale.

Raj : C’est plutôt le système de distribution de déchets en impesanteur.

Leonard : Elle est bonne.

Raj : Ouais.

Howard : C’est hilarant. Maintenant, voilà plus ou moins les pièces détachées disponibles à bord de la station spatiale. En utilisant seulement ça, on doit trouver comment éviter que les déchets touchent la turbine postérieure.

Raj : Tu veux dire afin de ne pas frapper le ventilateur ?

Sheldon : Ouais, je dois l’avouer, je pensais que ces blagues deviendraient moins drôles en les répétant. Apparemment, il semble n’y avoir aucune loi diminuant le comique de répétition du caca spatial. (On frappe à la porte).

Stuart : Hey, Leonard.

Leonard : Stuart.

Stuart: T’es occupé?

Leonard: Hum.

Howard: C’est confidential, Leonard.

Leonard: Oui, au même niveau que le Projet Manhattan. Oui ?

Stuart : Ce soir, je sors avec Penny, et vu que je t’ai pas eu au téléphone…

Leonard : Oui, je suis désolé, il est cassé.

Stuart : Ou par e-mail.

Leonard : Oui, ça aussi. Tout est cassé.

Stuart : Quoi qu’il en soit, tu n’aurais pas un conseil de dernière minute ?

Leonard : Très bien, là, comme ça, je dirais que le plus important avec Penny est d’y aller lentement. Je veux dire, glacial.

Stuart : Très bien.

Leonard : Tu sais, Penny se fait tout le temps draguer, donc tu dois te démarquer. Tu sais, sois un peu timide, ne le regarde pas trop dans les yeux. Et traite-la avec un détachement négligé et avec de la … peur.

Stuart : Peur ?

Leonard : Ouais, comme si tu avais peur de la briser si tu la touches.

Stuart : C’est tout à fait dans mes cordes.

Leonard : Très bien. Amusez-vous bien, alors.

Stuart : Merci, Leonard. C’est quoi ce truc, sinon ?

Howard : Tu sais pas ce que c’est ?

Stuart : Non.

Howard : Bien, casse-toi.

Raj : Aie peur de Penny. Joli. Bien joué.

Leonard : C’est pas un mauvais conseil. C’est juste pas très utile.

Sheldon : Pour ce que cela vaut, d’après ma mère, si on ment par intérêt, on fait pleurer Jésus.

                Décalage dans le temps.

Sheldon : Et si on utilisait ce PVC de 5 cm pour renforcer le support central ?

Howard : Pas possible. Je veux dire, ça marcherait pour les Japonais et les Américains, mais t’as vu le gabarit des Russes qu’ils envoient ? Ce truc doit supporter un régime copieux à bases de patates.

Leonard : Je me sens mal.

Howard : Si tu aidais, tu te sentirais peut-être mieux.

Leonard : J’ai tenté délibérément de saboter le rencard de Stuart avec Penny.

Raj : Normal que tu te sentes mal. T’as bousillé ton karma.

Sheldon : Tu ne crois pas vraiment à cette superstition, si ?

Raj : C’est pas une superstition. C’est quasi newtonien. Toute action admet une action égale de sens opposé. Leonard prétend être un ami et agit comme un sale traître. Par conséquent, il se réincarnera en limace. C’est un système élégant. On récolte ce que l’on sème.

Howard : En parlant de récolter ce que l’on sème…

Raj : Bon, écoute. Au lieu de renforcer cette structure, et si on créait une nouvelle dérivation ?

Sheldon : Impossible. Le diamètre du tube est insuffisant.

Raj : Et en déplaçant le réservoir ?

Sheldon : Non, on ne peut pas le monter.

Howard : D’accord, j’ai une idée. Si je changeais de nom et partais vivre en Israël chez ma cousine et son mari, Avi ?

Sheldon : Ca pourrait marcher.

                Devant la porte de Penny. Leonard frappe à sa porte.

Leonard : Bonjour.

Penny : Bonjour. Quoi de neuf ?

Leonard : Rien. On a passé la nuit à essayer de réparer un … préparateur de pâtes. Je vais chercher des cafés. Tu en veux un ?

Penny : Oh, non, merci. J’ai du café.

Leonard : Super. Ca s’est bien passé, hier, avec Stuart ?

