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#215 : La mère de Léonard

Saison 2, épisode 15 de The Big Bang Theory 

Résumé : Pour noyer leur désespoir Penny et Leonard se tournent vers une soirée téquila, et vers eux-même pour du réconfort. La mère de Leonard arrive en ville.

Popularité


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Titre VO
The Maternal Capacitance

Titre VF
La mère de Léonard

Première diffusion
09.02.2009

Première diffusion en France
30.05.2009

Vidéos

Visite de la mère de Leonard

Visite de la mère de Leonard

  

Duo d'enfer

Duo d'enfer

  

Plus de détails

Scénario : Chuck Lorre, Steven Molaro, Richard Rosenstock & Bill Prady
Réalisation : Mark Cendrowski

Howard, Raj et Sheldon sont en plein concert dans l'appartement et Raj chante au micro. Il se stoppe immédiatement à la vue de Penny. Leonard les rejoint dans le salon mais il est au téléphone. Ils essaient tous de deviner qui est l'interlocuteur et le sujet de la conversation. A la fin de l'appel, Leonard annonce que sa mère vient leur rendre visite.

Penny remonte de la buanderie et croise une femme dans le hall. Elle l'accoste en indiquant que l'ascenseur ne fonctionne plus. Penny déduit du discours qu'elle entend qu'elle est la mère de lLeonard et se présente. Elle l'invite à la suivre pour l'accompagner à l'appartement des garçons. Les 2 femmes discutent tout en montant les escaliers et Penny se rappelle alors que la mère de Leonard est psychiatre. Douée dans son travail, elle arrive à pousser Penny à parler de son enfance. Même bouleversée par cette discussion, Penny frappe à la porte de Leonard afin de le prévenir que sa mère est arrivée.

Beverly Hofstadter et Sheldon sont assis sur le canapé et Leonard apporte un thé à sa mère. Très exigeante, elle le renvoie à la cuisine. Sheldon lui dit qu'il a le même problème avec Leonard et qu'il pense que c'est dû à un manque de concentration. La conversation dévie très vite sur les rapports intimes des parents de Leonard. Ce dernier ouvre la conversation en prenant des nouvelles de sa mère mais toujours aussi hautaine elle répond vaguement et quitte la pièce. Sheldon est fasciné par cette femme et envie Leonard d'avoir une mère comme elle tout contrairement à Leonard qui aurait préféré avoir une mère comme celle de Sheldon.

Les garçons accompagnés de Mme Hofstadter sont à la caféterie de l'université. Howard met dans l'embarras son ami en parlant à Mme Hofstadter des carrières du frêre et de la soeur de Leonard. Sheldon découvre alors qu'ils ont tous les 2 mieux réussis leur carrière de leur ami et tous les 3 se moquent de lui. Pour se vanger, au retour de sa mère, Leonard lui indique que Howard vit toujours chez sa mère et que Raj est muet devant les femmes. Par déformations professionnelles, elle donne les raisons de leur style de vie et indique qu'il est tout à fait normal qu'ils soient un couple homosexuel. Leonard jubile.
Cependant sa mère change de sujet et indique qu'il devait lui montrer son labo à 13h. Et Sheldon l'imite parfaitement. En l'amenant, la mère de Leonard continue à nouveau de rabaisser son fils. Pendant ce temps, Raj et Howard se disputent comme un vrai couple.

Leonard cherche du réconfort auprès de Penny qui est ravie de passer un moment avec lui après ce que sa mère lui a fait subir. Ils sont tellement déprimés par Mme Hofstadter qu'ils se noient dans l'alcool tous les 2. Penny lui raconte qu'elle a auditionné pour un rôle ce matin mais quel intêret ? Pour avoir l'approbation de son père ? Attristée, elle ajoute qu'elle n'a pas eu le rôle. Leonard tente de la réconforter en lui disant qu'à 10 ans il a inventé une machine à calins pour combler le manque d'amour de ses parents. La belle est encore plus triste. Mais Leonard lui dit que le plus triste en réalité était que son père lui avait emprunté.

Sheldon et Mme Hofstadter reviennent à l'appartement après avoir fait subir à Sheldon un scan cérébral. Sheldon est en adoration en regardant ses propres photos et souhaiterait voir celles de Mme Hofstadter. Elle remarque que le jeune homme la flatte et il s'excuse en disant que cela est dû au fait qu'il passe trop de temps avec Leonard.
Les 2 jeunes gens sont surpris de voir qu'ils sont très à l'aise l'un avec l'autre.

Penny et Leonard continuent à se souler. Penny demande à Leonard de lecher le sel dans son cou, boire le shot et mordre dans le citron. Il s'éxécute mais s'attarde sur le cou de Penny. Elle le rappelle à l'ordre et il boit immédiatement le verre. En découvrant le citron dans la bouche de Penny, ils le partagent et continuent de s'embrasser.

Sheldon et Mme Hofstadter sont assis sur le canapé et discutent. Pendant que Penny et Leonard batifolent dans la chambre de celle-ci. Mais surexcité, Leonard gache tout en faisant une remarque sur la situation. Vexée, elle le met dehors. En rentrant, Leonard surprend sa mère en train de chanter avec Sheldon.

