La cafétéria de l’université.
Raj : Mmm, messieurs, je vous le dis, le plus mauvais pudding au tapioca est meilleur que le meilleur pudding de n’importe quel autre parfum.
Sheldon : Tout d’abord, ton axiome est erroné, le meilleur pudding, c’est au chocolat. Deuxièmement, la structure organique du tapioca en fait une gelée potentiellement mortelle. Le tapioca provient…
Howard : Hey, je vais me faire pousser la moustache.
Leonard : Ah, sans blague ! En croc, en guidon, style sudiste ?
Sheldon : Il est extrait de la plante…
Howard : Je ne suis pas encore sûr. Vous savez, Georges Clooney en porte une.
Raj : Vraiment ? Je l’ai vu au supermarché, une fois. Il achetait de la tequila.
Howard : Oh, un mec comme lui a pas de laquais pour lui acheter son alcool.
Leonard : Bon c’est cruel. Laissons-le finir avant que sa tête n’explose.
Howard : Bon Sheldon, pourquoi le tapioca…
Sheldon : Le tapioca provient des racines de la manihot esculenta ! en raison d’une forte concentration de cyanure, il est toxique dans sa forme brute et mortelle s’il est mal préparé.
Raj : Tu te sens mieux maintenant ?
Sheldon : Il est cultivé au Brésil, comme la fève de cacao, qui donne le chocolat, le meilleur pudding. Vous aviez promis de ne plus recommencer !
Kripke : Hey Hofstadter !
Leonard : Hey Kripke.
Kripke : On m’a parlé de ton expérience sur les antiprotons. 20 000 tests et aucun résultat significatif. Impressionnant.
Howard : Quel crétin !
Raj : T’inquiète pas Leonard. Même négatifs, ça reste des résultats.
Howard : Même s’il y en a 20 000.
Leonard : C’est bon ! Arrêtez de me remonter le moral.
Howard : Allez, ne le laisse pas t’atteindre. C’est Kripke.
Raj : Oui, c’est un énorme crétin.
Howard : C’est pour ça qu’il mange tout seul, au lieu d’être à la table des cools.
Raj : Grave !
Sheldon : C’est vrai, Kripke n’a pas les compétences sociales que nous possédons tous. Mais il gère aussi la nouvelle grille de science informatique que j’aimerais utiliser pour des simulations sur la formation de l’univers.
Leonard : Bonne chance pour l’avoir. Seuls ses amis peuvent l’utiliser.
Sheldon : Alors, la solution est simple. Il doit devenir mon ami. Kripke !
Kripke : Ouais.
Sheldon : Que penses-tu de l’idée que l’on devienne amis ?
Kripke : Je dirais que je n’ai pas d’intérêt à devenir ton ami.
Sheldon : Vraiment ? Ca me semble irréfléchi de la part de quelqu’un considéré comme désagréable. Prends donc le temps d’y réfléchir
Kripke : Oui, je vais le faire.
Sheldon : Et bien, je pense que c’est un bon début.
Générique
L’appartement de Leonard et Sheldon.
Leonard : Voilà ! Maintenant, tous les e-mails de Wolowitz iront directement dans les indésirables.
Penny : Merci. L’e-mail ça va encore, par rapport à ses photos de vacances en maillot de bain.
Leonard : Oui, je l’ai reçu aussi. C’est pas un maillot de bain, c’est une trace de bronzage.
Sheldon (au téléphone) : Bonjour, ici Sheldon Cooper. Je laisse un message pour Barry Kripke. Barry, j’ai été content de te voir tout à l’heure à la cafétéria. J’ai vu que tu avais commandé une salade du chef. Apparemment, tu ignorais que la salade du chef est un prétexte pour utiliser des restes de viande. Néanmoins, j’espère que tu l’as appréciée. Je donnais suite à notre amitié en instance et attends de tes nouvelles en ce qui concerne son avancement. Sheldon Cooper.
Penny : Qu’est-ce qui se passe avec Ichabod ?
Leonard : Oh, il essaie de se faire un nouvel ami.
Penny : Oh vraiment ? Et bien, tant mieux pour lui.
