Appartement de Leonard et Sheldon.
Sheldon : Oh regarde, Saturn 3 passe à la télé.
Raj : Je ne veux pas regarder Saturn 3. Deep Space Nine est meilleur.
Sheldon : En quoi Deep Space Nine serait meilleur que Saturn 3 ?
Raj : Une simple soustraction indique que c’est 6 le meilleur.
Leonard : Trouvez un compromis, regardez Babylon 5.
Sheldon : En quoi est-ce un compromis ?
Leonard : Eh bien, cinq est à mi-chemin entre le trois… laisse tomber.
Raj : Je vais vous dire, si on réglait ça à pierre, papier, ciseaux ?
Sheldon : Oh, je ne pense pas. Des preuves indiquent que dans pierre-papier-ciseaux, des joueurs qui se connaissent seront ex aequo 75 à 80 % du temps, à cause du nombre limité de solutions. Je propose pierre, papier, ciseaux, lézard, Spock.
Raj : Quoi ?
Sheldon : C’est très simple. Regarde, les ciseaux coupent le papier. Papier couvre pierre. Pierre écrase lézard. Lézard empoisonne Spock. Spock détruit les ciseaux. Ciseaux décapitent lézard. Lézard mange le papier. Papier discrédite Spock. Spock vaporise pierre. Et comme toujours, la pierre détruit les ciseaux.
Raj : Ok, j’ai compris.
Raj et Sheldon : Pierre, papier, ciseaux, lézard, Spock ! Oh.
Howard : Salut les gars.
Leonard : Oh, copain.
Howard : T’as remarqué le cache-œil. Tout cela fait partie d’une technique que j’ai étudiée pour draguer les filles. Tu utilises un attribut visuel qui te rend distinctif et inoubliable.
Sheldon : Oh oui, comme le paon avec son plumage brillant ou le babouin en rut avec son postérieur coloré.
Leonard : Ou dans ton cas, le juif avec une conjonctivite.
Howard : Moque-toi si tu veux, mais ça marche. En discothèque, tu mets un truc voyant, tu repères ta cible, et tu balances des negs.
Raj : Des negs ?
Howard : Un neg est un compliment négatif qui déstabilise les jolies filles. Comme : « D’habitude, j’aime pas trop les grandes dents, mais ça rend bien sur toi ». J’en ai toute une liste. Qui veut être mon coéquipier ?
Leonard : T’as pas besoin d’un coéquipier, t’as besoin d’un docteur.
Penny : Howard, ton scooter bloque ma voiture. Oh, tu as une conjonctivite à nouveau ?
Howard : Etape un : elle remarque le cache-œil. Penny, il y a peu de filles qui seraient aussi belles que toi avec des cheveux aussi gras.
Penny : Ouais, bouge ton stupide scooter avant que je le balance dans la benne à ordures.
Howard : Ow.
Générique.
Sheldon : Je suis désolé, mais je ne vais pas regarder la série The Clone Wars avant d’avoir vu le film. Je préfère que Georges Lucas me déçoive dans l’ordre qu’il a choisi.
Leonard : Eh bien, jeu veux la voir maintenant.
Sheldon : Nous faisons donc face à un différend solvable uniquement par pierre, papier, ciseaux, lézard, Spock.
Leonard : Regarde ce que tu veux.
Raj : J’ai vu ce que tu as fais là.
Sheldon : Qu’ai-je fait ?
Leonard (au téléphone) : Allo, hé Howard. Qu’est-ce qu’il y a ? Ok, on arrive tout de suite.
Sheldon : Qu’est-ce qui se passe ?
Leonard : Howard est au labo du Mars Rover. Il a des ennuis. Defcon 5.
Sheldon : Defcon 5 ? Pas besoin de se presser alors.
Leonard : Quoi ?
Sheldon : Defcon 5 signifie pas de danger. Defcon 1, c’est la crise.
Leonard : Comment 1 peut être pire que 5 ?
Raj : Oui, Star Trek V, pire que le I.