Mme Hofstadter repart et dit au revoir à son fils sur le palier. Après un pseudo calin, ils apercoivent Penny quitter son appartement. Leonard et Penny décident de ne jamais parler de ce qui s'est passé la veille. Elle et Mme Hofstadter descendent ensemble et en un rien de temps Penny est en larme en train de parler d'une histoire avec sa mère. Mme Hofstadter propose même à Penny de venir dans le New Jersay afin d'y faire un scanner.

                L’appartement de Leonard et Sheldon. Les gars jouent à Rock Band. Ils jouent « Under the bridge » des Red Hot Chili Peppers. Ils jouent très fort.

 

Penny : Les gars, s’il vous plaît.

Howard : Penny, viens, nous venons de trouver notre son.

Penny : Vous l’avez trouvé. C’est le son d’un chat qui passe sous une tondeuse à gazon.

Leonard (entrant et au téléphone) : Je suis vraiment très occupé. Pourrait-on faire ça plus tard, quand j’aurais plus de temps ? Bien sûr. Mais vous comprendrez mon anxiété.

Penny : C’est quoi cette histoire ?

Howard : Aucune idée.

Leonard : On peut pas le reporter jusqu’au printemps ? Peut-être l’été prochain ?

Sheldon : On devrait le deviner facilement. Il tient le téléphone à son oreille gauche. C’est son hémisphère gauche, il utilise donc le côté analytique et non le côté émotionnel du cerveau, donc ce n’est pas personnel.

Leonard : Je n’avais pas réalisé que ça faisait si longtemps. Je crois qu’on n’a pas d’autre choix que de le faire maintenant.

Sheldon : Il a déjà pratiqué cette activité. C’est désagréable, mais il doit la refaire. On pourrait penser à un examen médical invasif, par exemple, une coloscopie.

Leonard : Il n’y a pas d’alternative ? Il y a peu de place. Ce ne sera pas très confortable.

Sheldon : oui, oui, je maintins la coloscopie.

Leonard : D’accord, au revoir. Ma mère vient me rendre visite.

Howard : Tiens donc, tu avais raison.

Générique.

 

                Le hall d’entrée. Penny trouve une femme qui observe l’ascenseur.

Penny : Il est en panne.

Femme : Oui, je peux lire le panneau, mais j’en pondère les conséquences.

Penny : Je crois que ça implique que l’ascenseur ne marche pas.

Femme : Encore une fois, je sais lire. Mais il est couvert de poussière, ce qui implique que l’ascenseur ne fonctionne plus depuis une durée significative. Ce qui suggère soit une passivité remarquable des 24 à 36 habitants de cet immeuble, d’après le nombre de boîtes aux lettres et la densité moyenne en zone urbaine, soit une illusion partagée de fonctionnalité.

Penny : Vous devez être la mère de Leonard.

Mère de Leonard : Oh, j’ignore si c’est une obligation, mais oui.

Penny : Euh, je suis Penny. Je suis une voisine.

Mère de Leonard : Et moi, le Dr Beverley Hofstadter.

Penny : Oh, ravie de vous rencontrer.

Beverly : Oh, vous êtes du genre à serrer la main. Intéressant.

Penny : Euh, pourquoi ne pas venir avec moi, je vais vous conduire à l’appartement.

Beverly : Oh, très bien. Souhaitez-vous échanger des banalités sur le chemin ?

Penny : Oui, bien sûr, je suppose.

Beverly : Très bien, vous commencez.

Penny : Très bien. Je me demande comment était Leonard, quand il était petit ?

Beverly : Oh, je pense que vous voulez dire jeune. Il a toujours été petit.

Penny : D’accord. Quand il était jeune ?

Beverly : Il va falloir être plus précise.

Penny : Oh, euh, ok, vers 5 ou 6 ans. A 5 ans.

Beverly : A cet âge, i était en proie à ce que Freud appelle « le  stade phallique du développement psychosexuel. » Cette théorie est dépassée, mais le petit passait la plupart de ses heures éveillées à agripper son pénis.

Penny : Ouais, Leonard m’a dit que vous étiez psychiatre.

Beverly : Eh bien, c’est l’un de mes diplômes. Ma spécialité est la neuroscience.

Penny : Oh, eh bien, moi je suis une actrice.

Beverly : Pourquoi ?

Penny : Que voulez-vous dire ?

Beverly : Eh bien, selon certaines études, quand on choisit les arts de la scène, on souffre souvent d’une projection de l’identité

Penny : Ouais, je ne sais pas ce que ça veut dire.

Beverly : Eh bien, cela signifie que vous vous valorisez seulement quand d’autres le font. C’est souvent dû à une insatisfaction des besoins affectifs durant l’enfance.

Penny : Oh, eh bien, j’ai eu une enfance merveilleuse.

Beverly : Dites-m’en plus.

Penny : Je sais que mon père voulait un garçon. J’ai essayé d’être forte en sport, mais je déteste me salir !

Beverly : J’imagine qu’après, vous êtes entrée dans l’adolescence.

Penny : Il m’appelait La Brute jusqu’à mon premier soutien-gorge. Et là, il a arrêté de jouer à la balle avec moi. E n’étais plus La Brute. Ta mère est là !