Leonard : A moins d’en fabriquer un en bois comme Gepetto, ça m’étonnerait que ça arrive.
Penny : Eh bien, comment vous êtes devenus amis ?
Leonard : Il y avait un tract sur le panneau à l’université. Recherche colocataire, siffleur s’abstenir.
Penny : Et tu as accepté ?
Leonard : Je pensais qu’il plaisantait. Tu serais surprise par le nombre de physiciens capricieux.
Penny : Et Howard et Raj ? Comment est-il devenu ami avec eux ?
Leonard : Je ne sais pas. Comment le benzène est-il formé par les atomes de carbone ? Proximité et couche de valence.
Penny : Et bien oui, bien sûr. Dit comme ça. Mais tout va bien là.
Leonard : Je suppose. Mais siffler me manque.
Penny : Oh allez, vraiment ? (Leonard siffle).
Sheldon : Premier avertissement.
Devant la porte de Penny.
Sheldon : (toc, toc, toc) Penny, (toc, toc, toc) Penny, (toc, toc, toc) Penny. C’est pour toi.
Penny: Bonjour, Sheldon.
Sheldon: Salut.
Penny: Qu’est-ce que c’est?
Sheldon : Un questionnaire que j’ai imaginé. J’ai des difficultés pour devenir ami avec un collègue. Je fais donc des recherches pour comprendre pourquoi mes amis actuels m’aiment.
Penny : Oui. Et bien, c’est une bonne question. Mais tu crois vraiment que c’est la meilleure façon de faire ?
Sheldon : Je sais. Les sciences sociales, c’est des balivernes. Mais à moins de te planter des électrodes dans le cerveau, et d’enregistrer tes réactions en ma compagnie, c’est le mieux que je puisse faire.
Penny : D’accord, question. « Qu’est-ce qui caractérise le mieux Sheldon Cooper : l’intelligence, une hygiène méticuleuse, l’espièglerie ou l’écriture d’applets JAVA ? »
Sheldon : Je sais, j’ai peut-être commencé avec une assez évidente. Ce qui me caractérise le mieux est l’espièglerie. Voilà, tu peux remplir la première. Mais pour la suite, tu seras seule. Ca te prendra à peine heures.
Penny : Attends. Combien il y a de questions sur cette chose?
Sheldon : Seulement 211. Ne t’inquiète pas, par respect envers toi, je les ai rédigées en français niveau bac.
Penny : Merci mon pote.
Sheldon : De rien, mon amie.
Penny : Sheldon, chéri, t’as déjà envisagé de te faire des amis en étant… je sais pas, agréable ?
Sheldon : C’est une hypothèse qui suscite la réflexion. Puis-je te suggérer d’en faire le sujet de ta dissertation.
L’appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Ton questionnaire, très décevant.
Leonard : J’ai répondu à toutes les questions, Sheldon.
Sheldon : Tu as répondu en suivant un schéma : A B B A C A B B A C.
Leonard : Oh, tu t’en es aperçu…hein ?
Sheldon : Comment ne pourrais-je pas ?
Leonard : Allez ! Il y avait plus de 200 questions. Et regarde, certaines… « Sheldon est à la camaraderie ce que la navette spatiale est à … », blanc ?
Sheldon : Il y avait plusieurs réponses acceptables. Par exemple, C : Transport spatial. Mais certainement pas B : Cultivateur d’avocats. Et ta dissertation suggère que pour me faire des amis, je ferais mieux d’attendre que les Cylons prennent le pouvoir. S’il te plaît.
Leonard : Un instant. J’y ai passé du temps.
Sheldon : Oui, c’est bien mieux que Wolowitz. Il a dessiné un raton laveur avec ce qui semble être un scrotum surdimensionné.
Leonard : C’est plutôt mignon, tant qu’on ne voit pas le scrotum.
Sheldon : Comment puis-je espérer me faire de nouveaux amis, si mes amis actuels n’ont même pas quelques heures à me consacrer pour m’aider ?
Leonard : Sheldon, je ne vais pas défendre le raton laveur aux grosses noix.
Sheldon : Je ne vois pas comment tu pourrais.