Sheldon : Bon, tout d’abord, tu compares la qualité au lieu de l’intensité. Deuxièmement, Star Trek I est pire que Star Trek V puissance dix mille.
Raj : Tu plaisantes ? Star Trek V est l’unité de mesure de la nullité.
Sheldon : Non, non, non. Star Trek V a des défauts dans le scénario et la réalisation, mais Star Trek I est un échec total : direction artistique, costumes, musique et son.
Leonard : Oubliez mon Defcon ! On y va.
Raj : Star Trek V !
Couloir de l’université.
Sheldon : Très bien. Admets au moins que Star Trek : Retour sur Terre est bien le meilleur ?
Raj : J’ai trois mots pour toi : Colère de Khan.
Howard : Oh, Dieu merci, vous êtes là.
Leonard : Quelle est l’urgence ?
Howard : J’ai planté le Mars Rover dans un fossé.
Sheldon : Où ?
Howard : Sur l’autoroute, en sortant de Bakersfield. Réfléchis ! Sur Mars !
Fille (ouvre la porte) : Howard, tout va bien ?
Howard : Oui bébé, j’arrive de suite.
Sheldon : Tu as amené une fille dans la salle de contrôle du Mars Rover ?
Howard : Oui, j l’ai draguée au bar. C’est un médecin. Un lavement baryté gratos, et ma mère se fichera de savoir si elle est juive.
Leonard : Attends une minute. Le cache-œil et les insultes ont marché ?
Howard : Non, Il y avait trois autres gars avec des caches-yeux. C’était un fiasco. Voilà ce qui a marché : « Tu veux visiter un labo gouvernemental secret ? »
Sheldon : Alors, qu’est-ce que tu veux qu’on fasse ?
Howard : J’ai besoin de toi et de Raj pour m’aider à sortir le Rover du fossé. Et toi, pour faire sortir Stephanie avant que quelqu’un la repère. Elle n’a pas d’autorisation.
Sheldon : Vraiment. Elle n’a pas d’autorisation. Les filles draguées dans des bars n’ont pas le droit de jouer avec des projets à 200 millions sur d’autres planètes ?
Howard : Oui, j’ai été mauvais. Elle me donnera peu- être la fessée. Peut-on passer, s’il te plait ?
Fille : Hé Howard, tu sais, il se fait tard, je peux conduire ce truc ou pas ?
Howard : Oui, non, je suis désolé, mais il y a un imprévu. Un petit pépin de Mars Rover…Mais…un Mars Rover, et ça repart ! Enfin bref. Donc, mon ami Leonard va te ramener chez toi.
Fille: Oh d’accord, ami Leonard.
Leonard: Okay.
Howard: Je t’appelle.
Fille : Ouais. Alors tu es un scientifique comme Howard ?
Leonard : Personne n’est un scientifique comme Howard.
Howard : Ma mère va l’adorer.
Sheldon : Oh, c’st gentil. Elles pourront faire la route ensemble pour aller te voir en prison.
Voiture de Leonard.
Fille : Désolé, je t’ai interrompu, tu disais quoi ?
Leonard : Juste que Howard est un gars formidable. Il a un super sens de l’humour. Il aime sa mère, beaucoup, certains disent « trop ».
Fille : Ca me plaît, que tu sois un ami si loyal.
Leonard : Oui, je suis loyal. Tu sais si tu regardes le tableau dans l’ensemble. Juste par curiosité, il avait une chance avec toi ?
Fille : T’es fou ? IL portait un cache-œil.
Leonard : Alors… pourquoi ?
Fille : Il a dit que je pourrai conduire une voiture sur Mars.
Leonard : Compris. Donc, je pourrai te revoir ?
Fille : On va pas faire que se revoir.
Leonard : Ooh, cool.
La salle de contrôle du Mars Rover.
Howard : Quelque chose ?
Raj : En fait, je vérifiais mes e-mails. Mais, euh, non, le Rover ne répond pas.
Sheldon : Je crois que la métaphore appropriée à la situation implique d’être enfouis dans une mer d’excréments jusqu’aux cervicales.