Beverly : Pour avoir des relations sexuelles avec elle, trouve qu’elle eau de Cologne mettait son père.

Leonard : Content de vous voir, mère.

                L’appartement de Leonard et Sheldon.

Leonard : Votre thé, mère.

Beverly : Oolong ?

Leonard: Oui.

Beverly: En vrac, pas en sac?

Leonard : Oui.

Beverly : Infusé 3 minutes ?

Leonard: Oui.

Beverly: Lait écrémé?

Leonard: Oui.

Beverly: Chauffé séparément?

Leonard : Oui.

Beverly : Une cuillère de sucre ?

Leonard : Oui.

Beverly : Sucre brun ?

Leonard: Oui.

Beverly: C’est froid.

Leonard: Je vais recommencer.

Sheldon: J’ai le même problème avec lui. Je pense que son manque de concentration provient d’une libido surdéveloppée.

Beverly : Je ne vois pas de qui il en aurait hérité. En dehors de la consommation formelle de notre mariage, son père et moi n’avons eu de rapport que dans le but de la reproduction.

Sheldon : Ca semble un très bon compromis.

Beverly : Oui, on le pense. On a tous les deux publié à ce sujet. Moi, du point de vue neuroscientifique, et lui du point de vue anthropologique. Le mien est évidemment le seul qui mérite d’être lu.

Sheldon : Bien sûr. J’aimerais beaucoup en lire plus sur votre vie sexuelle.

Beverly : Vous pouvez le commander en ligne. Presses de l’Université de Princeton.

Leonard : Voilà votre thé, mère. Alors, vous parlez de quoi ?

Sheldon : De la fréquence des rapports sexuels de tes parents.

Leonard : Super. Avec de la chance, tu verras la présentation PowerPoint.

Beverly : Désolée, c’est sur mon autre ordinateur.

Sheldon : Aaawww.

Leonard : Alors mère, quoi de neuf ?

Beverly : Tu dois être plus précis.

Leonard : Très bien. Euh, quoi de neuf vous concernant ?

Beverly : Oh, eh bien, en ce moment, j’ai de fascinants symptômes de ménopause.

Leonard : Peut-être quelque chose de moins personnel.

Beverly : Oh. Ton oncle Floyd est mort.

Leonard : Mon Dieu, que s’est-il passé ?

Beverly : Son cœur s’est arrêté de battre. Je dois uriner.

Sheldon : Quelle femme remarquable !

Leonard : Ouais, je me doutais que vous vous entendriez bien.

Sheldon : J’envie ton enfance.

Leonard : Désolé, mais mes seuls bons souvenirs d’enfance sont avec mon oncle Floyd.

Sheldon : Tu as forcément oublié. Ta mère est intelligente, analytique et perspicace. Elle ne devait pas te taper avec une bible pour que tu manges tes choux de Bruxelles.

Leonard : Sheldon, t’es trop dur avec ta mère. Elle est chaleureuse, aimante, elle te collait pas des électrodes sur la tête pour mesurer tes ondes cérébrales quand t’étais sur le pot.

Sheldon : Quel chanceux ! Quand j’étais enfant, si je voulais un ECG, je devais poser moi-même les électrodes.

                La cafétéria de l’université.

Howard : Alors, Dr Hofstadter, Leonard parle peu de la réussite exceptionnelle de son frère et sa sœur.

Leonard : S’il te plaît, ne fais pas ça, Howard.

Howard : Il me semble que, contrairement à Leonard, ils sont au sommet de leurs spécialités.

Leonard : Tu fais chier.

Beverly : Eh bien, le petit frère de Leonard, Michael, a une chair de professeur à Harvard, et sa sœur vient de réussir à implanter un pancréas humain chez un jeune gibbon.

Howard : Donc elle est sur le point de guérir le diabète ?

Beverly : Sinon, pour quelle raison ferait-elle ça ?

Howard : Wow, vous devez être fière.

Beverly : Pourquoi ? Ce n’est pas ma réussite. Je dois uriner.

Leonard : Pourquoi tu fais ça ?

Howard : Tu connais la règle. Tu as amené ta mère au boulot, tu dois souffrir.

Sheldon : Leonard, j’ignorais que ton frère et ta sœur avaient beaucoup mieux réussi que toi.

Raj : Oui, tu es le Jar Jar Binks de la famille Hofstadter.

Howard : Oh, missa pense que tissa as l’air très triste.

Leonard : Vous savez, au lieu de vous moquer de moi, de vrais amis devraient m’aider dans ce moment difficile.

Raj : Non, se moquer, c’est plus drôle.

Howard : La prochaine fois, tissa pas amener maman au travail. Compris ?

Leonard : Ce fut rapide.

Beverly : Les WC du milieu étaient occupés. Je vais devoir essayer plus tard.

Sheldon : Parfaitement compréhensible. Pour uriner, comme dans l’immobilier, ce qui compte, c’est l’emplacement.

Beverly : Alors, nous disions ?

Leonard : Howard vit avec sa mère et Raj ne parle aux femmes que s’il est soûl. Vas-y.