Leonard : Ce que j’essaie de dire, c’est que tu ne peux pas aborder ça comme un pur exercice intellectuel.
Sheldon : Que veux-tu dire ?
Leonard : Tu te souviens quand t’as voulu apprendre à nager par Internet ?
Sheldon : J’ai appris à nager.
Leonard : Sur le sol.
Sheldon : Les compétences sont transférables. Je n’ai aucun intérêt à aller dans l’eau.
Leonard : Alors pourquoi apprendre à nager ?
Sheldon : Les calottes glaciaires fondent Leonard. Dans l’avenir, la nage ne va pas être facultative. Mais ta remarque est intéressante. Je n’ai rien à établir, cette recherche doit déjà exister.
Leonard : Non ; non, je vaux dire, si tu veux apprendre à te faire des amis, alors va dans un café ou dans un musée. Rencontre des gens. Parle-leur. Intéresse-toi à leur vie.
Sheldon : Ca paraît complètement stupide. Allez.
Leonard : Où allons-nous ?
Sheldon : Tu me conduis au centre commercial. Je vais acheter un livre qui résume les théories actuelles dans le domaine de l’amitié.
Leonard : Et si tu t’allongeais sur le sol pour nager ?
Une librairie.
Sheldon : « Faire face à la mort d’un être cher ». Mes condoléances.
Femme dans la file d’attente : Je vous remercie.
Sheldon : Famille ou ami ?
Femme : Famille.
Sheldon : Dommage. Si ça avait été un ami, j’aurais pu combler le vide. ( La femme s’éloigne). C’est tout aussi bien, elle sentait la naphtaline.
Leonard : D’accord, si tu te mets à renifler les gens, je vais me chercher un bretzel.
Sheldon : Excusez-moi. Avez-vous des livres pour apprendre à se faire des amis ?
Libraire : Euh, ouais, mais ils sont au rayon enfant.
Sheldon : L’apprentissage peut être extrapolable et transférable.
Libraire : Euh, je suppose. C’est là-bas, à côté du petit train en bois.
Sheldon : Oh, j’adore les trains !
Libraire : Ca m’étonne pas.
Sheldon : Oh ! C’est terriblement collant. Bon, voyons voir. Bernie le lapin a deux papas maintenant. Ca doit parler de lapins homosexuels. Jerry la gerbille et les brutes du bus. Je l’ai lu, il n’aide en rien. Oh, nous y voilà. Stu le cacatoès est nouveau au zoo. « L’auteur, Sarah Carpenter, vit à Fort Wayne dans l’Indiana avec son mari et meilleur ami, Mark, et leur cacatoès Stu. » Ca ne fait pas d’elle une experte en amitié, non ?
Petite fille : Je n’aime pas les oiseaux, ils me font peur.
Sheldon : Moi aussi ! La plupart des gens ne comprennent pas. Que lis-tu ?
Petite fille : Georges le petit curieux.
Sheldon : Oh, j’aime les singes !
Petite fille : Georges est un singe.
Sheldon : Anthropomorphisé, certes. Mais un singe. Dis-moi… on pourrait aller voir des singes ensemble, un jour. Ca te plairait ?
Petite fille : Oui.
Leonard : Sheldon, tu fais quoi ?
Sheldon : Je sympathise avec cette jeune fille. Comment tu t’appelles ?
Petite fille : Rebecca.
Sheldon : Salut Rebecca, je suis ton nouvel ami, Sheldon.
Leonard : Oh que non, on y va.
Sheldon : On s’entendait bien.
Leonard : Ne regarde pas, il y a des caméras.
La cage d’escalier.
Raj : Je suis curieux. Dans la partie, « Connaissez-vous bien Sheldon », vous avez mis quoi pour son acide aminé préféré ?
Leonard et Howard : Lysine.
Raj : Mince, j’avais mis ça et j’ai changé.
Sheldon : Oh bien, vous tombez à pic. Je crois avoir isolé l’algorithme pour se faire des amis.
Leonard : Sheldon, il n’y a pas d’algorithme pour se faire des amis.
Howard : Ecoute. S’il a découvert un truc, on pourrait avoir un stand au Comic-Con. Ca rapporterait un max.