Howard : Attendez. Il y a forcément d’autres possibilités.
Raj : Tu peux essayer d’appeler Triple-A, mais d’après le calendrier de la NASA, ils n’arriveront que dans 35 ans.
Sheldon : Et tu dois te trouver à proximité du véhicule quand ils arrivent.
Raj : Cassé !
Sheldon : Quoi donc ?
Howard : Ok, je crois qu’on doit se tourner vers le plan B.
Raj : Quel est le plan B ?
Howard : Effacer toutes les données et les vidéos, faire disparaître nos empreintes et nous enfuir.
Sheldon : Pourquoi c’était pas le plan A ?
Appartement de Leonard et Sheldon.
Journaliste à la télévision : Selon le porte-parole de la NASA, la perte des données empêchera très clairement de déterminer la cause de la panne du Mars Rover. Ce n’est pas la première fois qu’une mission exploratrice sur Mars se termine dans la déception.
Howard : Merci Dieu, pour le plan B.
Penny : Howard, tu ne m’avais pas dit que tu travaillais sur le Mars Rover ?
Howard : Non, tu te trompes.
Penny : Oui, quand on s’est rencontrés, t’as dit que si je sortais avec toi, je pourrais conduire sur Mars.
Howard : Je ne sais pas de quoi tu parles.
Leonard : Psst ! Psst !
Sheldon : Veuillez m’excuser. Leonard me fait subtilement savoir qu’il voudrait me parler en privé.
Penny : Non, je me souviens très bien que tu m’as demandé si j’étais martienne, vu qu’un cul pareil ne pouvait pas être de ce monde.
Howard : Ca me ressemble, mais non.
Chambre de Leonard.
Sheldon : Il y a un problème ?
Leonard : Oui. Ecoute, je dois m’éclipser pour un petit moment.
Sheldon : Très bien, au revoir.
Leonard : Non, attends ! Si on le demande, tu ne sais pas où je suis.
Sheldon : Tu vas où ?
Leonard : Je ne peux pas te le dire.
Sheldon : Qui me demanderait ça ?
Leonard : Je ne peux pas te le dire non plus.
Sheldon : Donc, tu m’as fait venir pour m’informer que tu ne peux pas me dire où tu vas, ni me dire qui pourrait poser la question ?
Leonard : Oui, j’ai pas vraiment réfléchi.
Sheldon : Leonard, un moment ;
Leonard : Quoi ?
Sheldon : Si quelqu’un… et bien sûr, on ne sait pas qui…demande où tu es, que dois-je répondre ?
Leonard : Je ne sais pas, dis-lui que je suis allé au bureau.
Sheldon : Tu vas au bureau ?
Leonard : Non.
Sheldon : Alors, comment puis-je le dire de façon convaincante ?
Leonard : Dis juste : « Leonard est parti au bureau ».
Sheldon : Très bien. Leonard est parti au bureau.
Leonard : Quoi ? Non, pas comme ça ! Juste : « Leonard est parti au bureau ».
Sheldon : Tu aurais dû simplement me dire que t’allais au bureau.
Leonard : Je vais au bureau.
Sheldon : Et voilà, je ne te crois pas.
Dans le salon.
Leonard : Je sors pendant un certain temps.
Howard : Très bien.
Sheldon : Personne ne veut savoir où il va ?
Penny : Bon, où est-ce qu’il va ?
Sheldon (exagérant) : Leonard est parti au bureau.
Appartement de la fille.
Leonard : Alors, comment c’était le boulot aujourd’hui ?
Fille : Occupé. Ablation d’un appendice, d’une vésicule, et de 45 cm d’intestins.
Leonard : J’espère que c’était 3 types différents.
Fille : Non, un seul. Il a pas survécu. Alors, et toi, ta journée ?
Leonard : Oh, tu sais, je suis un physicien… J’ai réfléchi à des trucs.
Fille : C’est tout ?
Leonard : Et bien, j’en ai écrit une partie.