Penny : Je n’ai pas vraiment envie d’en parler.

Leonard : Oui, d’accord. Mais avant que vous sortiez, je lui ai parlé et …

Penny : J’ai dit que j’avais pas envie d’en parler.

Leonard : D’accord. C’est juste que… J’ai un peu…

Penny : Ecoute, Leonard, ce qui se passe entre Stuart et moi, c’est pas tes oignons. Alors, lâche-moi un peu. D’accord ?

Raj : Si tu veux améliorer ton karma, va me chercher ce foutu café au lait.

                L’appartement de Leonard et Sheldon.

Howard : Attendez, je crois que j’ai la solution. Aide-moi à caler ce bout de PVC derrière la tige de support.

Sheldon : Tu surestimes la résistance de la sous-structure que tu construis.

Howard : Sheldon, je sais ce que je fais.

Sheldon : Non, si tu le savais, il n’y aurait pas de toilettes à l’emplacement de ma table basse.

Raj : Howard, attends. Tu n’as qu’à utiliser ça au lieu du PVC pour maintenir l’assemblage du filtre transversal.

Howard : Ce n’est pas une pièce détachée de la station spatiale. C’est le bidule de la pizza qui empêche le couvercle de toucher le fromage.

Raj : Ca sert à ça ? En Inde, le couvercle touche le fromage. Mais nous avons aussi la pauvreté et des vagues périodiques de choléra, alors du carton dans le fromage, ça nous fait pas peur.

Howard : Tu vas où ?

Leonard : Au magasin de comics.

Sheldon : Oh, excellente idée. Une pause me ferait du bien.

Raj : Moi aussi.

Howard : Attendez, vous pourrez y aller quand on pourra à nouveau faire caca dans l’espace.

Sheldon : Pourquoi Leonard peut y aller ?

Howard : Il est bouleversé par cette histoire avec Penny et s’il m’en parle encore, je le frapperai dans les ovaires.

Leonard : Merci de ta compréhension, Howard.

Howard : De rien, frangine. Bon, je crois qu’on a un prototype prêt à tester. Donne-moi ce Tupperware.

Raj : Wow, c’est lourd.

Howard : C’est de la viande de ma mère. Il éprouve des toilettes depuis des générations.

Sheldon : Je pense qu’une lettre détaillé au MIT décrivant les circonstances actuelles pourrait te donner droit à un remboursement sur ton diplôme.

Howard : Ok, test du système d’évacuation de déchets en impesanteur avec un pain de viande dans … trois, deux, un.

Sheldon : Fascinant.

Raj : D’où vient le problème, à ton avis ?

Howard : Pas assez de chapelure.

                Le magasin de comics.

Leonard : Hey, Stuart, j’ai besoin de te parler.

Stuart : Oui, quoi de neuf ?

Leonard : Je pense que je t’ai mal conseillé, pour Penny, et je tiens à m’excuser.

Stuart : Non, tu as été de très bon conseil.

Leonard : Ah bon ?

Stuart : Ca a marché, d’y aller lentement.

Leonard : Tu plaisantes. Ca a jamais marché pour moi.

Stuart : Hier soir, au resto, j’ai fait ce que tu m’as dit. J’y suis allé lentement, j’ai gardé mes distances, et après deux bouteilles de vin, on s’embrassait dans ma voiture.

Leonard : Du vin ? Je t’ai pas dit de lui faire boire du vin.

Stuart : Peu importe, c’est là que c’est parti en vrille.

Leonard : Pendant le baiser ? Tu lui as éternué dans la bouche ? J’ai fait ça à une fille, une fois.

Stuart : Non, tout se passait bien, c’était super chaud. Et j’ai dit : «  Oh, Penny ». Et au moment où elle aurait dû dire : « Oh, Stuart », elle a dit… ton nom.

Leonard : Leonard ?

Stuart : C’est ton nom ?

Leonard : Désolé, ça devait être la dernière chose que tu voulais entendre.

Stuart : Eh bien, c’est mieux que « Tu sais que je suis un mec ? ». Ouais, c’était pas terrible.

Leonard : J’en doute pas. Désolé que ça n’ait pas marché.

Stuart : C’est pas ta faute.

Leonard : oui, étonnant. A bientôt.