Beverly : C’est fascinant. Le mutisme sélectif est peu répandu. Par contre, un homme juif chez sa mère est tellement répandu que cela frise le cliché sociologique.

Howard : C’est temporaire. Je lui paie un loyer.

Leonard : C’est dans la chambre où se trouvait son couffin.

Beverly : Vous savez, le mutisme sélectif et l’incapacité de se séparer de sa mère peuvent venir d’une peur pathologique des femmes. Ca expliquerait pourquoi vous avez créé un ersatz de mariage homosexuel afin de satisfaire votre besoin d’intimité.

Howard : Pardon ? (Raj chuchote à l’oreille d’Howard). C’est ce que je viens de dire.

Leonard : T’as amené ton mari au boulot. Tu connais les règles. Missa pense que voussa a  l’air triste maintenant, vraissa ?

Beverly : Leonard, il est 13 h. tu devais me montrer ton laboratoire à 13 h.

Leonard : Pas d’urgence, mère. Parlez-nous de leur amour secret.

Beverly : Mais il est 13 h et tu devais me montrer ton laboratoire à 13 h.

Sheldon : Son raisonnement est sans faille. Il est 13 h.

Leonard : Bien. Allons-y. je pense que mon travail va vous intéresser. Je tente de répliquer le signal de la matière noire trouvée dans l’iodure de sodium par les Italiens.

Beverly : Donc, pas de recherche originale ?

Leonard : Non.

Beverly : Pourquoi voudrais-je le voir ? Autant lire l’article des Italiens.

Howard : Pour information, on est pas dans un ersatz de relation homosexuelle.

Raj : Eh bien, pourquoi tu lui as pas dit ?

Howard : Pourquoi je dois toujours tout faire ?

Raj : C’est faux. Tu me refais la même scène qu’au magasin de BD la semaine dernière.

Howard : J’arrive pas à croire que tu en reparles.

Raj : C’est toi qui en as reparlé.

Howard : On en discutera plus tard.

Raj : Tu dis toujours ça, mais on le fait jamais.

Sheldon : Vous êtes allé au magasin de BD sans moi ?

                Devant la porte de Penny.

Penny : Hey.

Leonard : T’as de l’alcool ?

Penny : Ta mère est encor là ?

Leonard : Oui.

Penny : Entre. Attends, elle ne va pas venir te chercher ici, hein ?

Leonard : Oh, détends-toi. Elle a emmené Sheldon faire un scanner du cerveau.

Penny : Oh, mon Dieu, que lui est-il arrivé ?

Leonard : Rien. Ma mère aime regarder les cerveaux et Sheldon aime faire des scanners.

Penny : Ces deux là font la paire.

Leonard : Elle est là depuis un jour et demi et j’envisage déjà de sombrer dans l’alcoolisme.

Penny : Hé, je lui ai parlé 5 minutes hier et je suis à moitié bourrée depuis.

Leonard : La laisse pas infiltrer dans ta tête.

Penny : Ma tête, et la tienne ?

Leonard : Trop tard pour moi. Ma tête est sa résidence secondaire.

Penny : Elle a raison, tu sais. Je projette totalement mon identité.

Leonard : Je la vois. Salut, mère.

Penny : Tu sais ce que j’ai fait ce matin ? Une audition avec 50 autres blondes pour une pub d’antidépresseurs. Et pour quoi ? Pour avoir l’approbation de mon père ?

Leonard : T’as eu le rôle ?

Penny : Non. J’étais trop guillerette.

Leonard : Tu veux parler du manque d’amour de ses parents ? Tu sais ce que je faisais, petit, pour ressentir un contact humain ?

Penny : Oui, tu t’agrippais à ton pénis. C’est ta mère qui me l’as dit.

Leonard : Bien sûr. Mais c’est pas ce que j’allais dire. A dix ans, j’ai construit une machine à câlins.

Penny : Une machine à câlins ?

Leonard : Oui, j’ai pris un mannequin, mis une couverture électrique dedans pour qu’il soit chaud, et j’ai construit 2 bras télécommandés pour me serrer et me tapoter le dos.

Penny : Oh, c’est tellement triste.

Leonard : Tu sais le plus triste ?

Penny : Quoi ?

Leonard : Mon père me l’empruntait.

                La cage d’escalier.

Beverly : Votre scanner cérébral sera très utile à mes recherches. Vous avez un cerveau remarquable.

Sheldon : Je sais. Mais j’ai toujours détesté mon lobe frontal droit sur les photos.

Beverly : Plainte habituelle chez les hommes. Rien n’est jamais assez gros. Sauf quand ils ont une tumeur. Là, ils vous le rabâchent sans cesse.

Sheldon : J’adorerais voir un scanner de votre cerveau un jour.

Beverly : Oh, je vous enverrai un lien, mais sa physiologie est quelconque.

Sheldon : Oh, je n’en crois pas un mot.

Beverly : Votre refus d’accepter une preuve empirique suggère une tentative de flatterie.

Sheldon : Mes excuses. Je vis avec votre fils depuis longtemps. J’ai pris de mauvaises habitudes.

Beverly : Compréhensible.

Sheldon : Puis-je vous faire une tasse de thé ?