Fille : Tu as fini de manger ?
Leonard : Euh, oui.
Fille : Oh, très bien. (Embrasse Leonard)
Leonard : Si j’avais su que tu attendais, j’aurais englouti ces lasagnes.
Répondeur : Ici le Dr Stephanie Barnett. Laissez un message.
Howard (voix) : Hey, Steph, c’est encore moi, Howard. Ecoute, si tu es libre vendredi, on pourrait se faire un petit dîner chez moi. Ma mère fait un gigot du tonnerre. Tiens-moi au courant. C’est Howard.
Leonard : J’ai goûté son gigot. Il fond dans la bouche.
Stephanie : On devrait peut-être envisager d’aller dans la chambre.
Leonard : C’est une bonne idée. Il ya un lit là-bas et j’aime vraiment beaucoup les lits.
Répondeur : Ici le Dr Stephanie Barnett. Laissez un message.
Howard (voix) : Salut, c’est encore moi. Je veux juste te prévenir que le nombre d’invités, pour le dîner de vendredi, a augmenté. Ma tante Betty et mon oncle Elliot arrivent de Palm Springs. Oh, si on te le demande, tu es juive du côté maternel. Bon appelle-moi. C’est Howard.
Leonard : On devrait lui dire qu’il ne t’intéresse pas, non ?
Stephanie : Tu veux arrêter pour que je le rappelle tout de suite ?
Leonard : Mon Dieu, non.
Stephanie (dans la chambre) : Oh, Leonard…
Répondeur : Ici le Dr Stephanie Barnett. Laissez un message.
Howard (voix) : Salut, c’est encore moi. Howard. Ecoute, mes cousins de Fort Lauderdale viennent en avion pour te rencontrer, donc on va devoir faire ce dîner dans un restaurant.
Mère d’Howard (voix) : Dis-lui qu’on va à l’Olive Garden ! J’ai eu une réduction dans le journal.
Howard (voix) : On n’ira pas à l’Olive Garden, m’man !
Mère d’Howard (voix) : Monsieur veut faire son snob en allant au Red Lobster.
Howard (voix) : Je te rappelle quand on aura fixé les détails. C’est Howard.
Buanderie.
Penny : Oh, hey.
Leonard: Hey.
Penny: Nouvelles chemises?
Leonard: Oui.
Penny : Jolies.
Leonard : Merci.
Penny : Alors, qui est la fille ?
Leonard : Pardon ?
Penny : Et bien, la dernière fois que tu as acheté une nouvelle chemise était quand on sortait ensemble.
Leonard : Alors, euh, on est bel et bien sortis ensemble ?
Penny : Eh bien, oui, on a eu un rendez-vous.
Leonard : Exactement. Merci. Rends-moi service, dis ça à Koothrappali la prochaine fois.
Penny : Alors, c’est qui ?
Leonard : Oh, elle est médecin.
Penny : Chouette. Un vrai docteur ou un docteur comme toi ?
Leonard : Un vrai docteur. Résident en chirurgie. Intelligente, jolie. Je peux te poser une question. Si ton ami s’imagine qu’il sort avec quelqu’un, alors que non, parce que c’est toi qui sors avec elle, a fait de toi une méchante personne ?
Penny : Eh bien, ça dépend.
Leonard : De quoi ?
Penny : Cet ami, c’est Wolowitz ?
Leonard : Oui.
Penny : Tant pis pour lui.
Leonard : Tu es sûre ?
Penny : Eh bien, t’as déjà couché avec elle ? Petit coquin ! Contente pour toi.
Leonard : Ca change quelque chose ?
Penny : Non.
Leonard : Alors, pourquoi t’as demandé ?
Penny : Je suis curieuse. A plus.
Porte d’entrée de Howard.
Mère d’Howard (voix) : Howard va ouvrir la porte.
Howard (voix) : Vraiment ? C’est ça qu’il faut faire quand quelqu’un frappe ? Merci, je ne savais pas ! (Ouvre la porte). Hey, mon pote. Qu’est-ce qui t’amène dans mon petit enfer personnel ?