Stuart : Oui, bien sûr.

                L’appartement de Leonard et Sheldon. Howard est au téléphone.

Howard : Oui, monsieur, je comprends le mot confidentiel. Ca restera confidentiel. Personne ne saura à part nous.

Penny : De quoi il parle ?

Leonard : De ses toilettes spatiales. Je t’expliquerai.

Howard : Ils ont mis en place notre solution. Espérons tous que ça marche.

Sheldon : Pourquoi devrais-je m’en inquiéter ? Ma carrière n’est pas menacée. C’était une blague. Elle est drôle, parce que c’est vrai.

Penny : Leonard, tu peux me passer la sauce soja, s’il te plaît ?

Leonard : Désolé, c’est à moi que tu parles ?

Penny : Oui, j’ai dit Leonard.

Leonard : Ca c’est sûr.

Penny : C’est quoi, ça ?

Howard : Du pain de viande.

Leonard : Pourquoi il était au plafond ?

Howard : C’est confidentiel.

                La station spatiale internationale.

Voix : Houston, ici la station spatiale internationale. On a un petit pépin, là-haut. On aimerait faire une sortie dans l’espace.

Houston : ISS, ici Houston. Qui serait concerné par cette sortie extravéhiculaire ?

Voix : Houston, on aimerait tous prendre l’aire quelques minutes.

Houston : ISS, je crains qu’on ne puisse pas autoriser ça.

Voix : Houston, on ne demandait pas la permission. C’est comme si on était déjà partis.

 

Fin de l’épisode.

 

Scene: The comic book store.

Sheldon: Smell that? That’s the smell of new comic books. Oh, yes!

Howard: They’re on me today, boys.

Raj: You’re paying? Have you been selling your sperm again?

Howard: No, I’m celebrating. As we speak, the space shuttle is docking at the International Space Station where it will deploy the Wolowitz Zero-Gravity Waste Disposal System.

Raj: Oh, get over yourself, it’s a high-tech toilet.

Leonard: Just think. Thanks to your hard work, an international crew of astronauts will boldly go

where no man has gone before.

Howard: Is that supposed to be funny?

Sheldon: I believe it is. The combination of the Star Trek reference and the play on words involving the double-meaning of the verb to go suggests that Leonard is humorously mocking your efforts in space plumbing.

Howard: Okay, make your little jokes, but of the four of us, I’m the only one making any real-world contribution to science and technology.

Raj: He’s right. This is an important achievement, for two reasons. Number one, and, of course, number two.

Sheldon: Oh, clever! Playing on the use of cardinal numbers as euphemisms for bodily functions.

Stuart: Here, Sheldon, I pulled the new Hellboy for you. It’s mind-blowing.

Sheldon: Excuse me, spoiler alert.

Stuart: I didn’t spoil anything.

Sheldon: You told me it’s mind-blowing, so, my mind is going into it pre-blown. And once a mind is pre-blown, it cannot be re-blown.

Stuart: I’m sorry.

Sheldon: Said the Grinch to Christmas.

Stuart: Uh, hey, Leonard, can I talk to you about something?

Leonard: Oh, sure, what’s up?

Stuart: Remember I went out with your friend Penny a couple weeks ago?

Leonard: Yeah, vaguely.

Raj: Sure you remember. You went to the bar and made a fool of yourself trying to pick up strange women.

Leonard: What about it?

Stuart: Well, uh, the thing is, the date didn’t go that well.

Leonard: Oh, too bad. I guess the thing to do now is just pick yourself up, dust yourself off, forget it and move on.

Stuart: I can’t do that.

Leonard: Why the hell not?

Stuart: ‘Cause we’re going out again tomorrow.

Sheldon: Excuse me, Stuart. Have you read the new Flash?

Stuart: No.

Sheldon: Well, I have and it will knock your socks off! Good luck getting them back on.

Stuart: Uh, anyway, I figured this is probably my last shot with Penny and I don’t want to screw it up.

Leonard: Nobody wants that.

Stuart: So, here’s my question. It’s the second date, you think she’ll be expecting things to get physical?

Leonard: Uh, oh, gee, my initial reaction is no. You know, let me think about it and get back to you, okay?

Stuart: Okay, so, you’ll give me a call?