Beverly : J’en doute, mais si quelqu’un a une chance, c’est sûrement vous.

Sheldon : Je me sens très à l’aise avec vous.

Beverly : Moi aussi, je me sens très à l’aise avec vous.

Sheldon : C’est surprenant, parce que d’habitude, je ne me sens à l’aise avec personne.

Beverly : Moi non plus.

Sheldon : Quelle est la probabilité que deux individus aussi uniques que nous soient reliés par quelqu’un d’aussi comparativement ordinaire que votre fils ?

Beverly : Est-ce une question rhétorique ou voulez-vous faire le calcul ?

Sheldon : Je voudrais faire le calcul.

Beverly : J’aimerais ça aussi.

                L’appartement de Penny. Leonard et Penny boivent de la tequila.

Penny : Bon, cette fois…

Leonard : Hum, hum.

Penny : Tu vas lécher le sel sur mon cou, boire le shot, et ensuite, mordre le citron.

Leonard : Désolé, j’ai rien entendu après « lécher ».

Penny : Cou, shot, citron. Shot, citron.

Leonard: Ah oui. Où est le citron? Oh, ok, on partage.

                L’appartement de Leonard et Sheldon.

Sheldon : Alors, qu’en dites-vous ?

Beverly : Je suis très tentée. Mais j’ignore si c’est approprié, avec le colocataire de mon fils.

Sheldon : Normalement, je penserais pareil. Mais en me basant sur toutes mes observations, je ne peux m’empêcher de spéculer que nous serions bons, ensemble.

Beverly : C’est vrai. J’ai fait une observation similaire. Je ne pourrais certainement pas faire ça avec mon mari.

Sheldon : J’étais hésitant la première fois que j’ai essayé, mais j’ai connu une libération d’endorphines inattendue et remarquable. C’est très satisfaisant.

Beverly : Je vois ce que vous faites. Vous faites appel à la neuroscientifique qui est en moi.

Sheldon : Vous lisez en moi comme dans un livre ouvert.

Beverly : Uniquement vos scanners.

                La chambre de Penny. Leonard et Penny sont au lit.

Leonard : Ca va enfin arriver !

Penny : Chéri, chut, chut, chut …

Leonard: Tais-toi toi-même, je suis heureux. J’ai envie d’en parler. Tu sais, ma mère dirait que comme ton père ne t’aimait pas et que ma mère ne m’aimait pas, le sexe est notre façon de compenser l’absence d’intimité de notre enfance.

Penny : Pourquoi tu me sors ça maintenant ?

Leonard : Je ne sais pas. Préliminaires ?

Penny : Donc, selon toi, tu ne couches pas avec moi, mais avec ta mère ?

Leonard : Hum, je vais répondre non.

Penny : J’ai jamais rien entendu d’aussi tordu.

Leonard : Allez, t’essaie de coucher avec ton père et ça me dérange pas, moi.

                La porte d’entrée de Penny.

Penny : Dégage !

Leonard : Elle a dit chut. J’aurais dû me taire. (Il entre dans l’appartement. Beverly et Sheldon chantent « Any Way You Want It » sur Rock Star).

                Le palier.

Leonard: Très bien, mère. Bon vol.

Beverly : Ce n’est pas vraiment de mon ressort.

Penny :Oh, bonjour.

Leonard : Bonjour.

Penny : Ecoute, je venais te parler.

Leonard : Tu n’es pas obligée de le faire. Jamais.

Penny : Ca marche.

Leonard : Au revoir, mère.

Beverly : Au revoir, Leonard. Alors, La Brute, reprenons où nous nous étions arrêtées.

Penny (en larmes) : Je veux dire, ma mère aurait pu dire, « Bob faut que tu t’en remettes, c’est une fille. » Mais non, pas un mot.

Beverly : Intéressant. Voudriez-vous aller dans le New Jersey et discuter de vos parents pendant un scanner cérébral ?

Penny : Ca aiderait ?

Beverly : Eh bien, ça m’aiderait moi.

 

Fin de l’épisode.

Scene: The apartment. The guys are playing Rock Band. Sheldon is on guitar, Howard drums and Raj singing. They are performing the Red Hot Chili Peppers “Under the Bridge”. As Raj gets into the song, Penny enters and his singing turns into a squawk.

Penny: Fellas, please.

Howard: Penny, come on, we were just finding our sound.

Penny: You found it. It’s the sound of a cat being run over by a lawn mower.

Leonard (entering on the phone): I’m really very busy. Is there any way that we can put this off until I have more time to prepare? Of course. But, uh, you understand my trepidation.

Penny: What’s that about?

Howard: Not a clue.

Leonard: Can’t we just postpone it till the spring? Maybe next summer?

Sheldon: This should be fairly easy to deduce. He’s holding the phone to his left ear. Ears do not cross hemispheres, so he’s using the analytical rather than the emotional side of the brain, suggesting that he has no personal relationship with the caller.

Leonard: No, I didn’t realize it had been so long. Sure, I guess there’s no other choice but to just go ahead and do it.

Sheldon: He’s referring to an activity he has done before. It’s unpleasant and needs to be repeated. This suggests some sort of invasive medical test, like perhaps a colonoscopy.