Mère d’Howard (voix) : Qui est-ce ?
Howard : C’est Leonard.
Mère d’Howard (voix) : Vous allez devoir jouer dehors. Je ne suis pas habillée pour recevoir !
Howard : On s’en fout, M’man ! Alors, quoi de neuf?
Leonard : Ecoute, il faut que je te parle d’un truc.
Howard (son téléphone sonne) : Momentito. Yello. Oh, Stephanie, merci de me rappeler. J’étais inquiet… Oh…hum hum…hum hum… hum hum … Non, je comprends. Bien sûr, on peut être amis. Absolument. Merci d’avoir appelé. Bonne journée à toi aussi. (Pour Leonard). Tu es mort pour moi.
Appartement de Leonard et Sheldon.
Raj : D’accord, qui prend la dernière boulette ?
Tous : Pierre-papier-ciseaux-lézard-Spock.
Sheldon : D’accord, l’un de vous va devoir arrêter de choisir Spock.
Howard : Comment on décide ?
Tous : Pierre-papier-ciseaux-lézard-Spock. Oh !
Leonard : Oh, hé, les gars.
Sheldon : Bonjour.
Raj: Hey.
Leonard : Salut, Howard. Howard?
Howard: Sheldon.
Sheldon: Howard emploie un paradigme de cour de récréation dans lequel tu es, pour ainsi dire, décédé. Il te le signifie en ne t’adressant plus la parole, prétendant ne pas t’entendre quand tu parles et en refusant de reconnaître ton existence.
Leonard : C’est tout simplement ridicule. Pourquoi tu coopères avec lui ?
Sheldon : Je ne fais pas les règles, Leonard.
Leonard : Arrête , Howard. C’était pas intentionnel. Ce genre de chose arrive. Généralement pas à moi, mais ça arrive.
Howard : Quelqu’un a senti un courant d’air ?
Sheldon : Ce doit être une extension de la métaphore de la mort. Le courant d’air froid est la manifestation ectoplasmique d’un esprit désincarné qui passe par là.
Raj : Et puis zut, je vais prendre la dernière boulette.
Leonard (ouvre la porte) : Oh, salut, Steph, entre.
Stephanie : Je tombe mal ?
Leonard : Oui, mais tu tomberas jamais bien, alors…
Howard : Oh, voilà Mme la morte.
Stephanie : Bonjour, Howard.
Howard : Sheldon ?
Sheldon: Ecoute, désolé, tu as violé les termes de ta métaphore en admettant son existence. J’arrête là.
Leonard : Il ne veut pas m’écouter.
Stephanie : Bon, je suppose qu’on sera que tous les trois.
Leonard : Hmm. Lisa va être déçu.
Stephanie : Oui.
Howard : Lisa ?
Stephanie : Ouais, ma colocataire. Elle vient de traverser une rupture difficile, je me disais qu’elle aimerait rencontrer un type drôle comme toi.
Howard : Leonard, Stephanie, vous êtes vivants ! C’est un miracle !
Howard (au téléphone) : Bref, Lisa, je voulais te dire à nouveau que j’ai passé une très bonne soirée, et encore une fois, désolé pour la tournure que ça a prie. Mais tiens-moi au courant, pour vendredi. M mère veut savoir combien on sera pour choisir la taille du gigot.
Leonard : Howard, Howard, regarde ça.
Howard : Quoi qu’il en soit, appelle-moi. C’est Howard.
Voix de la télévision : La possibilité de la vie sur Mars a longtemps fasciné les scientifiques et les profanes. On ignore comment le Mars Rover s’est retrouvé dans cette crevasse, mais une chose est certaine : les données qu’il a envoyé, contiennent les premières indications qu’il a pu y avoir de la vie sur Mars. C’est une découverte scientifique qui a des implications renversantes pour l’humanité. Malheureusement, nous ne saurons jamais qui en est le responsable.
Howard : Fils de p*** !
Fin de l’épisode.