Leonard: Yeah, or you call me.

Stuart: Great.

Leonard: Or nobody calls anyone.

Raj: Interesting. Penny’s current suitor asking advice from her former suitor.

Leonard: You know, thanks for closed-captioning my pain, Raj.

Howard: Hey, wanna make sure he gets nowhere with Penny without jeopardizing your friendship with either of them?

Leonard: I’m listening.

Howard: Just tell him to do everything you’ve done with her for the last two years.

Credits sequence.

 

Scene: The lobby.

Penny: Hey, Leonard.

Leonard: Oh, hi.

Penny: How’s it going?

Leonard: Good, good. You?

Penny: Fine. Oh, hey, can I ask you something?

Leonard: Sure.

Penny: You know your friend Stuart?

Leonard: Yes.

Penny: Well, he asked me out again and I said yes, and then I started thinking maybe I should talk to you first.

Leonard: About what?

Penny: Well, does it bother you, me going out with one of your friends? ‘Cause you know, you and me…

Leonard: No, no that’s the past. I’m really more of a right now kind of guy. You know, living in the moment. Although I do have to live a little in the future, ’cause, well, that’s my job. Of course, my fondness for classic science fiction does draw my attention backwards, but those stories often take place in the future. In conclusion, no, it doesn’t bother me.

Penny: Okay, well, that’s really cool of you.

Leonard: Yeah, well I wouldn’t say cool, I’d just say, that’s Leonard!

Penny: Well, In that case, do you mind giving me some advice?

Leonard: About Stuart? Love to.

Penny: He’s very shy, how do I make him feel more comfortable around me?

Leonard: Well, uh, first of all, don’t underestimate the value of discomfort.

Penny: Really?

Leonard: Well, yeah, Stuart thrives under pressure, that’s why he works in a comic book store.

Scene: The university cafeteria. Leonard’s phone rings.

Leonard: Oh. It’s Stuart.

Sheldon: You’re not going to answer it?

Leonard: He wants to talk about Penny. I don’t want to talk about Penny.

Sheldon: You’re making an assumption. Perhaps the comic book store is on fire, and he needs your assistance.

Leonard: Why would he call me?

Sheldon: We don’t know. And if you don’t answer the phone, we can’t know.

Leonard: I’m not answering the phone, Sheldon.

Sheldon: Answer the phone, Leonard.

Leonard: No! There, it went to voice mail.

Sheldon: Aren’t you going to check your messages?

Leonard: No.

Sheldon: You have to check your messages, the leaving of a message is one half of a social contract which is completed by the checking of the message. If that contract breaks down then all social contracts break down and we descend into anarchy.

Leonard: It must be hell inside your head.

Sheldon: At times.

Howard: Guys, we have a code red.

Sheldon: Do you mean code red the hospital emergency alert, code red the computer worm, or code red the cherry flavoured soft drink from the makers of Mountain Dew?

Howard: Look, I was going over the schematics on my zero-G toilet, and I made a teeny tiny mistake on the specifications for the diverter valve.

Leonard: How teeny tiny?

Howard: It’s gonna fail after about ten flushes.

Sheldon: But the mission is for six months.

Howard: Yeah, see, that’s the code red. It’s kind of like a jack-in-the-box, no one knows exactly when, but at some point something way worse than a puppet is gonna pop out of that box.

Sheldon: Have you notified NASA?

Howard: No. Are you crazy?What am I gonna say? I screwed up your toilet and pretty soon there’s gonna be crap floating all over your nice shiny space station?

Leonard: Well, what are you gonna do?

Howard: I’m gonna figure out how to fix it, then I’ll tell them.

Leonard: So, what do you need us for?

Raj: He can’t figure out how to fix it.

Howard: Hey, you said you were gonna be supportive.

Raj: I’m trying, but you have to admit this is pretty damn funny.

Sheldon: I agree. It’s the juxtaposition of the high-tech nature of space exploration against the banality of a malfunctioning toilet that provides the comic fodder here. Check your messages.

Scene: The apartment.

Howard: All right, this is an exact duplicate of the Wolowitz Zero-Gravity Human Waste Disposal System as deployed on the International Space Station.

Raj: Don’t you mean the Wolowitz Zero-Gravity Human Waste Distribution System?

Leonard: Good one.