Leonard: Aren’t there any other options? There’s not a lot of room, it’s gonna be uncomfortable.

Sheldon: Yes, yes. Yeah, I’m definitely going with colonoscopy.

Leonard: Okay, bye. My mother’s coming to visit.

Howard: How about that, you were right.

Credits sequence.

Scene: The lobby. Penny finds a woman studying the lift.

Penny: It’s out of order.

Woman: Yes, I can read the sign, I’m just pondering the implications.

Penny: I think it implies that the elevator doesn’t work.

Woman: Again, I can read the sign. But the sign and the tape are covered with a layer of dust, which indicates that the elevator has been non-functional for a significant amount of time. Which suggests either a remarkable passivity among the, I assume, 24 to 36 residents of this building based on the number of mailboxes and given typical urban population density or a shared delusion of functionality.

Penny: You must be Leonard’s mother.

Leonard’s Mother: Oh, I don’t know if I must be, but yes.

Penny: Uh, I’m Penny. I’m his neighbour.

Leonard’s Mother: Oh, Dr. Beverley Hofstadter.

Penny: Oh, nice to meet you.

Beverley: Oh, you’re a hand shaker. Interesting.

Penny: Uh, why don’t you come with me. I’ll walk you to the apartment.

Beverley: Oh, all right. Would you like to exchange pleasantries on the way?

Penny: Yeah, sure, I guess.

Beverley: All right, you start.

Penny: Okay. You know, I’ve always been curious. What was Leonard like when he was little?

Beverley: Oh, I think you mean young. He’s always been little.

Penny: Right, okay. What was he like when he was young?

Beverley: You’ll have to be more specific.

Penny: Oh, um, okay, like, five or six. Five.

Beverley: Oh, well, at that age he was well enmeshed in what Freud would call the phallic stage of psychosexual development. An outmoded theory, of course, but the boy did spend most of his waking hours with a tight grasp on his penis.

Penny: Yeah, Leonard mentioned you were a psychiatrist.

Beverley: Well, that is one of my degrees. My primary field is neuroscience.

Penny: Oh, well, I’m an actress.

Beverley: Why?

Penny: What do you mean why?

Beverley: Well, there are studies that suggest that many who go into the performing arts suffer from an external locus of identity.

Penny: Yeah, I don’t know what that means.

Beverley: Well, it means you value yourself only as others value you, which is often the result of unmet childhood emotional needs.

Penny: Oh, well, I had a wonderful childhood.

Beverley: Tell me about it.

Slight time shift.

Penny: I know my dad wanted a boy. I just, I tried being good at sports, but I hated getting dirty!

Beverley: And then, I’m assuming, you entered adolescence.

Penny: Uh-huh, he called me Slugger until I got my first training bra, and then he just stopped playing catch with me. I wasn’t Slugger anymore. Your mother’s here!

Beverley: If you want to have intercourse with that girl, find out what kind of cologne her father wore.

Leonard: Good to see you, Mother.

Scene: The apartment.

Leonard: Here’s your tea, Mother.

Beverley: Oolong?

Leonard: Yes.

Beverley: Loose, not bagged?

Leonard: Yes.

Beverley: Steeped three minutes?

Leonard: Yes.

Beverley: Two-percent milk?

Leonard: Yes.

Beverley: Warmed separately?

Leonard: Yes.

Beverley: One teaspoon sugar?

Leonard: Yes.

Beverley: Raw sugar?

Leonard: Yes.

Beverley: It’s cold.

Leonard: I’ll start again.

Sheldon: I have the same problem with him. My theory is that his lack of focus stems from an over-developed sex drive.

Beverley:  Oh, I don’t know where he would’ve gotten that. Aside from a pro forma consummation of our marriage, his father and I only had intercourse for the purposes of reproduction.

Sheldon: That seems a fairly efficient arrangement.

Beverley: Yes, we think so. We’ve both done papers on it. Mine from the neuroscientific point of view and his from an anthropological. Mine, of course, was the only one worth reading.

Sheldon: Of course. I would very much like to read about your sex life.

Beverley: Well, it’s all online or you can order it from the Princeton University Press.

Leonard: Here’s your tea, Mother. So, what are you guys talking about?

Sheldon: The frequency with which your parents had intercourse.

Leonard: Swell. If you’re lucky, maybe she’ll show you the PowerPoint presentation.

Beverley: I’m sorry, it’s on my other laptop.

Sheldon: Aw…

Leonard: So, Mother, what’s new?

Beverley: You’ll have to be more specific.

Leonard: All right. Uh, what’s new with you?

Beverley: Oh, well, I’ve been having some fascinating menopausal symptoms recently.

Leonard: Maybe something less personal.

Beverley: Oh. Your Uncle Floyd died.

Leonard: Oh, my God. What happened?

Beverley: His heart stopped beating. I have to urinate.

Sheldon: What a remarkable woman.

Leonard: Yeah I, I thought you guys might hit it off.

Sheldon: I envy you your childhood.

Leonard: I hate to tell you, but the only warm memories I have of my childhood are of my Uncle Floyd.

Sheldon: You’re clearly misremembering. Your mother is brilliant, analytical, insightful, and I’m betting she never hit you with a Bible because you wouldn’t eat your Brussels sprouts.