Sheldon : Voyez. Ma première approche avec Kripke souffrait des mêmes défauts qui frappaient Stu le cacatoès quand il était nouveau au zoo.
Raj : Stu le cacatoès ?
Leonard : Oui, il est nouveau au zoo.
Sheldon : C’est un livre formidable. J’en ai distillé l’essence dans ce diagramme qui va me guider.
Howard : T’as pensé à le mettre en cage quand tu le laisses seul ici ?
Sheldon (au téléphone) : Bonjour, Kripke. Oui, ici Sheldon Cooper. J’ai réalisé que tu n’avais pas retourné mes appels parce que je n’avais pas émis de suggestions concrètes pour étayer notre amitié. Peut-être pourrions-nous manger ensemble. Je vois. Dans ce cas, peut-être pourrions-nous boire une boisson chaude ? Les boissons sont usuellement du thé, du café, du chocolat chaud. Je vois. Non, non, non, attends, ne raccroche pas. Pourquoi pas une activité de loisir ? Je suis sûr que nous avons des goûts communs. Dis-moi ce que tu aimes. Vraiment ? Sur de vrais chevaux ? Dis-moi ce que tu aimes d’autre. Désolé, je ne veux pas aller dans l’eau si ce n’est pas une nécessité. Dis-moi ce que tu aimes d’autre.
Leonard : Oh oh, il est coincé dans une boucle infinie.
Howard : Je vais réparer ça.
Sheldon : Mmm, mmm. C’est intéressant. Mais la ventriloquie n’est-elle pas une activité solitaire ? Dis-moi ce que tu aimes d’autre. Est-il possible que tu aimes les singes ? Quel est ton problème ? Tout le monde aime les singes. Une minute, Kripke. Un compteur de boucle. Et une assertion sortie sur l’activité la moins déplaisante. Howard, c’est brillant ! Je suis surpris que tu l’aies vu.
Howard : Pourquoi a-t-il tant de mal à se faire des amis ?
Sheldon : Bon, Kripke, ce dernier centre d’intérêt me paraît le moins désagréable, et je propose que nous le fassions ensemble. Demain. Oui, je paierai. Très bien, au revoir. Parfait. Il est temps d’apprendre l’escalade.
Centre d’escalade.
Sheldon : Tu sais, je suis un fan de la ventriloquie. On pourrait prendre une boisson chaude avec ta marionnette ? Elle parlerait pendant que tu bois.
Kripke : Non, je veux faire de l’escalade.
Sheldon : Cela semble bien plus monolithique que sur mon ordinateur portable. Non, on s’attendrait à voir des hominidés lancer des os pour se défendre.
Kripke : Tu as le vertige, Cooper ?
Sheldon : Pas vraiment. La peur du vide est illogique. La peur de tomber est par contre prudente et évolutive. Quelle est l’altitude minimale requise pour cimenter notre amitié naissante ?
Kripke : Allez, on peut fêter son anniversaire ici. Même les gamins grimpent.
Sheldon : Des petits hominidés, peut-être. (Pour l’homme qui l’attache). Vous gagnez votre vie comme ça ? Vos parents doivent être fiers.
Kripke : On y va, Cooper.
Sheldon : J’arrive, Kripke. D’accord. Le harnais semble sécurisé. J’ai une légère incontinence, mais d’après le site, ça serait normal. Ce n’est pas si terrible. Un peu comme la natation verticale.
Kripke : Hey, regarde-toi Cooper. Ca alors, tu as fait la moitié du chemin.
Sheldon : Ah oui ? Je me suis trompé. C’est bien le vertige.
Kripke : Ca va, Cooper ?
Sheldon : Pas vraiment. Je me sens comme une fonction arc tangente à l’approche d’une asymptote.
Kripke : Tu veux dire que tu es coincé ?
Sheldon : Quelle partie tu n’as pas compris ?
Kripke : J’ai tout compris, je suis pas un demeuré. Continue à monter.
Sheldon : Oui, je ne pense pas pouvoir.
Kripke : Et bien, alors, redescends.
Sheldon : Tout aussi peu probable.
Kripke : Alors quel est le plan Cooper ?