Raj: Yeah.

Howard: Yeah, ha, it’s hilarious. Now, here’s an approximation of the spare parts available on the Space Station. We gotta find a way, using nothing but this, to reinforce this so the waste material avoids the spinning turbine.

Raj: You mean so it doesn’t hit the fan?

Sheldon: Yeah, I have to say, I thought the toilet humour would get less funny with repetition. Apparently, there is no law of diminishing comedic returns with space poop. (There is a knock on the door)

Stuart: Hey Leonard.

Leonard: Hey Stuart.

Stuart: You busy?

Leonard: Um…

Howard: Classified, Leonard.

Leonard: Yeah, it’s a regular Manhattan Project. What’s up?

Stuart: Well, tonight’s my date with Penny and since we haven’t been able to connect by phone…

Leonard: Yeah, I’m sorry, it’s been broken.

Stuart: Or e-mail.

Leonard: Yeah, that too. Everything’s broken.

Stuart: Anyway, I was just wondering if you had any last-minute advice.

Leonard: All right, well, off the top of my head, I think the most important thing with Penny is to go really slow. I mean, glacial.

Stuart: Okay.

Leonard: You know, guys come onto her all the time, so, you need to, like, set yourself apart. You know, be a little shy, don’t make too much eye contact. And, you know, treat her with, like, cool detachment and, and, and, you know, fear.

Stuart: Fear?

Leonard: Yeah, like, you’re afraid that if you touch her, she’ll break.

Stuart: Well, that plays right into my wheelhouse.

Leonard: Good, good. Well, you kids have fun tonight.

Stuart: Thanks, Leonard. What is that thing anyway?

Howard: You don’t know what this is?

Stuart: No.

Howard: Good. Get out.

Raj: Be afraid of Penny, nice, very crafty.

Leonard: It wasn’t bad advice. It just wasn’t particularly helpful.

Sheldon: For what it’s worth, my mother says that when we deceive for personal gain, we make Jesus cry.

Scene: Later.

Sheldon: All right, what if we use this two-inch PVC to reinforce the centre cross-support?

Howard: No good. I mean, it might work for the Japanese and the Americans, but have you seen the size of the Russians they got up there? This thing has to hold up against a hearty potato-based diet.

Leonard: I feel terrible.

Howard: Maybe if you were helping, you’d feel better about yourself.

Leonard: I deliberately tried to sabotage Stuart’s date with Penny.

Raj: Of course you feel terrible. You completely screwed up your karma, dude.

Sheldon: You don’t really believe in that superstition, do you?

Raj: It’s not superstition. It’s practically Newtonian. For every action, there’s an equal and opposite reaction. Leonard pretends to be a friend and acts like a two-faced bitch, therefore, he is reborn as a banana slug. It’s actually a very elegant system, you know, what goes around comes around.

Howard: Speaking of what goes around comes around…

Raj: Okay, look. Instead of trying to reinforce this structure here, what if we just ran another line, bypass it entirely?

Sheldon: It won’t work. The diameter of the tubing is insufficient.

Raj: What if we reposition the collection tank?

Sheldon: It won’t work. No way to mount it.

Howard: Okay, here’s an idea. What if I change my name and go live with my cousin and her husband Avi in Israel?

Sheldon: That could work.

Scene: Outside Penny’s door. Leonard knocks, Penny answers in her dressing gown.

Leonard: Morning.

Penny: Morning. What’s up?

Leonard: Nothing. We just pulled an all-nighter trying to fix a zero-gravity… pasta maker. I’m gonna make a coffee run. Do you want any?

Penny: Oh, no, thanks. I have coffee.

Leonard: Great. So how’d it go with Stuart last night?

Penny: I really don’t want to talk about it.

Leonard: Yeah. Right. Sure. The thing is, before you guys went out, I spoke to him and…

Penny: I said I don’t want to talk about it.

Leonard: Okay… I just… I kind of…

Penny: Look, Leonard, what goes on between me and Stuart is none of your business. So just leave it alone, okay?

Raj: If you really want to clean up your karma, go get my freakin’ latte.

Scene: The apartment.

Howard: Hang on, I think I’ve got this. Help me see if we can wedge this little piece of PVC behind the support rod.