Leonard: Sheldon, you don’t give your mother enough credit. She’s warm, she’s loving, she doesn’t glue electrodes to your head to measure your brain waves while potty training.

Sheldon: You were lucky. When I was a kid, if I wanted an EEG, I had to attach my own electrodes.

Scene: The university cafeteria.

Howard: So, Dr. Hofstadter, Leonard rarely talks about his incredibly successful brother and sister.

Leonard: Please, don’t go there, Howard.

Howard: I understand that unlike Leonard, they’re at the top of their respective fields.

Leonard: Boy, you suck.

Beverley: Well, Leonard’s younger brother, Michael, is a tenured law professor at Harvard, and his sister just successfully grew a human pancreas in an adolescent gibbon.

Howard: So, she’s close to curing diabetes?

Beverley: Why else would you grow a pancreas in a teenaged gibbon?

Howard: Wow, you must be very proud.

Beverley: Why? They’re not my accomplishments. I have to urinate.

Leonard: Why are you doing this?

Howard: You know the rules. You brought your mom to work, you must suffer.

Sheldon: Leonard, I had no idea your siblings were so much more successful than you.

Raj: Yeah, you’re like the Jar Jar Binks of the Hofstadter family.

Howard: Oh, meesa think yousa lookin’ so so sad.

Leonard: You know, rather than mock me, my friends might realize that this is difficult and try to help me through it.

Raj: Nope, I think mocking you is more fun.

Howard: Next time, don’t yousa bring mama to work. Okee-day?

Leonard: That was fast.

Beverley: Oh, the middle stall was occupied. I’ll have to try again later.

Sheldon: It’s totally understandable. In bladder voiding, as in real estate, it’s location, location, location.

Beverley: So, where were we?

Leonard: Howard lives with his mother and Raj can’t speak to women unless he’s drunk. Go.

Beverley: That’s fascinating. Selective mutism is quite rare. On the other hand, an adult Jewish male living with his mother is so common it borders on sociological cliché.

Howard: It’s just temporary, I pay rent.

Leonard: He lives in the same room where his bassinet was.

Beverley: You know, both selective mutism and an inability to separate from one’s mother can stem from a pathological fear of women. It might explain why the two of you have created an ersatz homosexual marriage to satisfy your need for intimacy.

Howard: Say what? (Raj whispers in his ear) That’s basically what I just said.

Leonard: You brought your husband to work, you know the rules. Meesa thinking yousa looking pretty sad now too, betcha, betcha.

Beverley: Leonard, it’s one o’clock, weren’t you going to show me your laboratory at one o’clock?

Leonard: There’s no hurry, Mother, tell them more about their secret love for each other.

Beverley: But it’s one o’clock, you were going to show me your laboratory at one o’clock.

Sheldon: Her reasoning is unassailable. It is one o’clock.

Leonard: Fine. Let’s go. I think you’ll find my work pretty interesting. I’m attempting to replicate the dark matter signal found in sodium iodide crystals by the Italians.

Beverley: So, no original research?

Leonard: No.

Beverley: Well, what’s the point of my seeing it? I could just read the paper the Italians wrote.

Howard: Just for the record, we’re not in an ersatz homosexual relationship.

Raj: Well, then why didn’t you say that to her?

Howard: Why is it always my responsibility?

Raj: It’s not always your responsibility. I swear, this is the same thing you did at the comic book store last week.

Howard: I can’t believe you’re bringing that up.

Raj: I didn’t bring it up. You did.

Howard: We’ll talk about this later.

Raj: You always say that, but we never do.

Sheldon: You went to the comic book store without me.7

Scene: Outside Penny’s door.

Penny: Hey.

Leonard: You got alcohol?

Penny: Your mom still here?

Leonard: Yep.

Penny: Come on in. Wait, wait, she’s not gonna come here looking for you, is she?

Leonard: Oh, relax. She took Sheldon to the hospital to get a brain scan.

Penny: Oh, my God. What happened?

Leonard: Nothing. Mother likes looking at brains and Sheldon likes getting his brain scanned.

Penny: Geez, what a fun couple.

Leonard: She’s only been here a day and a half and I’m seriously considering alcoholism as a new career path.

Penny: Hey, I talked to her for five minutes yesterday and I’ve been half bombed ever since.

Leonard: You can’t let her get into your head.

Penny: My head, what about yours?

Leonard: It’s too late for me. My head is her summer house.

Penny: She was right, you know. The locus of my identity is totally exterior to me.

Leonard: Oh, yeah, there she is. Hi, Mom.

Penny: I mean, do you know where I was all morning? Auditioning with 50 other blondes for some stupid antidepressant commercial. And for what? So I’ll finally get my daddy’s approval?

Leonard: Did you get the part?

Penny: No, they said I was too perky.

Leonard: Hey, you want to talk about not getting love from a parent. You know what I used to do when I was little to have some sensation of human contact?

Penny: Yeah, you grabbed your penis and wouldn’t let go. Your mother told me.

Leonard: Of course she did. Anyway, that’s not what I was gonna say. When I was ten years old, I built a hugging machine.

Penny: A hugging machine?