Sheldon : Eh bien, ce n’est pas exactement un plan, mais je crois que je vais m’évanouir.
L’appartement de Leonard et Sheldon.
Leonard : Je suis désolé. On peut le refaire une dernière fois ?
Howard : Très bien. 1, 2, 1, 2, 3 et … (Leonard, Howard, Raj sifflent 3Sweet Georgia Brown).
Leonard: C’est pas grand chose, mais ça me manqué vraiment.
Sheldon : Bonjour à tous. J’ai invité à diner mon nouvel ami, Barry Kripke.
Ensemble : Oh…
Kripke : Bonjour à vous aussi.
Leonard : Comment c’était l’escalade ?
Kripke : Il s’est évanoui. Il était suspendu comme un gros salami.
Sheldon : C’est ma place !
Kripke : Oh, tu as une place préférée ? T’es vraiment cinglé.
Howard : Tu vas pas faire long feu.
Leonard : Tu veux de la nourriture chinoise ?
Kripke : Super. Vous avez du fil dentaire ?
Leonard : Dans la salle de bain.
Kripke : Je reviens. Je dois virer les restes de mon repas indien avant de manger chinois.
Penny : Sheldon, ça va ?
Sheldon : Oh oui, je m’évanouis constamment, mais ça valait le coup. Ma relation avec Kripke progresse, ce qui m’amène à une situation gênante.
Leonard : Qu’est-ce que c’est ?
Sheldon : Maintenir cinq amitiés promet d’être une tâche herculéenne, donc… je vais devoir me séparer de l’un de vous.
Howard : Moi, moi. Faites que ce soit moi.
Sheldon : Leonard, tu es mon colocataire, mon moyen de locomotion, et tu m’aides à plier mes draps lorsqu’ils sortent du sèche-linge. Tu es en sécurité.
Leonard : Je peux siffler ?
Sheldon : Ne sois pas stupide. Howard, tu n’as pas de doctorat, ton eau de Cologne est une agression olfactive, et tu ne peux pas jouer aux jeux vidéos pendant les vacances juives.
Howard : Je plaide coupable, je dégage !
Sheldon : Non, toi aussi, tu es en sécurité.
Howard : Oh allez. Mais que dois-je faire ?
Penny : Très bien. Vous savez quoi ? Je sais comment ça va finir. Je ne suis pas l’une d’entre vous. Je ne suis pas une scientifique, donc …
Sheldon : Penny, Penny, Penny. Tout ce que tu dis est vrai, mais permets-moi de continuer. Raj, tu nous quittes. Bonne question. Tu fournis certes une certaine diversité culturelle à un groupe homogène, mais tes réponses au questionnaire étaient perturbantes. Pourquoi mon acide aminé préféré serait-il la glutamine ?
Leonard : Il avait mis lysine, mais il a changé.
Sheldon : Oui. Ce qui est fait est fait, Raj.
Kripke : Je me nettoie les dents avant de manger pour pouvoir remplir à nouveau mes poches parodontales.
Penny : Eww.
Kripke : Comment j’ai pu te louper ? Je suis Barry.
Penny : Penny.
Kripke : Ouais, c’est pas très sexy. Je vais t’appeler Roxanne. Des jiaozi.
Howard : Tout à coup, je suis pas si mal, pas vrai ?
Sheldon : Alors, Kripke, je me demandais si tu pouvais m’accorder du temps sur la grille informatique ?
Kripke : Non.
Sheldon : Non ? Mais nous sommes amis !
Kripke : Je suis désolé. Non mon ami ?
Sheldon : Je suis confus. On m’a laissé entendre que tu accordes à tes amis du temps sur cette machine.
Kripke : Non, c’est faux. Il y a un emploi du temps officiel. Je ne peux rien faire.
Sheldon : Oh. Toute cette entreprise semble avoir été purement futile. Raj, tu reviens. Il aime les singes.
Le centre d’escalade.
Howard : Il a le mérite d’avoir recommencé.
Leonard : Je l’en croyais pas capable.
Raj : Il a presque atteint le somment cette fois.
Sheldon est évanoui et suspendu à la corde.
Fin de l’épisode.