Sheldon: You’re overestimating the tensile strength of the substructure you’re building.

Howard: Sheldon, I know what I’m doing.

Sheldon: If you knew what you were doing, there wouldn’t be a space toilet where my coffee table should be.

Raj: Howard, wait. Why don’t you use this instead of the PVC to keep the transverse filter assembly in place?

Howard: Because this is not a spare part from the space station. This is the thing from the pizza box that keeps the lid from touching the cheese.

Raj: That what that’s for? In India, the lid just touches the cheese. Of course, we also have rampant poverty and periodic outbreaks of cholera, so a little cardboard in our cheese is no biggie.

Howard: Where are you going?

Leonard: Comic book store.

Sheldon: Oh, an excellent idea! I could certainly use a break.

Raj: Me, too.

Howard: Hold on, you can go to the comic book store when man can once again safely poop in space.

Sheldon: Why does Leonard get to go?

Leonard: ‘Cause he’s upset over his situation with Penny and if I have to hear about it again, I’m going to kick him in his ovaries.

Leonard: Thanks for understanding, Howard.

Howard: I got your back, sister. All right, I think we’ve got a prototype ready to test. Hand me that Tupperware.

Raj: Wow, that’s heavy.

Howard: Damn right it’s heavy, it’s my mother’s meat loaf, it’s been testing toilets for generations.

Sheldon: I must say, Howard, I think a detailed letter to MIT describing your current circumstances might entitle you to a refund on your master’s degree.

Howard: Okay, simulated zero-gravity human waste disposal test with meat loaf analog in three, two, one. (Switches flush. Meatloaf hits ceiling.)

Sheldon: Fascinating.

Raj: What do you think the problem is?

Howard: Not enough bread crumbs.

Scene: The comic book store.

Leonard: Hey, Stuart, I need to talk to you.

Stuart: Sure, what’s up?

Leonard: I think I gave you bad advice about Penny, and I want to apologize.

Stuart: No, your advice was great.

Leonard: It was?

Stuart: Yeah, going slow really worked.

Leonard: You’re kidding. Never worked for me.

Stuart: Yeah, last night at dinner, I did what you told me, I went really slow, I kept my distance, and two bottles of wine later, we were making out in my car.

Leonard: Wine? I didn’t say to give her wine.

Stuart: It doesn’t matter, that’s where it all went to hell.

Leonard: During the kissing? What did you do, sneeze in her mouth? I did that to a girl once.

Stuart: No, everything was good and really hot, and I said “Oh, Penny,” and right where she was supposed to say, “Oh, Stuart,” she said… your name.

Leonard: Leonard?

Stuart: That is your name, right?

Leonard: Yeah, no, yeah, wow, I’m sorry. That must’ve been the last thing you wanted to hear.

Stuart: Well, it beats you know I’m a dude, right? Yeah, it was pretty bad.

Leonard: No doubt, no doubt. Okay, well, I’m sorry it didn’t work out.

Stuart: Not your fault.

Leonard: Yeah, how about that? See you soon.

Stuart: Yeah, sure.

Scene: The apartment. Howard is on the phone.

 

Howard: Yes, sir, I understand classified. We’ll keep it all classified, no one has to know but you and me.

Penny: What’s classified?

Leonard: Howard’s space toilet. I’ll tell you later.

Howard: Well, they’ve deployed our solution. Let’s just all hope it works.

Sheldon: I don’t see why I have to worry. My career’s not hanging in the balance. That was a joke. It’s funny, because it’s true.

Penny: Leonard, could you pass the soy sauce, please?

Leonard: I’m sorry, were you talking to me?

Penny: Yeah, I said Leonard.

Leonard: Yes, you did, didn’t you?

Penny: What the hell is that?

Howard: Meatloaf.

Leonard: What was it doing on the ceiling?

Howard: That’s classified.

Scene: The International Space Station.

Voice: Houston, International Space Station. We have a little situation up here. We’d like to make an unscheduled space walk.

Houston: ISS, Houston. Which crew members would be involved in this E.V.A.?

ISS voice: Houston, we’d all like to step outside for a few minutes.

Houston: ISS, I’m afraid we can’t authorize that.

ISS voice: Uh, Houston, this is more of an FYI call. We are basically out the door.

Source : Big Bang Theory Transcript

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