Leonard: Yeah. I got a dressmaker’s mannequin, I stuffed it with an electric blanket so it would be warm, and built two radio-controlled arms that would hug me and pat my back.

Penny: Oh, that is so sad.

Leonard: You know what the saddest part was?

Penny: What?

Leonard: My father used to borrow it.
 

Scene: The stairwell.

Beverley: Your scan data will be very elpful to my research. You have a remarkable brain.

Sheldon: I know. Although I’ve always hated how my right frontal lobe looks in pictures.

Beverley: Common complaint among men. Nothing’s ever big enough, except when they get a tumour. Then you never hear the end of it.

Sheldon: I’d love to see a scan of your brain sometime.

Beverley: Oh, I’ll send you a link, but its physiology is fairly unimpressive.

Sheldon: Oh, I can’t believe that.

Beverley: Your unwillingness to accept empirical evidence suggests an attempt at flattery.

Sheldon: My apologies. I’ve been living with your son too long. Gotten into some bad habits.

Beverley: Understandable.

Sheldon: Can I make you a cup of tea?

Beverley: I doubt it, but if anyone has a chance, it’s probably you.

Sheldon: I feel very comfortable around you.

Beverley: I feel very comfortable around you, too.

Sheldon: It’s surprising because I generally don’t feel comfortable around, well, anyone.

Beverley: Nor I.

Sheldon: What are the odds that two individuals as unique as ourselves would be connected by someone as comparatively workaday as your son?

Beverley: Is that a rhetorical point or would you like to do the math?

Sheldon: I’d like to do the math.

Beverley: I’d like that, too.

Scene: Penny’s apartment. Penny and Leonard are doing tequila shots.

Penny: Okay, now this time…

Leonard: Uh-huh.

Penny: You’re gonna lick the salt off my neck, do the shot, and then bite the lime.

Leonard: I’m sorry, I didn’t hear anything after lick.

Penny: Neck, shot, lime. (Leonard starts licking her neck. He is there a long time) Okay, shot, lime.

Leonard: Right. Ah! Where’s the lime? (Penny has the lime in her mouth) Oh, okay, we’re sharing.

Scene: The apartment.

Sheldon: So, what do you think?

Beverley: I’m very tempted. I’m just not sure it’s appropriate with my son’s roommate.

Sheldon: Normally, I’d feel the same way. But based on everything I’ve observed about us, I can’t help but speculate we’d be very good together.

Beverley: True. I’ve had a similar observation. It’s certainly something I could never do with my husband.

Sheldon: I was hesitant the first time I tried it, but I experienced an unanticipated and remarkable release of endorphins. It’s quite satisfying.

Beverley: I see what you’re doing. You’re appealing to the neuroscientific researcher in me.

Sheldon: You see right through me, don’t you?

Beverley: Only when you’re in a CAT scanner.

Scene: Penny’s bedroom. Penny and Leonard are in bed.

Leonard: This is actually gonna happen.

Penny: Honey, shush, shush, shush, shush, shush.

Leonard: You shush, I’m happy, I want to talk about it. You know what my mother would say about this? She would say because you were not loved by your father and I was not loved by my mother, that having sex is our way of making up for the intimacy we didn’t get as children.

Penny: Why would you bring that up right now?

Leonard: I don’t know. Foreplay?

Penny: So you’re saying you’re not having sex with me, you’re having sex with your mother?

Leonard: Ummm, I’m gonna go with “no.”

Penny: That is the sickest thing I’ve ever heard.

Leonard: Come on, you’re trying to have sex with your father, and I’m okay with that.
 

Scene: Penny’s front door.

Penny: Get out!

Leonard: She said shush. I should have shushed. (Enters apartment. Sheldon and Beverley are inside duetting on Journey’s “Any Way You Want It” on Rock Star.)

 

Scene: The hallway.

Leonard: All right, Mother. Um, have a nice flight.

Beverley: That’s not really in my control, is it? Oh, uh, yes (gives him a very uncomfortable hug.)

Penny (coming out of her apartment): Oh, good morning.

Leonard: Morning.

Penny: Look, I was just coming over to talk to you.

Leonard: You don’t have to. Ever.

Penny: Gotcha.

Leonard: Good-bye, Mother.

Beverley: Good-bye, Leonard. So, Slugger, shall we pick up where we left off last time?

Slight time shift.

Penny (in tears): I mean, my mom could’ve just said, “Bob, get over it, she’s a girl, move on.” But she didn’t. Not one word.

Beverley: Interesting. Would you be willing to fly to New Jersey and discuss your relationship with your parents during a brain scan?

Penny: Would it help?

Beverley: Well, it would help me.

Source : Big Bang Theory Transcript

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chrismaz66, 18.04.2024 à 11:04

Choup tu as 3 joueurs de plus que moi!! Kaamelott est en animation, 3 jeux, venez tenter le coup, c'est gratis! Bonne journée ^^

choup37, 19.04.2024 à 19:45

Maintenant j'en ai plus que deux, je joue aussi sur kaa

CastleBeck, Hier à 11:48

Il y a quelques thèmes et bannières toujours en attente de clics dans les préférences . Merci pour les quartiers concernés.

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